ILE VERTE : LES KHMERS VERTS ONT ENCORE FRAPPÉ
Le propriétaire d’un 4X4 qui avait garé son véhicule à hauteur du 33 quai Jongking a découvert le 8 décembre que ses 4 roues ont été crevées dans la nuit. Un auto collant dénonçant ce type de véhicule avait été apposé sur son pare-brise selon le DL (9/11/21) ce qui laisse à penser que les khmers verts ne les tolèrent plus sur le territoire de la commune. Le quartier de l’Ile Verte est l’un des fiefs de Piolle, tenu par Gilles Namur (Verts/Fi) avec une Union de Quartier relais. Une partie des habitants pétitionnent contre la bétonisation du secteur et notamment la disparition d’un espace de respiration rue Lachman.
Mais il ne viendrait à personne de crever les pneus des vélos de fonction des élus Rouge/Verts pour leur faire entendre raison.
L'ILE VERTE BÉTONNÉE, MAIS LE 4x4 INTERDIT !
Les Rouge/Verts peuvent « betonner « un quartier entier, anciennement respirable, aggraver considérablement le réchauffement climatique dans la cuvette grenobloise très sensible aux périodes de canicule, mais aucun grenoblois n’a le droit de posséder un 4 x4. Pourtant la violence c'est évidemment selon É. Piolle la vilaine "esstrême droite" qui est partout et il ne lui viendrait jamais à l'idée de condamner celle-là
LES DÉLINQUANTS PEUVENT STATIONNER LEURS GROSSES CYLINDRÉES
Déjà, quartier de Bonne, récemment des visiteurs avaient trouvé leurs véhicules haut de gamme très dégradés en sortant de leur hôtel. Une loi non écrite est désormais connue : Grenoble est interdite aux grosses cylindrées, excepté dans les quartiers tenus par les dealers dans lesquels les Khmers Verts ne se risquent pas ! Par ce prisme toute une catégorie de population aisée ne pénètre plus dans la ville. On imagine que les clients d’hôtel 4 étoiles viennent rarement en twingo ou a vélo….. Ce qui est accepté pour les délinquants à Grenoble est refusé à ceux qui gagnent leur vie par leur travail.
LA PAUPÉRISATION DE LA VILLE SE POURSUIT
La paupérisation de la ville se poursuit par tous les bouts. De tous les quartiers nous reviennent les images de l’abandon de la ville. Il faudra un jour mesurer l’impact sur la pollution de toutes ces voitures brûlées, ces poubelles en plastic qui dégagent une fumée noire particulièrement chargée en polluants. Visiblement la municipalité ne peut plus suivre puisque ces friches demeurent des semaines sans être ramassées. Il semble que la Fourrière municipale soit encombrée de voitures incendiées que personne ne vient plus réclamer.
É.PIOLLE AVAIT PRIS L'ENGAGEMENT de L'ENTRETIEN de L'ESPACE PUBLIC
A ceux qui veulent rire jaune rappelons les engagements du Grand Timonier lequel proclamait (N°87) la larme à l'oeil que "trop souvent quand nous nous déplaçons en ville, nous constatons que l'espace public est sale, mal entretenu, triste, voire laissé à l'abandon..." Il allait évidemment remédier à cela. Les grenoblois savent ce qu'il en est depuis 7 ans. Sous sa haute autorité, deux adjoints successifs, Lucille Lheureux (Verts/FI) la nouvelle brillante commerçante du cours Berriat et Gilles Namur (Vette/FI) l'homme pour qui les beaux jours sont responsables des poubelles qui débordent, ont été chargés de "l'espace public".
Comment être aussi lamentable ? Entre les fachos de l'anti-voiture, la lutte des gangs et l'absence d'entretien, le spectacle de la rue grenobloise gagne chaque jour un peu plus en attraits. Mais pas de ceux auxquels les grenoblois aspirent dans une cité apaisée.