UN MILLION D’EUROS POUR LES RÉUNIONS du CONSEIL MUNICIPAL !
Tout guilleret, Vincent Fristot, inamovilble élu (Verts/Ades) de la bande Avrillier depuis 1995, Adjoint au Maire, Président de GEG le confirme à Jean-Benoit Vigny (DL du 26/12/21) : la municipalité consacre … un millions d’€ à la salle du Conseil Municipal. En face, bd Jean Pain, la salle du Conseil de la Métropole a couté 1,2 Millions d’€. Ainsi pour que les élus de ces deux collectivités se réunissent le contribuable aura déboursé 2, 2 Millions d’€ !
LE BATIMENT NE RÉPOND PAS AUX NORMES de SÉCURITÉ INCENDIE
Dans un hôtel de ville abandonné qui n’est plus aux normes de sécurité et pour lequel il faut investir des millions d’€ pour seulement 500 postes de travail. Une gabegie. Il s’agit note le journaliste de « rattraper les erreurs du passé puisque le bâtiment ne répond pas suffisamment aux normes incendie ». Même pas du tout selon la commission de sécurité. Mais de quel "passé" s'agit-il alors que l’Adjoint qui répond est là depuis 26 ans ? On ne le lui demande pas. Vincent Fristot avertit tout de même que « tout ne sortira pas dans ce mandat mais le plan d’actions est lancé». On est totalement dans la com’ municipale pour laquelle les « plans d’action » succèdent aux « plans d’action » sans qu’aucun résultat ne soit tangible dans le mandat. Si les médias étaient attentionnés, ils s’attarderaient sur la multiplication de ceux-ci dans tous les domaines ou la municipalité pêche lourdement.
LA FRANCHISE DES ASSURANCES EST DE 750 000 € !
Jean-Benoit Vigny note sobrement que sur le million de travaux " une bonne partie pourrait être à la charge de Grenoble, puisque le contrat d’assurance prévoit une franchise de … 750 000 € ". Pourquoi ? on ne le saura pas. Alors pourtant que la cause est connue : le niveau de sinitralité de la villle est si élevé qu’elle est de plus en plus difficilement assurable. Les compagnies se sont protégées. L’absence de caméras de vidéo-protection -autre sujet traité par le journaliste avec « l’étude « de Guillaume Gormand- pèse très lourd dans l’augmentation de la franchise, ce qui semble plaider lourdement pour leur efficacité.
Mais « Vincent Fristot assure : « Il y aura une recette sur le montant ». » En effet , peut être 250 000 € sur un million de dépense. On mesure à sa réponse la sémantique de l’enfumage des Rouge/verts Grenoblois.
LES FACHOS ANARCHO-GAUCHISTES : UNE VIOLENCE TOLÉRÉE
Rien non plus de Vincent Fristot si prompt à dénoncer la violence de « l’essstrême droite « qui est partout, les médias en rajoutant plutôt dans ce sens, sur les auteurs de ces incendies criminels : la mouvance anarcho-gauchiste qui tient le haut du pavé à Grenoble, avec les nervis « antifas », vrais fachos eux-mêmes, dont on peut penser que les squats municipaux du 38 rue d’Alembert et du 106 rue des Alliés sont des abris. Cette violence-là qui s’attaque au fonctionnement de la démocratie, qui fait payer ses exactions au contribuable modeste, ne revient pas en boucle quand on traite de l’incendie criminel de l’hôtel de ville.
L'OPPOSITION AVAIT PROPOSÉ LA MUTUALISATION AVEC LA MÉTROPOLE
L‘opposition avait proposé la mutualisation de la salle du Conseil avec celle de la Métro et de transporter le Maire et les services dans tous les bureaux vides, en particulier dans les quartiers, d’utiliser des appartements HLM dont plus personne ne veut afin de rééqulibrer les quartiers, de faire de l’Abbaye une cité-bureaux de la ville, de placer au centre de la ville une antenne administrative répondant à tous les besoins des citoyens, d’utiliser l’ancienne Mairie du jardin de ville pour les mariages et les réceptions et d’étudier un projet avec des partenaires privés investisseurs pour une autre destination de l’hôtel de ville.
É.PIOLLE POURSUIT UNE POLITIQUE DU PASSÉ
Bref un big bang à la hauteur des problèmes financiers de la ville , dessinant un autre avenir avec la reconquête des quartiers.
Au contraire avec ce premier million pour la salle du Conseil Municipal, la folle acquisition du siège du Crédit Agricole dont Nicolas Pinel ne parvient toujours pas à obtenir le coût total (acquisition+ travaux + démolition du siège du CCAS) Éric Piolle poursuit une politique du passé. Qui le prive de sauver la piscine Vaucanson ou l'ancien Musée de Peinture de la place de Verdun.
LE GRAND TIMONIER A CHOISI SEUL UNE OEUVRE POUR LA SALLE DU CONSEIL
Ce n’est pas la soudaine apparition de Lucille Lheureux l’Adjointe ( Verts/FI) aux cultures ( !) qui va rassurer : elle annonce qu’un jury dont personne ne connaît l’existence a choisi une œuvre qu’elle refuse de nommer et de montrer ( !) mais annonce : « « on est en effet dans quelque chose qu’on ne peut pas ignorer » dit-elle (DL du 26/12/21). La dernière fois que le Grand Timonier a choisi seul d’imposer un nouveau mobilier urbain qui a donné les caissons en bois et les ridicules "Vox," une espèce de panneau d’affichage municipal écolo, fait d’un porte-voix bricolé dont l'auteur choisi par Lui, Alexandre Moronnoz officie depuis 2018 sans appel d’offres, on sait ce que ça a donné.
L. LHEUREUX (VERTS/FI) à L'OEUVRE : TOUT EST à CRAINDRE
On peut donc tout craindre avec Lucille Lheureux en exécutrice besogneuse des basses œuvres. Cette «rénovation» de la salle du conseil Municipal est un beau symbole de la réalité de la politique du Grand Timonier : derrière le vide des mots, une absence totale d’anticipation et d’imagination sur une future organisation municipale, un refus de toute mutualisation permettant des économies d'échelle , une dépense inconsidérée du fait du niveau de la situation financière de la ville. Bref une impréparation générale.
LA PROMESSE D'AGRANDIR L'ESPACE PUBLIC PAS TENU NON PLUS
A cela, cerise sur le gâteau, il faut ajouter la trahison des promesses puisque parmi ses si nombreux engagements Éric Piolle devait « agrandir l’espace réservé au public et permettre un accueil de tous les habitants sans distinction ni entrave « ( !) . EngagementN°14. Oui ce dossier est aussi représentatif que les autres des tares de la gestion Piolle !