MOIS DÉCOLONIAL à GRENOBLE, MOIS DE LA HONTE

« Avec des invités comme Rokhaya Diallo, Taha Bouhafs ou encore Mathieu Rigouste l’ambition de ce projet est claire : promouvoir et banaliser les thèses racialistes, indigénistes et décoloniales. Ce serait une faute morale de faire preuve de complaisance avec ces idéologies qui nous dressent es uns contre les autres en fonction de notre couleur de peau ». Les premiers Clément Chappet et Hanane Mansouri candidats aux élections départementales avaient alerté Eric Piolle sur l’organisation du « mois décolonial » qui devait -doit ?- se tenir à Grenoble à partir du 10 juin.

"PIOLLE VOUS OFFRE 20 JOURS DE PROPAGANDE ANTI RÉPUBLICAINE"

Ce pas supplémentaire dans la diffusion de thèses ignominieuses à soulevé un vent de fronde dans tous les milieux. Pour Le philosophe Raphaël Enthoven  « Eric Piolle vous offre 20 jours de propagande anti-républicaine ». Il s’agit en effet d’un « débat » à partir du concept de race, de couleur de peau, de déterminer la destination sur des bases ethniques. Le tout dans un salmigondis de paravents qui mélangent «  l’émancipation, l’écologie et la justice sociale « (!) comme l’annonce l’affiche.  A cela Eric Piolle répond « au sujet du mois décolonial qu’en démocratie la liberté de débat est fondamentale«, lui qui avait demandé l’interdiction d’une réunion du Rassemblement National qui était très très loin de se réunir sur ces thèmes!

N.KIRAT ET B.TROCME ÉLUS VERTS GRENOBLOIS à la MANOEUVRE

Cette manifestation est organisée par Nadia Kirat Conseillère départementale grenobloise (Verts/FI) en binôme avec Benjamin Trocmé  (Grenoble 1) qui se représente. Au passage les électeurs devraient s’intéresser à tous les apparatchiks Verts qui briguent un mandat départemental ou régional le 20 juin comme  Nadia Kirat, planqués derrière les affiches petites fleurs afin de cacher leur identité politique. 

DÉCONSTRUIRE L'HÉRITAGE RÉPUBLICAIN de la RÉVOLUTION

Le désir de déconstruction de l’héritage de la Révolution Française basé sur l’universalisme républicain, qui regarde chacun comme un citoyen, dont la couleur de peau, l’origine, la communauté, l’orientation sexuelle, l’apparence physique…  ne peut en aucun cas le qualifier, et à fortiori  le disqualifier à participer à cette communauté de destin qui s’appelle notre pays est prégnant .

APRÈS LE BATACLAN, CONTRE L'ÉTAT D'URGENCE

Cette tentative supplémentaire des Rouge/Verts grenoblois franchit un degré encore dans cette entreprise. Depuis 7 ans Eric Piolle a multiplié les opérations pour détruire le sens commun en abusant du « commun » dans les mots. Avec son compère Edwy Plenel, il partage cette haine de l’État qui est pourtant l’instrument de l’intérêt collectif, le seul protecteur des faibles. L’élite mondialisée, actionnaire à Singapour, n’a évidemment pas besoin de l’Etat. La fresque sur la police terrassant la république à terre, le tweet sur « l’homme blanc pressé au volant de sa voiture », le meeting sur l’opposition à l’Etat d’urgence  après les attentats du Bataclan  -l’hommage récent des amis de Matthieu de Jarrie décédé dans l’attentat rappelait avec émotion ce drame- l’exposition place de Verdun sur la police qui contrôle au faciès, l’exacerbation dans la ville de toutes les minorités afin qu’elles adoptent un comportement victimaire et occupent tout l’espace public, tout chez lui et avec lui a pour objet de détruire ce qui peut unir. 

SUR LE MÊME PLAN ISLAMISTES RADICAUX et RÉPUBLICAINS

Dans l’affaire du Burkini Eric Piolle mis le dos au mur par sa connivence a fini par mettre sur le même plan les islamistes radicaux avec ceux qui les combattent : “Je regrette que les deux acteurs de la polémique partagent une même stratégie du choc"  avait il déclaré (22/5/20) à la suite des demandes d’explications. 

IL VEUT QUE LES THÈSES RACIALISTES PASSENT

Avec « le mois de la décolonisation «  évidemment que les élus Rouge/Verts avaient promis des subventions et le parrainage à leur collègue Nadia Kirat qui siège avec B.Trocmé et eux tous. Face à l’obstacle, comme avec le Burkini ou l’islamo-gauchisme à l’Université, Eric Piolle biaise. Mais il veut que les thèses racialistes passent. 

A.CARIGNON DEMANDE DES MESURES  

Dans une vidéo diffusée hier Alain Carignon lui demande de ne pas mettre les salles de la ville gratuitement à la disposition de ces thèses. Il lui demande de prendre des sanctions contre l’élue de son parti qui les porte et organise cette manifestation. Il rappelle qu’à Grenoble, ville Compagnon de la Libération, des femmes et des hommes sont morts pour défendre des valeurs opposées à celles portées par le « mois décolonial ». 

SA DUPLICITÉ FAIT DE PLUS EN PLUS MAL

Une fois de plus Eric Piolle emporté par ses dérives et son désir de conquête des franges extrêmes qui constituent l’électorat de l’appareil Verts lequel désigne le candidat du parti, va bien trop loin. Chaque fois il emporte Grenoble avec lui, l’image de la ville et la rétrécit à ce qui ne lui ressemble aucunement. Sa duplicité fait de plus en plus de mal à la capitale des Alpes.

 

 

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