STATIONNEMENT : LA GRANDE SUPERCHERIE DES ARCEAUX À VÉLOS
"C'est à cause de la loi" (!). Si la municipalité installe des arceaux à vélos à la place du stationnement voitures, c'est à cause de la loi, expose en long en large et en travers l'inénarrable Gilles Namur qui les cumule toutes en ce moment. Dans le "Dauphiné" (7/2/25), Albane Pommereau reproduit les propos du ci-devant qui justifie ainsi la suppression du stationnement !
Si on lit bien, la loi impose en effet de sauvegarder la visibilité à proximité des passages piétons et donc de ne pas permettre le stationnement. Mais la chaussée grenobloise n'est pas toute recouverte de passages piétons !

PLACE NOTRE DAME : DES HABITANTS EMPÊCHENT L'INSTALLATION D'ARCEAUX VÉLOS
Par exemple cette semaine les services venaient installer des arceaux à vélos place Notre Dame, pas pour protéger des passages piétons. Ils allaient être collés aux vitrines des commerçants de la place, paralysant le peu de passage qui demeure, après la fermeture du secteur. Personne n'étant hostile aux arceaux à vélos. Mais leur mise en place doit penser aux piétons, à l'accès commerce....
La colère était telle qu'un groupe d'entre eux est intervenu pour empêcher la pose et les installateurs ont fait demi tour. Le niveau de bêtise de la gestion municipale atteint des sommets. Car la Métropole installe à la demande de la ville des arbres à... 30 000 € pièce dans le secteur - il a fallu casser les pavés - ces installations viennent encore perturber une activité très en difficultés. L'incompétence crasse donne le sentiment d'un acharnement à ceux qui sont victimes de ces aménagements successifs.
Il n'existe évidemment aucune cohérence à tout ça, aucune esthétique urbaine, aucune prise en compte des différents paramètres (activités, services, sécurité, entretien...). L'espace public de la ville est livré à des élus qui poursuivent leurs lubies.

G. NAMUR (Verts/LFI) CRÉE UN GYMKHANA POUR PIÉTONS
Ça n'empêche pas Gilles Namur de rappeler la volonté de la municipalité de "rendre de l'espace public aux piétons" (DL). Un piéton qui doit donc pratiquer un gymkhana entre les arceaux à vélos, les poubelles, surveiller les vélos et les trottinettes et en même temps garder les yeux rivés au sol pour ne pas chuter sur un trou dans le trottoir !
L'UN DES ADJOINTS AU DÉNI DE RÉALITÉ
On a l'impression que Gilles Namur se moque chaque fois des grenoblois. Il les provoque. Ainsi Grenoble n'est pas plus sale qu'une autre ville, affirme t-il. Ou bien si on la trouve sale, on attaque le personnel municipal ! Comme si personne ne se déplaçait dans une autre ville pour voir la différence ? Comme si personne, revenant à Grenoble et l'ayant connue propre, ne pouvait témoigner de l'évolution ? Comme si les salariés de la ville et de la Métropole étaient responsables de l'organisation du ramassage, des déchetteries, de la suppression des cantonniers et des nettoyages de caniveau ?
Si un Grenoblois vient se plaindre à lui, il le dénonce comme un suppôt de Carignon, ce qui en étonnent qui n'envisageaient pas, avant d'en être accusé, de le soutenir !
G. NAMUR NE DÉMENT PAS LA SUPPRESSION DE 1200 PLACES
Mais sur le stationnement il ne répond pas à la journaliste Albane Pommereau qui cite la suppression de 1200 places de stationnement en 10 ans "selon le groupe d'Alain Carignon". Il n'ose pas hurler à la fake comme il le fait toujours. Mais renvoie à... "l'atelier citoyen sur le stationnement", une caricature ridicule, le point extrême de l'enfumage municipal. "L'atelier" estime qu'il reste des places, qu'il faut augmenter le tarif résident, le tarif de ceux qui ont deux voitures et poursuivre dans l'éradication de la voiture.
M. DI GIROLAMO TÉMOIGNE DANS UNE VIDÉO DE GUIZMATHS
Les témoignages du réel glissent comme l'eau sur les ailes d'un canard. Que M. Di Girolamo, un commerçant respecté, exprime sa colère - affirmant au passage n'avoir jamais vu le Maire ! - après des baisses de 50 % de chiffre d'affaires tandis que d'autres rues, Auguste Gaché, de la Paix enregistrent entre 30 et... 70% de baisse, n'empêche pas Gilles Namur de dormir.
Le cas de l'avenue Jeanne d'Arc où les nombreux commerces qui rendent service à la population est emblématique : ils mourront si 70 % du stationnement est supprimé.
LES HABITANTS PERDENT LA DIVERSITÉ DE LA VILLE
L'appauvrissement n'est pas seulement celui des commerces concernés : avec la fermeture ici d'un pressing, là d'une boulangerie, les habitants perdent la diversité des services. La ville devient monolithique, bonne pour un seul type de population. Des familles, des personnes âgées, handicapées, des artisans, des professions libérales ne sont plus en mesure d'habiter ou de travailler à Grenoble. Ce monolithisme les chasse.
LE GRAND REMPLACEMENT À LA GRENOBLOISE
On ne peut exclure qu'il s'agisse d'une tactique électorale, d'un grand remplacement à la grenobloise. Nombre de Grenoblois de la classe moyenne, écrasés par la taxe foncière, inquiets pour leurs enfants compte tenu de l'insécurité, mécontents de la saleté et de cette réduction de services, fuient la ville.


IL MANQUE 1500 PLACES DE STATIONNEMENT POUR LA ZFE
Dans la vie réelle, avec la ZFE (Zone de Forte Exclusion), Sylvain Laval, le Président du SMMAG estime qu'il faudrait créer au moins 1500 places supplémentaires dans la métropole pour des parkings-relais. La municipalité pousse aux solutions les plus injustes pour les interdictions d'entrée des véhicules (Crit'Air3) et n'offre aucune solution alternative. Les 800 places de l'esplanade, vouées à disparaitre, ne sont pas comptabilisées dans ce manque...
L'INCOHÉRENCE EST TOTALE
Où que l'on se tourne, l'incohérence est totale. La majorité métropolitaine constituée avec la majorité Grenobloise a créé Neyrpic et son parking de 500 places. La majorité Grenobloise a agrandi Grand Place de 5000 mètres avec son parking toujours gratuit. En autorisant le projet de logements/Restaurant la municipalité a créé un nouveau parking gratuit à... la Bastille, la montagne de la bio-diversité.
IL MANQUE LA MESURE POUR ORGANISER LA COHABITATION
La ville peut parfaitement accompagner la baisse de la motorisation réelle intra muros. Mais elle ne peut ignorer, supprimer, le rôle de ville centre de la Métropole. On ne peut pas plus garantir un stationnement-voiture devant chez soi, qu'on ne peut mettre en place des arceaux vélos devant chaque immeuble au mépris des autres modes de déplacements.
Il manque la mesure pour organiser cette cohabitation prenant en compte l'ensemble des paramètres dont la qualité de l'air et la ville vraiment pour tous et avec tous.
FAIRE LA VILLE SEULEMENT POUR QUELQUES UNS
Au fil des années la municipalité s'est recroquevillée, rabougrie, avec des Adjoints au Maire au diapason de leur maitre, qui voudraient faire la ville seulement pour quelques uns qui leur ressemblent. Dont la ville a besoin, mais autant que les autres. Ce n'est pas l'objectif annoncé qui échoue mais sa caricature dans sa mise en oeuvre et son modèle coercitif.
Je suis né dans l’hyper centre.
Je connais bien, moi, son fonctionnement au quotidien.
Je suis pour les rues piétonnes et contre les fachos.
Là, c’est vraiment devenu invivable.
Les arceaux à vélos, c’est vraiment la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Certains collés aux vitrines, vraiment sans demander l’avis de personne.
C’est vraiment d’une bêtise crasse. Exemple: Devant le musée De le Musée de l’Ancien Evêché, il y a toujours eu un banc où les anciens venaient converser, se retrouver: Viré le Banc, des arceaux à la place…
On est finalement dans la dictature du vélo…Des monceaux de vélos ou de cadavres de vélos, accrochés partout.
C’est clair: « caricature dans La mise en oeuvre et modèle coercitif ».
De fait, j’ai voté piolle au premier mandat: jeune, un souffle d’air pur pour Grenoble…Pas 2 fois!
Je me suis vite rendu compte du souffle putride, nauséabond, rabougri, morbide du Père Vert. Qui de fait , le déverse de mal en pis…
Ville sale
Plus aucune animation
Piolle sait il qu il faut que les commerçants et artisans travaillent pour qu eux édiles et f9nctionnaires grassement payés v8vent
L argent ne tombe pas d7 ciel
Piolle, Namur, Back, Confesson…
Les propos hallucinogènes poussent comme des champignons !
Fasciser les mauvais français…
« Carignoniser » les mauvais grenoblois…
La ville grouille de Namuriens, Gardiens de la Révolution Verte, rouges de colère (jamais de honte) lorsque autrui ose émettre des réserves sur leur exercice du pouvoir à Grenoble.
La tactique de diaboliser les citoyens contestataires, ou juste sceptiques, est bien rodée.
Elle leur rapportait des victoires électorales.
Elle leur rapportera des emmerdes, face aux Grognards Grenoblois, de plus en plus remontés contre les petit.es marquis.es bien pensants… mais mal agissants…
Ville en transition vers… une ville dortoir !
Ne reste plus à Mr Namur qu’à édifier des palissades pour encercler chaque quartier.
Faudra lui expliquer que la vie, c’est la mobilité. Que la mixité sociale c’est aussi la mobilité.
8000 arceaux à vélo, paraît-il,
où vont -ils les caser ces verts ?
Il reste quelques mois, avant de les virer, après les arceaux, que
nous réservent-ils ?
La Métro , complice de ces conneries ?