MARIANNE : « RIFIFI à la MAIRIE de GRENOBLE »
" Délinquance, règlements de compte, islamisme, burkini, attaques gauchistes, ou tensions à Sciences Po: la ville de l'Isère pâtit aussi de la réputation de son Maire" . Le magazine "Causeur " consacre une enquête à Grenoble sous le titre évocateur : " la capitale des Alpes hors de contrôle" .`
C.PINA : " LE PREMIER RESPONSABLE EST LE MAIRE"
La journaliste Céline Pina évoque " la cellule psychologique grotesque mise en place par les équipes d'Eric Piolle " après la mort d'un délinquant abattu par la police place d'Apvril. Elle est très lucide sur Piolle: "son discours et l’idéologie qui mêle gauchisme et islamisme, dont il est un des représentants, sapent les fondamentaux de notre contrat social (...) Proche de l’extrême-gauche décolonialiste et racialiste, il est très sensible à la rhétorique des islamistes et est devenu un de leurs meilleurs relais (...) Le premier à être responsable de cette culture de l’impunité et du sentiment que la ville est un open bar pour règlements de compte est le maire" .
" LA LÉGITIMATION D'UNE FORME DE VIOLENCE"
" Causeur" se penche sur l'état de la ville et ça ne sent pas bon : "le discours du maire entre excuse sociologique et mise en accusation de l’Etat parait légitimer un refus du système qui de politique a basculé dans la légitimation d’une forme de violence (...) Entre les incendies revendiqués par la mouvance gauchiste qui ont animé l’année 2017, l’explosion du trafic de drogue et les happenings islamistes, la ville commence à concentrer tout ce qui fait exploser la délinquance de proximité et la violence au quotidien."
Ce que vivent les grenoblois est maintenant observé par certains médias avec anxiété.
GRENOBLE : 53% PLUS D'AGRESSIONS VIOLENTES
"Ce n’est pas un hasard si Grenoble en 2018 comptait 53% plus d’agressions violentes comparé à un panel de huit villes équivalentes" précise Céline Pina. Concluant : "son attitude, son discours et l’idéologie (...) contribuent à créer un environnement favorable à l’ensauvagement, aux tensions raciales, au refus de la loi et au rejet de la police.(...) Le problème c’est que ce sont les habitants qui sont en première ligne, quand l’attitude du maire les expose."
LE BRUTAL LICENCIEMENT D'Enzo LESOURT
Depuis le brutal licenciement de Enzo Lesourt, son principal collaborateur des médias se lâchent sur sa situation réelle : "L'équipe d'Éric Piolle ne tangue pas que parmi les élus, car le conseiller historique du maire, Enzo Lesourt, a lui aussi été poussé vers la sortie. Dans une longue lettre de sept pages, cet ancien proche d'Éric Piolle explique comment il a été « licencié » par le maire de Grenoble après avoir travaillé d'arrache-pied, notamment pendant ses vacances, pour sa candidature à la primaire écolo : « Bien qu’étant l’un des plus anciens membres de l’histoire grenobloise, il m’est aujourd'hui "proposé" de partir avec les droits d’un contractuel de la fonction publique de moins d’un an d’ancienneté, c’est-à-dire avec une prime de précarité quasi nulle et un chômage amputé ».
PIOLLE : UNE " POLICE POLITIQUE"
Dans "Marianne" Jean-Louis Adenor décrit une partie des coulisses du dernier "remaniement " de Piolle. Règlements de comptes, improvisation, départs, mises sur la touche, tous les ingrédients d'un " Rififi à la Mairie de Grenoble" - titre de son article- sont réunis. Le sous-titre " police politique" est autant évocateur des méthodes violentes de Piolle dénoncées par Enzo Lesourt.
C.LE BRET ÉLUE ( Verts/FI) DÉMISSIONNAIRE " MÉPRISÉE PAR LE MAIRE"
En janvier Chloé le Bret , une élue Rouge/Verts a démissionné avec fracas dénonçant elle aussi les méthodes Piollesques : " Il y a eu rupture de confiance" Elle dit qu’après, elle a essayé « de joindre Eric Piolle ». En vain. « J’ai eu l’impression d’avoir été méprisée par le maire… » rapportait Eve Moulinier dans le DL ( 21/10/21) . Or on a appris depuis que cette élue n'est autre que la compagne de... Enzo Lesourt. Est-ce que le système Piolle a décidé de se venger du Conseiller Spécial, malgré tous les services rendus?
LES LIENS FAMILIAUX CACHÉS AUX GRENOBLOIS
L'opacité du système est telle que les grenoblois ignorent tout des liens familiaux permettant tous les népotismes. On se souvient de Mayvonne Boileau, Présidente de Grenoble-Habitat, Compagne de Vincent Comparat , Président de l'ADES, dont la fille, Laurence, était Adjointe au Maire. De Claire Kirkacharyan, mère des enfants de Raymond Avrillier propulsée Première Vice Présidente de la Métro... Aucun citoyen n'est informé de ces liens et tous peuvent de bonne foi s'adresser à un haut fonctionnaire ou à un élu pour se plaindre de la décision ou du comportement de l'un d'eux en ignorant qu'il s'adresse à son compagnon ou sa compagne !
LES ÉLUS EXPLOSENT EN VOL UN à UN
Le "nouvel" exécutif mis en place reflète l'implosion de la tromperie initiale sur laquelle Piolle a été élu puis réélu. ça ne peut évidemment plus durer. Ces élus n'ont plus une once de crédibilité . La dernière tentative de Lucille Lheureux ( Verts/FI ) avec son rapport de plus de 200 pages expliquant notamment la grandeur des efforts de la municipalité sur le patrimoine au moment ou Alain Carignon révélait le rapport qui avait été caché sur l'état de l'ancien Musée de Peinture a fini de l'achever. Après ses clients qui ont jugé de sa compétence, l'ampleur de son mensonge la démonétise définitivement.
L'ORGANISATION CLANIQUE NE PEUT PLUS FAIRE FACE
Le noyau dur des répétiteurs ne suffit plus à combler le vide abyssal créé par l'absence de tout intérêt de Piolle à la vie des grenoblois et par le pathétique de son ambition nationale démesurée. L'organisation clanique elle-même menacée par les foucades du Grand Timonier ,ne peut plus faire face à la nouvelle donne. Le fait que des médias s'en emparent est plutôt bon signe pour les grenoblois.