MAGASIN : FIN de LÉVITATION POUR LA DIRECTRICE PRO-PIOLLE

Béatrice Josse est en train de retomber lourdement sur le sol. Elle qui entrait en lévitation avec Eric Piolle devrait voir sa "mission" s'achever.
 
Elle a transformé en secte "le Magasin", le Centre National d'Arc Contemporain (CNAC) créé par la municipalité Carignon, inauguré par François Léotard et une exposition Buren devant des milliers de Grenoblois. 
 
PAS DE FIGURE MASCULINE BLANCHE 
 
Avec ses gourous et surtout ses interdictions. On se souvient des termes qu'elle avait utilisé pour refuser une exposition :  "Je ne conteste pas l’intérêt pour un musée d’art de montrer de tels documents. Cependant vous comprendrez que mes copines féministes radicales, féministes historiques, post-féministes, afro-féministes, éco-féministes, queer et trans ne comprendraient pas que je confie à des figures certes incontournables de l‘histoire de l’art de notre pays, mais des figures masculines blanches"(!).
 
E.PIOLLE CONDAMNAIT L'HOMME BLANC AU VOLANT de sa VOITURE
 
Elle portait au bout de sa logique le positionnement d'Eric Piolle qui avait rejeté "l'homme blanc au volant de sa voiture". L'homme noir était en effet tolérable. 
Le mal est ontologiquement blanc, patriarcal, hétéronormatif et cisgenre. Pas ailleurs ! 
Plus de 2000 personnes à l'inauguration du CNAC avec Alain Carignon, une secte avec Eric Piolle
 
LE NOUVEL ORDRE MORAL 
 
 
Nos gauchos locaux se situent dans le prolongement de l'américanisation de la société et de la pensée qui se développe dans les universités américaines avec une nouveau MaccArthysme qui organise une véritable chasse à l'homme blanc qui ne se soumet pas au nouvel ordre moral.
 
Cette vague est absorbée comme chaque fois par nos faux modernes, sans aucune colonne vertébrale intellectuelle , type Piolle, comme dans le passé ils ont répété le marxisme, le maoïsme ... sans y réfléchir plus que ça.  
 
LA SEXUALITÉ COMME ALPHA ET OMEGA de L'HOMME 
 
Cette sous culture qui extrémise les minorités fait de cet individu-là un absolu qui rend impossible toute action collective de la Nation. Ç'en est l'objet sous jacent. Elle efface toute l'ambition Française depuis la Révolution qui était de créer des citoyens, pas seulement des votants ou des consommateurs, ni des hommes ( ou des femmes) dont l'Etat devait d'abord prendre en charge la sexualité.  
 
UNE APPROCHE DE L'EXTRÊME DROITE 
 
C'était même le dernier des paramètres à prendre en compte pour définir une personne : la couleur de peau, la race, la sexualité , les préférences sexuelles. Comme le rappelle Régis Debray, jusque dans les années 70, cette approche était réservée à l'extrême droite. 
 
On est bien dans le prolongement de Mai 68 ou la satisfaction du désir personnel  l'emporte sur tout le reste , ce qu'un Cohn-Bendit symbolise parfaitement qui surfe aussi entre les pays, sans attache, ni aucune réalisation ni bilan après 50 ans de vie publique! 
 
LE MAGASIN, ANNEXE DE LA MINORITÉ ROUGE/VERTS MUNICIPALE
 
Béatrice Josse est à l'extrême de cette mouvance et c'est pourquoi elle a été choisie par Eric Piolle. Elle a transformé le Magasin en annexe de la minorité Rouge/Verts de la Mairie. Organisant des cycles dans lesquels elle-même faisait des conférences annonçant " réinventer" le Magasin, dans lesquelles Eric Piolle venait aussi parler parce , était il annoncé, il "défend avec vigueur les villes de transition".  Bref de la propagande basique, cynique, à la soviétique, sans fard ni précaution superflue et sur fonds publics.

À SON ARRIVÉE : LIQUIDATION TOTALE DE L'ÉQUIPE

A son arrivée  Béatrice Josse avait liquidé la totalité de l'équipe qui était en place (rupture conventionnelle, licenciement économique,…) ou par démissions, soit  13 personnes au total. Aucune institution grenobloise n'avait connu un tel ménage social . C’est ce qu’Eric Piolle appelait «accompagner le renouvellement des équipes … »( !)

Mais en 2019 François Bordry a livré directement au conseil d’administration du Magasin la sentence sans appel des acteurs de la vie culturelle sur cette dérive sectaire, groupusculaire qui est l’ADN de la municipalité Piolle.

F.BORDRY DRESSE UNE SENTENCE SANS APPEL 

En art contemporain il est le successeur de Bernard Faivre d'Arcier à la présidence de la Biennale de Lyon, président de  l’Ecole Spéciale d’Architecture de Paris (depuis 2007), ainsi que l’Ecole nationale supérieure d’Art de Bourges (depuis 2010). Il a été aussi l’attaché de presse de Simone Veil, Présidente du Parlement européen de 1979 à 1982.

 

DANS UN CENTRE D'ART LE VISITEUR S'ATTEND À VOIR DES ŒUVRES...

«  je constate malheureusement que l'éventuel visiteur du Magasin est invité essentiellement à d'interminables forums de discussion, alors que, dans un centre d'art, le visiteur s'attend d'abord à être confronté à des œuvres" relevait François Bordry dans son intervention.

"UN VISITEUR N'EST PAS TOUJOURS ADMIS"

Ajoutant : « Ici, d'ailleurs, un visiteur n'est pas toujours admis : parfois, il faut d'abord être invité puisque certains ateliers, sous le titre alléchant "Inventer des futurs désirables", se tiennent "en non-mixité meuf-gouines-trans" ou en "mixité choisie : lesbiennes, bies, hétérosexuelles, trans"...

"CE QUI RESSEMBLE À UNE CROISADE"

Il lançait l'alerte : « Je ne peux pas laisser passer sans réagir ce qui ressemble finalement à une croisade, qui remplace la culture du respect de l'homme et de la femme par une rhétorique de la victimisation, qui entraîne elle-même une rhétorique de la culpabilité, de la dénonciation et du procès."

B.JOSSE PRESSÉE DE LAISSER SON POSTE 

Un an après il semble que ce soit une fin de partie pour Eric Piolle. Un échec  supplémentaire dans sa volonté de mettre la culture sous sa coupe. Béatrice Josse serait pressée de quitter son poste et bien entendu, dans le cadre du pantouflage à la Française, l'administration centrale lui proposerait une autre poste.  Un autre "Horizon". L'échec n'est jamais sanctionné. 

E.PIOLLE POURSUIT AVEC LA BELLE ELECTRIQUE 

Etrangement Béatrice Josse voudrait que le bureau de son Conseil d'administration démissionne aussi. Qui établira le bilan de ces années perdues pour Grenoble et l'art contemporain ?

De plus, à voir ce qui se trame tout à côté, à la Belle Electrique, il ne semble pas que la leçon soit entendue. Eric Piolle poursuit dans sa tentative de prise du pouvoir. Le pire est à craindre pour les résultats.  

 

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