GILLES NAMUR (VERTS/LFI) L’AFFIRME : GRENOBLE N’EST PAS PLUS SALE QU’AILLEURS !
Ils osent tout. L'adjoint en charge de l'espace public (donc de la propreté) Gilles Namur (Verts/LFI) a répondu aux questions du Dauphiné Libéré (04/02/2025) qui s'interroge : "Grenoble est-elle plus sale qu’avant ?".
GILLES NAMUR TOUJOURS DANS LA NÉGATION
Il n'y aurait même pas lieu de poser une telle question si la réponse n'était pas "oui". On ne peut que constater, quartier par quartier, la dégradation de la propreté de la ville. Mais Gilles Namur, en fidèle répétiteur des éléments de langage piollesques et en négateur professionnel du réel, passe l'interview à développer l'idée que ce serait partout pareil et qu'il n'y a pas de spécificité grenobloise. Comment compter sur eux pour traiter le problème si ils refusent de le voir ?

CIRCULEZ Y'A RIEN À VOIR
Pour l'adjoint, c'est circulez y'a rien à voir car ce serait un sujet qui "concerne beaucoup de communes en France", et même "dans le monde". Il suffit de visiter d'autres villes de France pour se rendre compte que Grenoble a un temps de retard. Mais Gilles Namur a un autre argument dans sa botte : "on n’a pas tous la même vision de la propreté". Là, on le rejoint : la majorité municipale et son électorat bobo-écolos semblent en effet bien moins sensible à cette question que la moyenne des Grenoblois. Question de perception esthétique sans doute.
DES INDICATEURS FLOUS
Il évoque également des "indicateurs" pour comptabiliser les déchets récoltés en les classant par type. Et selon lui, on serait dans la moyenne des grandes villes, sauf pour "deux critères qui nous font chuter : les papiers non alimentaires (dans l’espace public) et les tags". Bien sûr il ne donne aucun détails précis sur les chiffres de ces indicateurs pour venir prouver ce qu'il avance. Et on peut raisonnablement estimer que les déchets pris en compte ne sont que ceux qui sont ramassés par les services, pas ceux qui restent dans nos rues jusqu'à ce que parfois de simples citoyens excédés s'en chargent eux-mêmes.





"LES GRENOBLOIS SONT DE PLUS EN PLUS SALES"
D'ailleurs, les agents du service propreté urbaine de la ville eux-mêmes tiennent des propos qui contredisent l'idée que ce ne serait pas pire qu'avant. "Les Grenoblois sont de plus en plus sales" explique l'un d'eux interviewé en vidéo par Le Dauphiné, en précisant évidemment qu'il ne les met pas tous dans le même sac. C'est un fait qui peut s'expliquer par la paupérisation générale de la ville, fruit d'une politique du logement qui place de plus en plus de personnes qui n'ont pas les mêmes codes en matière de propreté.
UN PLAN PROPRETÉ INSUFFISANT
Les agents expliquent respecter un "plan propreté", qui fait qu'ils ne passent pas tous les jours dans les mêmes rues quand bien même ils sont conscients que certaines sont à nouveau salies aussitôt nettoyées. C'est là une question politique : si les élus voulaient traiter le problème, ils alloueraient davantage de moyen au service propreté plutôt que de balancer l'argent par les fenêtres pour créer des postes de "coordinateurs", de "chargés de missions" divers et variés, de "chargé de projet résilience territoriale", "chargé d’études sur les enjeux de redirection écologique et les coopérations par les communs" (!)...
TAGS : LE COMPTE N'Y EST PAS NON PLUS
Même problème à propos des tags, où la brigade dédiée n'a pas évoluée en moyens depuis plusieurs années alors qu'on voit bien qu'elle ne parvient pas à lutter contre le phénomène malgré 50 000m2 de tags effacés par an (là encore, on explose la moyenne : Rennes compte moitié moins de surface taguées). Gilles Namur ose à nouveau évoquer sa "zone zéro tag dans l’hypercentre", qui fait doucement rigoler tout le monde.

"UNE CULTURE ANAR"
Cette fois-ci, il admet qu'il y a une spécificité locale. Il parle d'"un jeu de provocation, une culture anar, c’est un peu spécifique à Grenoble". Et il reconnait que c'est lié au climat politique de la ville, évoquant "un contexte d’actualités (manifestations contre la réforme des retraites, guerres en Ukraine et en Palestine, 49.3 etc.)". Le Rouge/Vert Gilles Namur admet donc que les murs de la ville souillés sont le fruit de ceux qui sont du même bord et partagent les mêmes idées que la majorité municipale...

LES TAGUEURS AGISSENT EN TOUTE IMPUNITÉ
Il reconnait que ces tagueurs qui défigurent Grenoble "ne doivent pas être des centaines" mais n'a rien à proposer pour mettre fin à leur activité. Les chiffres de verbalisation de ces vandales à Grenoble sont ridicules car il n'y a plus, comme c'était le cas par le passé à la ville, d'étude des signatures, des calligraphies pour identifier les individus et leurs groupes et monter des dossiers qui font ensuite l'objet d'enquêtes de la part de la police.





LA MUNICIPALITÉ LOGE LES VANDALES
Et pour cause : la municipalité loge elle-même de nombreux tagueurs à l'origine des slogans politiques de la "culture anar" qu'évoque Namur. En laissant l'ultra gauche profiter de la villa Kaminski au 106 rue des Alliés (propriété municipale), avec des squatteurs à l'origine de nombreux tags dans le quartier. Et en contractualisant carrément avec les anar du 38 d'Alembert, qui souillent eux le quartier St-Bruno, en leur mettant à disposition les lieux qui servent de base arrière à l'ultra gauche à un prix dérisoire. Comment lutter contre ce qu'on entretient ?
EN FINIR AVEC LA POLITIQUE DE L'AUTRUCHE
Prévention, répression et réorganisation. Le problème de propreté de Grenoble n'est pas une fatalité si on commence par en finir avec la politique de l'autruche. En agissant au niveau de la prévention, en cessant de loger des familles qui n'ont pas les mêmes codes de propreté sans aucun accompagnement. Au niveau de la répression, avec des amendes pour les dépôts sauvages et pour ceux qui salissent la ville. Et avec une réorganisation du service propreté, en mutualisant les forces avec la métropole pour plus d'efficacité.
Quand oN A un MUR en face de soi…..🧱🧱🧱🧱🧱
Oui, Grenoble est sale. Oui, les gens de passage et les habitants (qui ne dégradent pas) le constatent.
C’ est une triste réalité.
La propreté satisfaisante de la ville concerne donc le point de vue tout à fait personnel de Mr Namur.
Quand son incompétence rime avec sa suffisance….on en reste pantois !
De fait, il est clair que les nouveaux arrivants accueillis à bras ouverts par piolle mais laissés à l’abandon, n’ont souvent pas la culture de la propreté. Donc, la ville est plus sale.
Je le vois tous les jours, dans mon quartier – Hyper Centre – ma montée, ma rue qui ont beaucoup changé….
Après, Namur 😀 :, c’est vraiment le type qui défend son chef et qui n’a pas peur d’être ridicule.
Je l’ai même entendu au dernier conseil municipal : Dans une association,( l’ atelier pour réfléchir à la politique de stationnement où les Grenoblois, tirés au sort, ressemblaient furieusement à ses « copains politique ») des intervenants n’étaient pas d’accord et remettaient en question ses propos, il les a fait virer et les traitent ensuite de gênants au Conseil Municipal 
Par contre, il ne dit pas que la justice a fait réintégrer ces deux personnes qui fâchées avaient porté plainte….
Franchement, Namur est bien imbu de sa personne pour penser que nous n’avons pas compris ou que nous sommes sans cerveau ou alors, c’est un âne…
Acculé, il est, alors il doit concéder…. du bout des lèvres.
Ça ne doit pas être beau à voir dans son miroir le matin, chez lui….
Namur le Pinocchio négationniste ?
Non, la ville est propre.
Non, il n’y a pas de tag.
Non, nous ne gérons pas de manière dogmatique la ville.
Non, nous ne faisons pas de népotisme.
Non, la ville n’est pas endettée.
Non, Nous ne faisons pas de projet sans écouter les Grenoblois.
Non, nous ne passons pas en force ou vice.
Non, nous n’insistons pas lourdement.
Non, nous n’avons pas besoin de nous remettre en question.
Non, c’est faux que les grenoblois ne nous supportent plus.
Etc, etc, etc…
Par rapport à la « culture anar », acceptée par Namur, est ce que la culture entartrage d’élus véreux ou tag sur véhicule ou logement personnels par exemple, est acceptée ou « c’est pa bien, c’é facho, c’é sale »?
Que Mr Namur aille simplement visiter Meylan, ou encore Uriage, Chamrousse… : il verra vite la différence !
Mr Namur aimerait-il vivre dans les favellas de Rio de Janeiro, ou parmi les chiffoniers du Caire ?
Ras-le-bol de l’esbrouffe de ces élus pour masquer laborieusement leurs échecs face aux vandalisme.
Inacceptable l’excuse minable de Piolle qui accuse son opposant de n’ecouter que Cnews ! Voir DL du 05 fév. : un prétexte fumeux du Melon d’Or pour ne pas avouer son soutien aux anarchistes, aux dealers, et aux adeptes du burkini !
Quand donc aura-t-on des élus intègres, utiles et responsables ???
Le mensonge des élus de la majorité une habitude
Imparable.
La saleté est le « propre » d’une ville, en France comme à l’étranger.
Le narcotrafic également.
Les attaques au couteau aussi.
Et même à Versailles, j’ai vu un tag dégueu, avec marqué « Vive le Roi ».
Piolle, Namur… le martèlent en permanence :
« L’évolution de Grenoble est inéluctable et c’est partout pareil dans la Nouvelle France. Adaptez-vous à la situation plutôt que de chougner ! »
Le cabot G. Namur comme son Maître oublient juste de comparer, nuisance par nuisance, avec d’autres villes. Ils évitent de signaler les proportions Grenobloises effarantes dans certains domaines (violences physiques…), et d’engager les moyens municipaux nécessaires pour infléchir certaines tendances.
Noter aussi qu’une partie des déchets est emportée par le vent, et génèrent alors progressivement des micro puis des nano-particules. Les scientifiques retouvent ces particules au sommet du Mont Blanc et aussi dans le corps humain, y compris dans nos cerveaux !
Mr Namur ferait bien de sortir de chez lui et de savoir que les poubelles débordantes de Grenoble polluent les parcs naturels de Chartreuse et du Vercors !
Pourquoi cette attitude méprisant envers Pinocchio ?
Il est visible, trop visible, qu’il n’y a pas de passage quotidien des employés dans les quartiers périphériques, au delà des Grands Boulevards – les feuilles de l’automne ne sont pas ramassées et consécutivement les déchets qui vont avec – et trop souvent les poubelles débordent faute de passage régulier pour les vider. en bref, la ville est sale et il ne sert à rien de rester dans le déni. quant aux tags, difficile de vouloir lutter contre (et admettre le principe de l’inviolabilité de la propriété) quand on organise et finance un festival de bombes de peinture.
GRENOBLE VILLE TOURISTIQUE ****
Le centre névralgique de Grenoble (l’Office du Tourisme et la Maison de la Montagne) est aussi le siège de quelques SDF qui y ont élu domicile, nuit et jour. C’est moche, ça sent mauvais et cela pourrait repousser quelques touristes…
Mr NAMUR m’a répondu qu’il n’avait de solution magique. Je lui quand même fait remarquer que ces gens ont des droits mais ils n’ont quand même pas le droit de se poser n’importe où (rappelez-vous l’Incendie des Ets Richardson à Echirolles).
Le DL titre :
« Les Grenoblois sont de plus en plus sales » : le coup de gueule des agents de propreté.
Menteur ou aveugle ? Faudrait alerter Mr Namur…
Mr Namur , soyez à la hauteur de vos compétences, reconnaissez que vous vous trompez.