CAMP MUNICIPAL DE ROMS des ALLIÉS : 500 € DE LOYER MENSUEL
Le camp municipal de Roms de la rue des Alliés a brûlé et une partie de l’entreprise Richardson avec parce qu’un « locataire » ne payait pas son loyer de 500€ par mois.
CE QUE L'OPPOSITION A DÉNONCÉ, VÉRIFIÉ PAR LES FAITS
Ce que dénonce l’opposition depuis des mois en se faisant traiter de "nauséabonde" par Éric Piolle est vérifié par les faits. Denis Masliah et Stéphane Blézy ont révélé dans le « Dauphiné » d'hier que l’homme soupçonné de l’avoir allumé, un Roumain de 33 ans, a été mis en examen vendredi soir par un juge d’instruction pour « tentative d’homicide et destruction par moyen dangereux » avant d’être placé en détention provisoire. »
N.BÉRON-PEREZ (PCF) : "DES SYSTÈMES D'EMPRISE"
L’organisation mafieuse de ce camp ne fait pas de doutes comme d’ailleurs la filière organisée. Celle- ci a même été reconnue dans un rapport présenté à la Métropole par le Vice-Président chargé du logement, Nicolas Béron-Perez (PCF) : « les personnes Européennes qui viennent à Grenoble sont originaires de quelques villages de l’ouest de la Roumanie. Il semble qu’elles soient régulièrement concernées par des systèmes d’emprise, notamment d’endettement pouvant se prolonger jusqu’en France. Le fonctionnement des squats ou bidonvilles laisse également clairement apparaître un système de marchands de sommeil intolérable dans lequel les familles sont amenées à payer leur emplacement parfois jusqu’à 200 € par mois… »
LES LOGEMENTS HLM TAXÉS AUSSI ?
Il n’était pas à jour pour les loyers. Il circule maintenant que même dans les logements attribués aux Roms, qu’il s’agisse de HLM ou d’anciens logements d’instituteurs la dime est toujours due et payée sous peine de rétorsions sur place ou au pays. Et on ne plaisante pas comme le « Dauphiné » l’a rapporté avec l’incendie du camp : « le trentenaire aurait en effet déclenché l’incendie par aspersion d’essence sur le cabanon occupé à ce moment-là par la famille de quatre personnes, ce qui, bien évidemment, aurait pu causer leur mort »
LA MUNICIPALITÉ COMPLICE AU MOINS PASSIVE
Une bonne raison pour Éric Piolle d’avoir permis la réinstallation du camp. Sans jamais s’interroger sur ce qu’il autorise de ce fait : « La “location” des emplacements sur des terrains municipaux implique la responsabilité de la municipalité, qui a laissé le campement s’installer, se développer et se réinstaller, faisant d’elle une complice passive » a lancé hier le groupe d’opposition présidé par Alain Carignon.
DES TRAFICS SANS FIN
« Il n’est plus possible de continuer à favoriser ces trafics sans fin, puisque les Roms logés en HLM seront remplacés par d’autres arrivées comme cela se renouvelle depuis des années dans divers emplacements de la ville. L’immobilisme municipal contribue à enrichir une mafia qui vit de ce trafic d'êtres humains »
L'OPPOSITION DEMANDE DES ENQUÊTES
Ajoutant : « nous demandons que la Municipalité décide une enquête sociale sérieuse préalable de tous ces dossiers, qui détermine les conditions d’arrivées sur le territoire de Grenoble afin de s’attaquer à la source de ce trafic et de mettre fin à l’emprise des gangs. Dans le cas contraire, la Ville continuera à alimenter un trafic sans fin et enrichira les pires des délinquants.
LA SPIRALE DE LA MISÈRE et de la DÉLINQUANCE
Quand on se rappelle les propos d’Éric Piolle au Conseil Municipal lorsque l’opposition alertait sur la réalité de la situation, lequel jouait la comédie du surgissement pratiquement de la peste brune, on mesure sa duplicité et son incompétence. Il favorise de fait depuis des années un circuit organisé de marchands de sommeil favorisant aussi la spirale de la misère et de la délinquance pour les victimes.
LES PROCÉDURES RISQUENT DE S'ACCUMULER
Mais sa responsabilité est de plus en plus engagée et les procédures risquent de s’accumuler sur son dos. Après celles du Pont Esclangon, de la place aux enfants, des contribuables s’interrogent sur la légalité de son subventionnement à une organisation militante, les gilets jaunes, ou encore si la ville a le droit de ne plus remplir une obligation du programme scolaire, à savoir l’apprentissage de la natation pour tous les élèves.
RICHARDSON VEUT AUSSI QUITTER LE QUARTIER
On imagine que l’entreprise Richardson qui veut maintenant quitter le quartier Alliés Alpins va mettre en cause la responsabilité évidente de la ville dans l’incendie. Après le Crédit Agricole et le siège de la Chambre d’Agriculture déjà partis, l'UMH38 qui ne peut pas du fait de la chute de la valeur des biens. Quel bilan !
DES MEMBRES de la MAJORITÉ : "ça ne peut plus durer"
Dans ce climat délétère Éric Piolle a fait tout à coup ces derniers jours des réapparitions répétées à Grenoble : cérémonie du souvenir, marché de Noël, Mosquée Teisseire… après une longue absence. Il a fini aussi par lâcher son ami Nicolas Hulot à propos des violences sexuelles. Pas encore Esther Benbassa et Juan Branco… Selon nos échos des membres de la majorité municipale ont fait passer le message par le tout puissant cabinet : » ça ne peut plus durer , ça suffit ».
Pour que le Grand Timonier accepte de descendre un instant de son piédestal, il faut que ça chauffe vraiment. Mais chassez le naturel, il revient au galop. Aucune chance qu’Éric Piolle s’intéresse à Grenoble et trouve le goût de traiter les problèmes des grenoblois. Ce n’est pas de son niveau.
Cet « arc humaniste » piollesque est totalement absurde par rapport aux attentes sociales des grenoblois.