38 D’ALEMBERT: » SI JE N’ARRIVE PAS à PARTIR MA VIE EST FINIE… »
"je dois économiser le moindre centime d'euros pour financer mon déménagement loin de Grenoble. Cette ville me donne la nausée. Cette ville est pour moi depuis 2015 synonyme de souffrances diverses et variées. Je vais vendre tout ce que je peux vendre dans mon appartement. Le reste sera détruit. Je ne veux rien laisser de moi dans cette ville de merde" .
E.PIOLLE A INSTALLÉ LE SQUAT DE L'ULTRA GAUCHE POUR 40 ANS
Dans une lettre Isabelle D. voisine du squat officialisé du 38 rue d'Alembert laisse éclater sa colère. Elle est à bout. Après qu'ils aient occupé illégalement les 800 M2 pendant 6 ans, Eric Piolle a décidé d'accorder à l'ultra-gauche anti-capitaliste qui l'occupe un bail de... 40 ans au prix d'un peu plus de 300 € par mois. Juste pour l'acquérir la ville avait dépensé 340 000 €. Une situation si inique que Brigitte Boer, Conseillère municipale d'opposition et Clément Chappet ont saisi le tribunal Administratif pour le dénoncer par l'intermédiaire de Me Thierry Aldeguer avocat spécialisé en droit administratif.
" PAS LES NORMES REQUISES POUR RECEVOIR DU PUBLIC"
" Les amis d'Eric Piolle, écrit Isabelle D. , "sont passés de squatteurs à locataires sans avoir à ne rien changé dans leur mode de fonctionnement. Une seule nuance désormais quand ils veulent organiser un concert dans un bâtiment qui n'a pas les normes requises par la loi pour recevoir du public et pas les normes acoustiques pour un concert afin de protéger le voisinage du bruit. Ils appellent Eric Piolle et le préfet pour arranger leur petite soirée. Et ces deux dernières autorités s'arrangent avec le Procureur de la République pour passer l'éponge sur les agressions sonores. Cela doit se passer à peu prés de cette façon. Donc quoique je fasse ou quoique je dise, cela ne servira à rien... "
UNE VIE INVIVABLE DEPUIS 2015
Sa vie est devenue invivable depuis 2015, même son chien a fait une réaction nerveuse du fait de l'enfer sonore qui lui est imposé. Dépressive , au bord du suicide, elle a subi les menaces sur les murs de son quartier pour avoir porté plainte et cette violence faite aux femmes, aux animaux n'a ému personne dans la majorité municipale qui l'a totalement abandonnée. Aucune réaction des spécialistes autoproclamés de ces luttes. Pas de "cellule psychologique " pour elle.
UN CLIMAT DE HAINE EST IMPOSÉ à TOUT LE QUARTIER
Evidemment la valeur des biens entourant le "38" s'est considérablement dégradée. Dans tout le quartier Berriat d'ailleurs envahi de slogans anticapitalistes , antifas, anti racistes qui souillent en particulier toute modeste copropriété qui à l'audace de faire rénover sa façade. Un climat de haine règne dans tout le secteur lequel se cumule avec la prégnance des dealers qui s'affrontent à la Kalachnikov.
UNE DÉGRADATION STRUCTURELLE
Chacun de ces cris individuels dans un quartier de la ville signe une dégradation structurelle. L'idée qu'une géographie est désormais impossible à vivre sans partager un mode de vie qui supporte le bruit, la saleté, les nuisances, l'insécurité . Car si elle parvient à partir qui va acquérir un logement à bas prix et remplacer Isabelle D.? Ainsi se ghettoïsent les quartiers un par un.
" POURQUOI , APRÉS 15 ANS JE QUITTE LE VILLAGE OLYMPIQUE"
On se souvient peut être de cette lettre ouverte aussi émouvante et angoissée qu'avait adressée une femme de gauche " Pourquoi après 15 ans, je quitte le Village Olympique"... Décrivant ce qu'était devenue la vie de son immeuble et de son quartier , les captifs en larmes qui n'ont pas les moyens de partir, l'effondrement de la valeur des biens qui a ruiné les propriétaires. Aucune mesure n'a été prise depuis lors pour rééquilibrer le quartier en augmentant le nombre de propriétaires et la situation s'est encore dégradée.
LES NOUVEAUX QUARTIERS SONT TIRÉS VERS LE BAS
Chorier-Berriat ou le Village Olympique, Isabelle D. ou cette habitante de gauche, elles sont toutes les deux chaque fois le symbole de ce qui attend la ville au fur et à mesure qu'une sorte de Dr Folamour de l'idéologie est à l'oeuvre.
D'autant que les nouveaux quartiers bétonnés à mort , De Bonne, Châtelet, Presqu'ile, Flaubert ... sont tirés vers le bas à peine sortis de terre. Les malheureux propriétaires qui ont choisi ce qui leur était vendu comme de la "mixité sociale " sont immédiatement spoliés une fois l'acquisition réalisée.
UN CENTRE D'ACTION D'EXTRÊME GAUCHE SUR FONDS PUBLICS
Mais le cas des voisins d'un squat légalisé par la municipalité pour en faire un centre d'action politique d'extrême gauche sur fonds publics est le plus dramatique. Car ils paient avec leurs impôts les nuisances qu'ils subissent, leur appauvrissement et au final d'être chassés de leur domicile.
LE PRÉFET et le PROCUREUR de la RÉPUBLIQUE MIS AUSSI EN CAUSE
Isabelle D. met aussi en cause Laurent Prévost , Préfet de l'Isère et Eric Vaillant, Procureur de la République pour leur immobilisme. Comment comprendre en effet que le moindre bar à musique soit contrôlé sur ses conditions d'hygiène , acoustique, de sécurité et qu'au 38 rue d'Alembert des occupants qui refusent de communiquer leurs noms puissent recevoir du public en toute impunité?
POURQUOI LA COMMISSION DE SÉCURITÉ NE SE PRONONCE T-ELLE PAS?
S'affirmer anti-Etat et anti-autorité assurerait donc une protection des pouvoirs publics et de la justice? Ne pas déplaire à Piolle passerait au dessus de tout? Suite à une alerte , Alain Carignon a demandé au Maire que la commission de sécurité se prononce sur les activités recevables au 38 d'Alembert. Alors qu'il pourchasse partout les éventuels dépassements des bars et restaurants , Eric Piolle n'a évidemment pas bougé.
JUSQU'A QUAND LES GRENOBLOIS SUPPORTERONT-ILS?
Ainsi va la ville ou règnent l'injustice et l'inégalité de traitement. Suivant que vous serviez l'idéologie au pouvoir local ou que vous contribuiez à la prospérité de tous par vos impôts, votre traitement sera différent. Jusqu'à quand ce sera supporté par les Grenoblois?
Piolle, véritable Insoumis, soutient la chienlit !
Et on ne peut même plus compter sur les Autorités-gaucho-bobos-fonctionnaires chargées de faire respecter le Droit…
En lisant ces lignes je suis juste écoeuré, voilà mon premier sentiment en lisant cet article.
J’ai été moi même par le passé victime de nuisances sonores et je sais à quel point cela marque psychologiquement.
Pendant des années après être parti de l’ancien logement le moindre bruit la nuit me faisait sursauter, systématiquement l’oreille tendue, sur les nerfs.
Je sais ce que c’est, je l’ai vécu.
Le fait que ces pourris de pouvoirs publics ne fassent rien signifie juste qu’ils doivent être du même clan idéologique.
Si cette dame lit cet article, qu’elle alerte tous les médias possibles, et si elle en a les moyens, prenne un excellent avocat et leur fasse un procès à tous ces POURRIS.
Ces gens là sont complices dans ce qu’ils font, et je suis arrivé à un stade de saturation concernant les « pouvoirs publics » qui font tout par idéologie et ont oublié qu’ils sont censés servir, être au service, de ceux qui, par leurs taxes et impôts payent leur salaire, le salaire de tous ces CO…..ARDS.
Je compatis fortement aux difficultés de cette personne qui vit un enfer, et j’adhère aux commentaires. Oui, Grenoble est devenue une ville invivable pour un grand nombre d’habitants
Oui, le centre-ville est devenue une chienlit, depuis quelques années , je le confirme, Les nuisances sonores insupportables toutes les nuits bien au-delà de 2h du matin sont devenues un enfer pour les habitants, avec la multiplication des bars et établissements de bouche de toutes sortes, bars à cocktails, bars de nuit, pubs, soirées concerts dans des établissements sans isolation phonique, (je ne m’attarde pas sur les règles de sécurité), envahissement de terrasses bruyantes, rue livrée à la clientèle des établissements non gérée par les gérants, insultes envers les habitants, tentatives de démolir les portes d’entrée d’immeubles pour régler son compte à quiconque ose demander du calme, circulation et stationnement de véhicules pétaradants malgré la piétonisation, sont des faits réels rien que dans une seule rue du centre historique et ne sont malheureusement pas une exception dans d’autres rues et quartiers. Cette situation n’est pas une fatalité, mais le résultat de choix et de décisions idéologiques qui méprisent à n’en pas douter l’existence des habitants qui n’en peuvent plus. Les plus « chanceux » arrivent à fuir l’enfer quotidien de cette ville où il faisait bon vivre. Les plus pauvres ou plus modestes locataires de logements sociaux (en particulier) devront rester au prix de leur santé et de celle de leurs enfants. Leur détresse n’est pas un enjeu pour les pouvoirs publics dont la surdité est consternante.
Quant aux semblants de débats, on ne peut qu’en attendre des semblants d’actions ! Grenoble ville apaisée ??? Y a-t’il quelqu’un qui pourrait m’expliquer ce que ça veut dire ?
ultra gauche ou fascisme ? le 38 ressemble plus à un repère qui devrait être vidé par de vrais antifas
cet endroit est d’une saleté rare . de drôles d’odeurs y règnent . des préparations de repas sans respects des normes sanitaires . Les protégés de Piolle pot sont au dessus des lois . cette situation est intolérable mais il est vrai: Ici c’est Grenoble;
Dehors les fachos du 38 !!!