É. PIOLLE REFUSE DE PAYER SES DETTES à la MÉTRO

Blocage pour l’instant. Devant les Conseillers Métropolitains Christophe Ferrari (PS Repenti) a pris un malin plaisir à dérouler implacablement le dossier de la dette de 1,5 millions d’€ qu’Éric Piolle refuse de régler à la Métro. Un groupe d’experts et d’élus a travaillé sur le transfert du service de l’eau de Grenoble à la Métropole. Transparti il a été unanime pour parvenir a la conclusion de cette dette.

GRENOBLE A PERDU LE SITE DE ROCHEFORT 

A cette occasion les grenoblois ont appris avec stupéfaction que le  site de captage de Rochefort, propriété de  la Ville de Grenoble depuis 1885, d’un périmètre de protection de 2 300 hectares, l’un des plus grands d’Europe a été cédé à la Métropole et donc disparu de notre patrimoine. Rappelons que lors de la privatisation du service d’exploitation, Alain Carignon avait veillé à ce que le patrimoine des captages demeure propriété de la ville.

DANS L'INCAPACITÉ D'HONORER SA DETTE ?

Dans ce dossier, comme dans les autres, il semble qu’Éric Piolle plus préoccupé de sa promotion personnelle pour sa future Présidence de la République ne lui ait pas consacre beaucoup de temps … Résultat le patrimoine s’est envolé et la dette demeure. Or il est dans l’incapacité budgétaire d’y faire face. Déjà la capacité d’investissement de la ville est des plus faibles. Inscrire 1,5 M€ dans le budget semble insurmontable.

É. PIOLLE : "UN LITIGE TECHNIQUE EXTRÊMEMENT COMPLEXE"

Alors avec sa mauvaise foi coutumière Éric Piolle fait état  « d’un litige  technique extrêmement complexe » sachant bien que celui-ci est conclu depuis longtemps et à l’unanimité.  Comme l’a dit Michel Savin «  on est au bout du bout ».

C. FERRARI : "COMPLEXE AU POINT QU'ON NE PEUT PAS VOIR..."

Tandis que Christophe Ferrari a développé avec délectation toutes les étapes du dossier, le choix « de la transparence collective » pour le conduire, les aller-retour entre la ville et la Métropole, les élus et l’unanimité des services : « on m’explique que tout est complexe au point qu’on ne peut pas voir, mais les chiffres sont têtus et ils existent » a-t-il lancé à Éric Piolle. Il a traduit la « volonté de 49 maires souhaitant un transfert parfait » isolant un peu plus le Maire de Grenoble. Concluant « on doit passer à la mise en œuvre. Je me réserve tous les moyens de récupérer cette somme. Je la mettrai en œuvre lors du prochain Conseil Métropolitain. »

 

C.FERRARI RÉCLAME LES CHÉQUES AU LIEU de les SIGNER

Entre le Président de la Métropole du premier mandat qui signait les chèques à Piolle plus vite que son ombre et le deuxième, il s'est passé l'épisode de la candidature Mongaburu , désigné par Piolle, contre lui. Le Grand Timonier avait décidé de le remplacer... Depuis lors Ferrari réclame les chèques au lieu de les signer.

On verra si Christophe Ferrari tient sa position martiale car il recule plus souvent qu’à son tour. Si c’était le cas  Éric Piolle verrait ses « orientations budgétaires » dont le Conseil Municipal doit débattre le 8 novembre prochain tomber à … l’eau. Elle n’ont pas intégré cette dette-là.

É. PIOLLE AURA EU TOUT FAUX POUR LUI ET LA VILLE 

Les tuiles s’accumulent donc sur sa tête. Après les judiciaires, viennent les financières. Décidément en sacrifiant Grenoble sur l’autel de ses ambitions personnelles, Éric Piolle aura eu tout faux. Pour lui et pour la ville.

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