DES RESPONSABLES LR ROUÉS DE COUPS PAR L’EXTRÊME GAUCHE EN PLEIN CENTRE VILLE

Alors qu’ils étaient attablés à la terrasse d’un bar près du square Docteur-Martin à Grenoble, Hanane Mansouri, responsable des jeunes LR38, Maximin Ytournel, suppléant de Brigitte Boer (la candidate LR dans la première circonscription) et Yvenn Le Coz responsable du syndicat étudiant UNI, ont reconnu plusieurs militants dits "antifas" à une autre terrasse.

LES NERVIS ANTIFAS POURSUIVENT LES RESPONSABLES LR RUE ST-JACQUES

Les voyant enfiler leurs casquettes et leurs masques de voyous, les trois responsables politiques ont tout de suite compris qu'ils allaient s'en prendre à eux et ont appelé immédiatement le 17 pour alerter la police. Ils sont parti par la rue Saint-Jacques pour rejoindre la rue Félix Poulat et ont été rattrapés par les nervis : « le plus virulent du groupe s’est approché et m’a donné un coup de poing en pleine tête. Après, tout s’est enchaîné… » raconte Maximin Ytournel au DL (21/4/22).

Maximin Ytournel, candidat suppléant de Brigitte Boer aux élections législatives dans la 1ère circonscription, victime de ces violences 

LA SEULE FEMME DU GROUPE PARTICULIÈREMENT TABASSÉE

Traités de" fachos "et autres injures sexistes, ils ont été tabassés, Hanane Mansouri, la seule femme du groupe étant particulièrement visée par ceux qui professent à longueur de discours la lutte contre la violence faite aux femmes : elle a pris des coups de poings et une tentative d'étranglement.

L'équipage de police est arrivé alors que les délinquants avaient pris la fuite.

L'agression en plein centre-ville

E.PIOLLE N'A PAS UN MOT POUR CONDAMNER CETTE VIOLENCE

Immédiatement, Laurent Wauquiez, Valérie Pécresse, Alain Carignon et beaucoup d'autres ont apporté leur soutien aux victimes et condamné cette intolérable violence dans les rues de Grenoble. Comme à son habitude, Éric Piolle n'a pas eu un mot, lui si prompt à dégainer un tweet pour un minuscule fait divers qui se produit à l'autre bout de la France et qui correspond à ses dogmes. 

A.CARIGNON APPELLE E.PIOLLE à METTRE FIN AUX FACILITÉS ACCORDÉES à L'ULTRA-GAUCHE

Dans un communiqué Alain Carignon "appelle Eric Piolle à la dénoncer et à prendre toutes les mesures pour mettre fin à cette insupportable violence de l’extrême gauche, à mettre fin à toutes les facilités qu’il lui accorde." Ajoutant : "Je demande à nouveau à Gérald Darmanin de prononcer la dissolution de tous ces groupes prétendument « antifas » et autres qui menacent la démocratie et veulent interdire tout débat" 

Clément CHAPPET CANDIDAT LR AGRESSÉ PLACE ST BRUNO

Après Clément Chappet, candidat LR qui été roué de coups place Saint-Bruno par des distributeurs de tracts de Jean-Luc Mélenchon, un militant de la majorité présidentielle bastonné, des tagueurs fous qui s’en prennent aux habitants qui protestent contre la dégradation de la ville, c’est un climat de peur qui s’installe dans la ville. 

L'agression de Clément Chappet place Saint-Bruno

LA CHASSE AU FACIÉS POLITIQUE EST OUVERTE à GRENOBLE

Par ces ratonnades d’un autre temps, ces chasses au faciès politique comme ces slogans agressifs sur tous les murs de la ville, l'extrême gauche veut faire de Grenoble, idéologiquement et physiquement, sa propriété sur fond d'incitation à la haine. Si on cumule avec le pouvoir pris par les mafias dans les quartiers, qui s'exerce lui aussi par la violence, on comprend pourquoi Grenoble est devenue en 2018 la première ville de France pour les agressions violentes et les vols à la tire. Agressions qui ont encore augmenté de .... 30% en 2021 selon le Procureur Eric Vaillant. 

DES GROUPUSCULES LOGÉS DANS DES LOCAUX MUNICIPAUX

Comme en témoignent également tous les sabotages, les incendies criminels contre des institutions de la République qui se sont multipliés en même temps que les squats municipaux mis à la disposition de l’ultra gauche. C'est en premier lieu au Maire de rétablir le calme en cessant d'installer des cellules dites " antifas" ou " antiracistes" ou de "lutte contre le capitalisme" dans des locaux municipaux : elles ne sont que le paravent de groupuscules politiques qui veulent désigner ceux qui ont le droit de participer au débat public.  

GRENOBLE ZONE ANTIFAS, ZONE ANTIRACISTE ....

"Grenoble zone antifas" ou " Grenoble zone antiraciste " les slogans qui fleurissent sur les poteaux de la ville créent un frontière au-delà de laquelle ils peuvent agresser quiconque est disqualifié par eux. Ce régime et sa violence ne peuvent être acceptés. 

UN GRENOBLOIS SUR DEUX N'A PAS VOTÉ MÉLENCHON ou JADOT

Tous les démocrates doivent s'opposer à cette évolution voulue de la ville : un grenoblois sur deux n'a pas voté Mélenchon ou Jadot. Même s'ils étaient encore plus minoritaires, ils auraient droit à la parole. Cela se nomme la démocratie à laquelle ses héritiers du communisme, du trotskisme sont fondamentalement opposés. Car "le camp du bien" ne peut accepter quiconque ne lui ressemble pas. Il est d'ailleurs prêt à le tabasser. Pour commencer.

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