QUAND PIOLLE SERA-T-IL ÉPINGLÉ SUR LES PARADIS FISCAUX ET LES BANQUES ?
« Oui, il y a la BNP ou la Société générale, qui travaillent dans des paradis fiscaux, devance Éric Piolle. Certes, ce n'est pas "clean'", regrette-t-il. S'y ajoutent les fonds d'investissements de gestion privée Indosuez et Halbis Capital Management, filiales respectives du Crédit Agricole et de HSBC, mis en cause dans l'affaire d'évasion fiscale révélée en 2016 par les « Panama Papers ». Raise Partner travaille également avec d'autres fonds importants comme Citadel, Achmea, Millenium ou GLG Partners et, dixit la communication de la start-up, « des clients institutionnels ». (Marianne du 16/4/21)
E. PIOLLE TRAVAILLE AVEC LES BANQUES DANS LES PARADIS FISCAUX
Thomas Rabino avait rapporté ces aveux d'Eric Piolle dans « Marianne ». Oui Eric Piolle travaille très bien avec les banques et dans les paradis fiscaux. Il le confirme lui-même et en cite quelques unes empêtrées dans les "Panama Papers". Il regrette gentiment que "ce ne soit pas très clean...". Ça n'avait pas beaucoup soulevé de hauts le cœur dans les "associations écologistes". Ces révélations intervenaient après celles de Vincent Peyret, rédacteur en chef du Postillon et son livre "le Vert à moitié vide", après celles de l'opposition qui avait dénoncé la première - au moment de la déclaration de patrimoine de Piolle - le transfert à Singapour de ses actions et du siège de la société.
LE MONDE DIPLOMATIQUE: LA BNP PARIBAS INTERMÉDIAIRE CLEF DE LA SOCIÉTÉ DE PIOLLE
Dans "le Monde Diplomatique", même Philippe Descamps, très proche du clan Avrillier avait rappelé que : "pendant sa première campagne, en janvier 2014, Éric Piolle dénonçait « une ville sous l'emprise de la spéculation immobilière ». Il rebaptisait une rue "rue BNP Paribas". Une fois maire, il inaugurait le Central Plaza, un bâtiment construit par la même filiale. Plus étonnant encore, la BNP Paribas apparaît comme un intermédiaire-clé de la société Raise Partner, cofondée par M. Piolle en 2001 et dont son épouse est toujours salariée. Cette banque a recueilli notamment les fonds permettant à la société grenobloise d'être renflouée par une société du même nom immatriculée... à Singapour". La Tartufferie sent vraiment mauvais.
LES FAUSSES ASSOCIATIONS ÉCOLOGISTES PROTÉGENT PIOLLE
Mardi, à l'occasion des manifestations contre le report de l'âge de la retraite, on retrouve "une association écologiste" (DL du 8/3/23,) Action Non Violente (ANV) Cop 21 Grenoble, et un certain Adrien Cherencq, qui se sont à nouveau attaqués aux chaises d'une... agence de la BNP Paribas, exigeant du chef d'agence qu'il "prenne position contre les pratiques de la BNP". Bien entendu, le tout dans une sémantique Mélenchonesque sur "l'argent pour financer nos retraites et la transition écologique".
E. PIOLLE RECONNAIT TRAVAILLER AVEC DES BANQUES DES PANAMAS PAPERS
"La BNP Paribas est impliquée dans tous les scandales fiscaux des Panamas Papers" dénonce Adrien Cherencq. Mais la société dont Piolle est actionnaire aussi, comme il le reconnait lui-même. Elle conçoit des logiciels de sécurisation financière sans aucun critère environnemental ou d’emploi qu'elle vend principalement à des banques dans les paradis fiscaux depuis Singapour, un paradis fiscal.
ACTION NON VIOLENTE (ANV) OUBLIE LE FAUTEUIL DE PIOLLE
Il serait tout de même plus simple de confisquer le fauteuil... d'Eric Piolle pour lui demander de mettre ses actes en accord avec ses préconisations. Trop simple ? En réalité l'extrême-gauche se cache derrière une somme de groupuscules présentés comme "écologistes" ou à vocation éthique (on dispose de l'exemple d'Anticor, une "pure" officine) afin de les utiliser comme vecteurs de ses thèses et protecteurs de ses élus.
ALTERNATIBA : UNE CANDIDATE DES ROUGE/VERTS COORDONNE L'INACTION
Le cas d'Alternatiba à Grenoble animée par une candidate des Rouge/Verts, Fabienne Mahrez, qu'on retrouve partout, est un bon exemple de cette confusion des genres : en lutte contre les paradis fiscaux elle a même tenu une conférence avec lui sur le sujet sans lui poser aucune question... En parallèle la ville de Grenoble a décidé de loger Alternatiba dans des locaux dont elle dispose à l'esplanade. C'est un circuit fermé.
LE GRAND ÉCART ENTRE DÉCLARATIONS, ACCUSATIONS DES AUTRES ET ACTES PERSONNELS
Le silence médiatique - voire la connivence- qui entoure tous ces faits est de plus en plus pesant. Le grand écart entre les actions symboliques s'attaquant aux malheureuses agences locales des banques et le fait qu'un an avant les élections municipales - en 2013 - Eric Piolle signait allègrement le pacte d'actionnaires transférant à Singapour le siège de Raise Partner installé à Grenoble, va finir par produire une grave déchirure.
PIOLLE SIGNE LA CHARTE ROOSEVELT 2012 ET S'ENGAGE SUR L'HONNEUR
Il faut savoir qu'Eric Piolle a aussi adhéré à Transparency international, signé la charte Roosevelt 2012 engageant sur l'honneur ses signataires à n'avoir aucun rapport avec les paradis fiscaux. Il a fait figurer dans son programme municipal un engagement N° 64 selon laquelle la ville "exclura les établissements bancaires concernés par des activités directes et indirectes dans les paradis fiscaux de ses contrats de prêts. Elle demandera un rapport annuel sur leurs activités..."
IL S'EXONÈRE DE TOUT POUR LUI-MÊME
Il devrait donc s'auto exclure de la gestion de la ville s'il appliquait ses principes. Il parait que le rationnel, le factuel, a disparu de l'entendement de nos concitoyens. Que tout est émotion. Ainsi un élu peut il avoir la main sur le cœur sur ces questions - à condition qu'il appartienne au camp du Bien - et il est automatiquement exonéré de tout pour lui-même.
LA SOCIÉTÉ GRENOBLOISE A PERCU DES AIDES PUBLIQUES
La société grenobloise transférée à Singapour a bénéficié d'aides publiques, d'avances remboursables donc d'argent public. Circulez il n'y a rien à voir. Alternatiba, Attac, Action Non Violente, Cop21, Anticor et tous les autres regardent ailleurs.
L'OMERTA LOCALE EST ORGANISÉE
Cette situation bancale est intenable à terme quels que soient les efforts de tous les groupuscules faussement écologistes, qui répandent un rideau de fumée pour cacher ce qu'on ne saurait voir. L'omerta organisée avec le visage d'intervenants cool ou assis dans l'herbe, finira par se fissurer.
LES IMPÔTS DES GRENOBLOIS AUGMENTENT DE 30 %
A quelques jours d'une augmentation massive des impôts qu'il voudrait imposer de voter au Conseil Municipal du 13 mars prochain, ces postures et quelques autres passent de plus en plus mal. Au réel, pour l'instant, ce sont les classes moyennes, modestes, les retraités qui vont subir de l'ordre de 30 % d'augmentation de leur taxe foncière.
PIOLLE NE VOIT BIEN QUE CE QUI EST TRÈS LOIN
Pour l'instant le seul responsable est celui qui affirme tout savoir sur la planète entre 2050 et 2100 mais qui n'a pas été capable d'anticiper les difficultés des années qu'il a sous les yeux en engageant des réformes de structures, des économies de fonctionnement, des mutualisations avec la Métropole afin d'épargner les grenoblois et de leur offrir un service public.
LES VICTIMES VONT DEMANDER DES COMPTES
Si Alternatiba, Action Non Violente, Anticor et quelques autres ne lui demandent aucun compte et le protègent, il n'est pas exclu que ses victimes finissent, elles, par lui en réclamer avec insistance.
BNP = Blanche Neige Production
Souvenez-vous. En 2001 Mrs Peilllon et Montebourg ont dénoncé les pratiques de BNP Paribas qui, par l’intermédiaire de sa filiale Cortal, proposait à ses clients fortunés d’investir au Luxembourg dans un strict secret bancaire. Comme la BNP a toujours démenti, j’ai fini par changer de banque…
J’avais quand même réussi à placer un article dans le n° 192 de septembre 2001 du mensuel Alternatives Economiques qui avait comme titre « BNP lave plus blanc ».
A l’époque j’avais pensé que cet article pouvait être considéré comme politiquement incorrect. En fait la BNP n’a jamais voulu porté cette affaire devant la justice, on peut comprendre pourquoi !!!
Piolle préche l’écologie mais bétonne la ville sans la moindre compensation carbone.
Piolle prêche l’humanisme mais vire du personnel et laisse crever les migrants.
Piolle critique les banques mais les utilise…
Piolle, avec son équipe, fait tout le contraire de ce qu’il avait promis aux électeurs.
Ras le bol d’être pris pour des gogos par ces faussaires qui avancent masqués…
Le problème avec les gens de gauche est que, lorsque vous les traitez d’hypocrites, ils le prennent pour un compliment.
Excellent article, où sont passés les centaines de milliers d’euros touchés lors de son licenciement de HP ? Dans les paradis fiscaux ? Pourquoi ils ne sont pas dans ses déclarations à la haute autorité de la transparence ? On ne fait pas disparaître cet argent en un claquant de doigt à moins d’utiliser des paradis fiscaux pour éviter des flux enregistrés en France.
A creuser !
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Bonjour
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Cdt