RUE des ALLIÉS : É. PIOLLE RÉINSTALLE LE CAMPEMENT de ROMS

Dès dimanche et lundi, la fumée se dégageant encore du camp de Roms de la rue des Alliés,  des occupants ont réinvesti les baraquements qui n’avaient pas brûlé attendant de pouvoir se réinstaller totalement sur le terrain municipal avec de nouvelles caravanes. Les voitures qui accompagnent ces va et vient ne témoignent pas d’une pauvreté extrême.

HABITANTS ET ENTREPRISES EXTRÊMEMENT CHOQUÉS

Les habitants et les entreprises riverains sont extrêmement choqués par ce laxisme municipal. Une entreprise, Richardson et ses 70 salariés, a été provisoirement mis KO, une fumée noire a surplombé la Métropole sans qu’on connaisse les conséquences sur la santé, ces campements sont dénoncés comme étant tenus par des marchands de sommeil dans les propres documents de la Métropole, mais Éric Piolle ne bouge pas d’un pouce. 

N.PAULETTO (Richardson) : "AUCUN CONTACT AVEC LA MUNICIPALITÉ"

Au contraire, selon Emmanuelle Dufféal la journaliste du « Dauphiné  «  (22/11/21)  Nathalie Pauletto, directrice de Richardson « aurait apprécié ce même élan de solidarité, au moins un soutien moral de la ville de Grenoble ». «  je n’ai eu aucun contact avec la municipalité «  précise Madame Pauletto.

É. PIOLLE CE WEEK END à PARIS AVEC Sandrine ROUSSEAU

Éric Piolle qui avait tweeté après le décès de Gaspard Forest pour faire part de son émotion alors qu’il avait toujours très mal reçu ses initiatives, était à Paris ce week end pour manifester aux côtés de Sandrine Rousseau contre la violence faites aux femmes. Il a donc autre chose à faire que de s’occuper de Grenoble qui brûle par sa faute. Et d’exprimer une quelconque solidarité à l’égard … d’une femme cheffe d’entreprise. Alain Carignon a échangé avec elle au nom du groupe d’opposition. 

N.KADA (Verts/Fi) RÉPÈTE LES ÉLÉMENTS DE LANGAGE DÉPASSÉS

Au lieu de tirer les conséquences de ce qui aurait pu être un drame, Éric Piolle n’a rien modifié malgré les déclarations de Nicolas Kada, Adjoint au Maire (Verts/FI) l’une des nombreuses voix de son Maitre répétant seulement les pauvres éléments de langage du cabinet selon lequel « un processus de résorption du camp était engagé «  (!). Depuis des années. D’ailleurs afin de conduire ce « processus », le brave Kada réinstalle le camp sur place.

"LA MUNICIPALITÉ DEVRAIT PROTÉGER LE SITE" 

Dans un communiqué publié hier, le groupe d’opposition présidé par Alain Carignon demande au contraire « à la municipalité de protéger le site, de faire engager des enquêtes sur les vendeurs de sommeil qui stationnent avec leurs grosses cylindrées autour du camp, de traiter enfin le squat qu’elle autorise dans son immeuble de la rue des Alliés et le camp du parc Alliance «  

B. KUBLER "ON EST DES LAISSÉS POUR COMPTE" 

Le groupe considère la réouverture «  comme une provocation qui ne résout rien pour les occupants et prolonge les nuisances pour les riverains «. Ceux -ci s'expriment dans le "Dauphiné" de ce matin (23/11/21) et tiennent le même discours que l'opposition. « On est des laissés pour compte ici, lance Baptiste Kluber, de l’entreprise Point S. Il n’y a pas seulement le problème de ce campement qui a brûlé, c’est toute la rue qui est laissée à l’abandon, tout est tagué en permanence. Ici, c’est le bazar. »  "La lassitude guette" relèvent Isabelle Calendre et Jean-Benoit Vigny dans leur article (DL du 23/11/21) 

A. FREYSSINET : "VOITURES, BOUTEILLES, SERINGUES..."

Pour Alain Freyssinet, vice-président de l’Automobile club dauphinois, dont le siège fait face au campement : « Là, c’est la touche finale. Car il y a aussi le squat avec des allées et venues de voitures que nous avons signalées à plusieurs reprises. Et ces bouteilles, ces seringues, que l’on retrouve régulièrement le matin sur notre parking dont le portail a été enfoncé. Et ces vitres du rez-de-chaussée qui ont été brisées. »

D. CHAVANT : "NOS LOCAUX SONT INVENDABLES" 

Et Danièle Chavant, Présidente de l'Union des Métiers de l'hôtellerie (UMIH38) dont le siège se trouve en face de la maison municipale squattée par l'ultra gauche avec l'accord d'Éric Piolle : « en raison de cet environnement et des incivilités qui se multiplient » souhaitait quitter les lieux « mais nos bâtiments sont désormais invendables, inlouables. On perdrait 50 % de notre investissement. »

CRÉDIT AGRICOLE, MAISON de L'AGRICULTURE SONT DÉJA PARTIS 

Pas très loin le siège du Crédit Agricole est parti, le siège de la Maison de l'Agriculture aussi. Les habitants propriétaires subissent la même spoliation que l'UMIH38. Merci qui ?  Mais l'opposition municipale qui décrit ce processus et ses victimes en s'appuyant sur le réel n'a pas la parole.

SQUAT DU 106 RUE DES ALLIÉS : LA MUNICIPALITÉ LAISSE FAIRE

Au moment où les occupants de la maison municipale du  106 rue des Alliés qui avaient chaud ont été contraints d’évacuer pour des raisons de sécurité, n’était-ce pas l’opportunité pour la municipalité de mettre fin à ce capharnaüm qui désorganise toute la vie d’un quartier, dévalorise les biens de toute une population ?

LE CONTRIBUABLE GRENOBLOIS PAIE LA NOTE

Non, elle a laissé tout ce beau monde reprendre possession de lieux qu’ils peuvent dégrader à souhait sans payer ni loyer, ni eau, ni électricité,  sans aucune règle d’hygiène ou de sécurité. ils changent la société aux frais du contribuable grenoblois le plus imposé de France! 

TRISTE SYMBOLE DE LA GESTION PIOLLESQUE

Avec cette nouvelle affaire aux conséquences sociales, environnementales, financières encore inconnues est un triste symbole de la gestion Piollesque. Que se passera il si la société Richardson se retournait contre la ville ce qui serait son devoir d’entreprise ? que se passerait-il pour le contribuable Grenoblois ?

É. PIOLLE NE RÉPOND RIEN, TOTALEMENT ABSENT 

Sur tous ces sujets, y compris les risques des éventuelles retombées de pollution pour la population grenobloise Eric Piolle ne répond rien, totalement absent. Grenoble brûle désormais au propre comme au figuré. Jusqu’où ?

 

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