E.PIOLLE ETRILLÉ PAR L’OPPOSITION MUNICIPALE
"Pour le candidat Éric Piolle en 2014, la priorité annoncée était les écoles.
7 ans après, qu’en est-il ? Les retards et les problèmes s’accumulent.
Les enseignants, directeurs et parents d’élèves expriment unanimement leur ras-le-bol face aux difficultés de dialogue et aux abandons de la municipalité. L’exemple actuel du restaurant scolaire de l’école du Jardin de Ville démontre l’absence d’attention, la désorganisation, l’imprévision et les risques qu’ils font courir" a expliqué Brigitte Boer, Conseillère Municipale d'opposition dans une question orale très précise et très documentée.
LE RÉÉL FAIT IRRUPTION DANS LE CONSEIL MUNICIPAL
Le réel faisait irruption dans le Conseil Municipal avec des faits très concrets. Mais dossier par dossier, l'opposition a montré sa capacité à construire, à proposer des alternatives aux politiques conduites. Sur Flaubert, L'abbaye, La Bastille, la propreté de la ville, ses élus ont prouvé que d'autres voies étaient possibles.
E.PIOLLE DÉSINTÉRESSÉ DE LA VIE QUOTIDIENNE des GRENOBLOIS
Face à toutes ces accroches Eric Piolle répondait en lisant besogneusement les textes des bureaux, sans chair, ni proximité de terrain. Prouvant à chaque étape qu'il est désintéressé de la vie quotidienne des grenoblois et n'apporte aucune valeur ajoutée personnelle.
L'ABBAYE : L'OPPOSITION PROPOSE UNE CITÉ BUREAU
A l'Abbaye le groupe d'opposition a proposé d'étudier une cité-bureaux pour loger des services de la ville ou Métropolitain plutôt que de créer un siège social de la Métro à 94 Millions d'€ ou l'acquisition du siège d'une banque par la ville. Alain Carignon a proposé que ce dernier siège soit mis en vente dans un appel d'offres international : "Utilisez votre présence dans les médias pour décrire cette opportunité grenobloise et prouver très concrètement combien vous êtes un facteur d’attractivité pour la ville. Si on a envie de vous suivre on viendra à Grenoble" lui a t-il demandé.
E.PIOLLE A LIVRÉ LA BASTILLE AUX PROMOTEURS
Sur La Bastille, Eric Piolle cache qu'il laisse faire les promoteurs et meuble par des mots un vide sidéral : le Conseil Municipal autorise le Maire de Grenoble « à mettre en place et animer un comité de pilotage multi partenarial de la Bastille -attention !- dés le début 2021 » .
AVEC PIOLLE LA BASTILLE PASSE AU PRIVÉ
Une manière de se moquer des grenoblois et de mépriser un site écologique remarquable. Alain Carignon a été cinglant sur ce sujet : "Il n’y a donc aucun intérêt public à préempter les hectares de la Bastille afin de les laisser dans le public ? On retiendra que c’est avec vous Eric Piolle que ces hectares de la Bastille qui appartenaient au domaine public sont passés dans le privé. Pourquoi faire ? Pour construire des logements."
LES VOITURES VONT MONTER à la BASTILLE
Ajoutant "La brochure de présentation des immeubles montre bien des voitures aux pieds de ceux-ci et j’ai sous les yeux l’accord écrit du Crous au promoteur pour qu’il puisse louer des parkings au sein de la résidence du Rabot. Cet accord figure dans le dossier du permis de construire donné par la ville !"
FLAUBERT : CRÉDIT AGRICOLE et la CHAMBRE D'AGRICULTURE FUIENT
Le Conseil Municipal a aussi débattu du site Flaubert : "Plutôt que de laisser fuir le siège du Crédit Agricole et le siège de la Maison de l’Agriculture il aurait été plus judicieux d’installer des services municipaux dans ce nouveau quartier pour les arrimer" a rappelé Alain Carignon aussi.
L'ADJOINT à la FRAÎCHEUR DÉTRUIT LES ESPACES VERTS
Les choix pour le quartier Châtelet ont aussi été contestés, comme les fake de Gilles Namur, l'Adjoint à la fraîcheur (!) qui annonce du vert au moment ou les arbres et les espaces verts du quartier ont été détruits.
BOUCHAYER-VIALLET: POLLUTION ET INONDABILITÉ
Sur Bouchayer-Viallet la municipalité veut encore construire alors que la préfecture alerte sur l'innondabilité du secteur et que l'organisme de contrôle de la pollution, Atmo, recommande de ne pas construire en bordure des axes pollués comme A 480.
PLACE VICTOR HUGO : LA MINÉRALISATION à OUTRANCE
Place Victor Hugo, Eric Piolle veut poursuivre la minéralisation engagée en particulier rue Béranger : "C’est tout de même effrayant de voir en 2020 une municipalité soit disant préoccupée par le réchauffement climatique réaliser des M2 de béton sans arbres en plein centre ville" a rappelé l'opposition.
B.BOER A DÉMOLI LES MÉTHODES D'ÉTOUFFEMENT
Sur les dossiers culturels Eric Piolle a été étrillé par de nombreux conseillers municipaux de tous les bancs. En posant les bonnes questions, mettant à plat les contradictions, Brigitte Boer a démoli avec intelligence et perspicacité les méthodes d'étouffement mise en place pour la "Belle Electrique".
L.LHEUREUX (Verts/FI) EXÉCUTE LES BASSES OEUVRES
En effet la municipalité a tendu un piège aux animateurs de l'association qui gère l'équipement depuis 2007 avec un grand succès, national et international. Dans l'une de ses manoeuvres tordues la municipalité a lancé un appel d'offre qu'elle a décrété infructueux afin de se débarrasser d'elle.
LE MÉPRIS DES OPÉRATEURS CULTURELS
Elle n'a pratiquement jamais reçu les animateurs et ils ont appris leur mise à l'écart quelques jours avant que le Conseil Municipal ne délibère : "Cette délibération est dans la droite ligne de votre politique culturelle qui consiste à conduire celle-ci dans le mépris des opérateurs" a résumé Alain Carignon.
L.LHEUREUX : UN CUMUL DE MALADRESSES
La malheureuse Lucille Lheureux (Verts/FI) qui est passée de la mauvaise gestion de l'espace public... à la culture, comme Corinne Bernard était passée de la gare SNCF de Clelles à son poste, a multiplié les maladresses comme à son habitude.
LA MUNICIPALITÉ VEUT METTRE LA MAIN SUR L'ÉQUIPEMENT
On connait le résultat. Elle a reproché à l'association de n'avoir pas de projet suffisant pour la médiation culturelle, de pêcher dans ce domaine alors qu'elle a donné des preuves et des résultats dans ce domaine.
En réalité la municipalité Piolle veut mettre la main sur l'équipement par l'intermédiaire d'une nouvelle forme juridique comme elle l'a fait pour le Théâtre municipal, les théâtres en écartant le tricycle.
N.PINEL DÉFEND DES PROPOSITIONS DE BON SENS
Nicolas Pinel, Conseiller d'opposition est intervenu sur la bourse du Travail, sur le règlement intérieur... défendant des propositions de bon sens. Nous reviendrons sur tous ces dossiers. De son côté Chérif Boutafa, élu et militant syndical a multiplié les questions précises, embarrassantes, défendant le personnel communal et la transparence.
LES URGENCES RATTRAPENT LA MUNICIPALITÉ
Commencé à 15 h et achevé vers 1 heure du matin, les débats ont prouvé la déconnexion de la majorité avec la réalité grenobloise. Réfugiée dans les concepts et les déclarations de principe, elle ne veut pas atterrir. Mais les urgences la rattrapent et elle va avoir de plus en plus de mal à leur échapper.
Mr Piolle fait honte à son ancien métier d’Ingénieur : absence de rigueur, très mauvaise analyse du monde réel, refus à changer ses méthodes qui échouent, incapacité à construire des solutions réalistes pour résoudre les problèmes !
Pire, par son sectarisme, il refuse d’écouter les différents conseillers municpaux, malgré leur rôle de conseil.
Il sait qu’il va dans le mur et persiste à foncer dans le mur.
On n’a jamais un Maire aussi calamiteux et totalement dépassé par le quotidien !