GRENOBLE MENACÉE DE NOUVELLES PERTES D’EMPLOIS

La crise sanitaire va se prolonger par une crise économique sans précédent. Sous le mandat Piolle, entre 2014 et 2020, Grenoble a disparu des villes au solde positif de création d'emplois.

UNE HÉCATOMBE DES EMPLOIS PERDUS NON CHIFFRÉES

Le baromètre Arthur Loyd est sans appel. L'hécatombe des emplois perdus dans le commerce et les services -des centaines- pèse lourd dans ce bilan accablant. Pas une fois la majorité municipale si friande d'études et de contrôle en tous genres n'a accepté de rendre public un quelconque état des lieux. Avec -il faut le reconnaître- la complicité active du Président de la Chambre de Commerce et d'industrie, Jean Vaylet dont c'était le rôle de le réclamer.

A.CARIGNON : SAUVER LES EMPLOIS DE PROXIMITÉ

Aujourd'hui Alain Carignon est le seul à plaider pour un plan de sauvegarde de l'économie locale avec la priorité au sauvetage des emplois de proximité. Il réclame -en vain- depuis un mois la publication du calendrier de la remise en route des chantiers de la ville afin de redonner espoir aux entreprises locales et aux artisans. Il ne se passe rien. La municipalité est en panne.

E.PIOLLE A IMPOSÉ LE CHOIX DE LA DÉCROISSANCE

Ou sont les nouvelles grandes implantations de l'ère Carignon tels ST Micro et le Synchrotron ? Ou le lancement d'Europole ? Le choix de la décroissance qu'Eric Piolle a imposé à la majorité Métropolitaine par une charte signée de tous les groupes a produit tous ses effets. Christophe Ferrari (PS repenti) l'a totalement avalisée pour en être le Président. Il n'en sera pas remercié par ses nouveaux "amis" qui veulent lui faire la peau.

P.LÉVY (PS) : "CE TERRITOIRE EST EN DIFFICULTÉS"

Les élus PS/PC ont également suivi pour pouvoir occuper des postes dans l'exécutif. Même si certains PS extérieurs comme Patrick Lévy, le Président de l'Université a tiré la sonnette d'alarme, mesurant bien les dangers du recul de l'agglomération.

Il y a 2 ans qu'Alain Carignon met en garde contre le gigantisme des bureaux et plaide pour la proximité : ici devant le futur siège de la Métro

A.CARIGNON : L'OUTIL MUNICIPAL LEADER de la VILLE D'APRÉS

Alain Carignon voudrait que 1000 projets de proximité se substituent à ceux venus de l'extérieur. Pour le collectif de la société civile l'outil municipal doit être leader par la création d'espaces de travail, de tiers lieux à proximité des domiciles, dans tous les quartiers afin de limiter les concentrations et les déplacements inutiles.

UNE POLITIQUE DES BUREAUX des ANNÉES 60

A l'opposé de la politique de bureaux des années 60 qu'Eric Piolle poursuit avec le siège de la Métro (le coût du Stade des Alpes), les travaux de l'hôtel de ville pour 400 salariés dont le travail pourrait être organisé autrement, l'acquisition-remise aux normes du siège du Crédit Agricole, la démolition de la Chambre de Commerce pour densifier un peu plus encore, laquelle entraînera la rotation de 8 à 9000 camions dans la ville !

LE PIRE DES SCÉNARIOS POUR LES GRENOBLOIS

"La ville d'après" appelle de changer ces priorités obsolètes dévoreuses d'argent public rare. Dans une ville exsangue financièrement. Les Rouge/Verts grenoblois enfermés dans leurs dogmes n'entendent rien changer.

L'extrême gauche locale qui gouverne la ville voudrait continuer à l'enfoncer pendant qu'Eric Piolle en jouerait la vitrine présentable pour l'élection présidentielle. Le pire des scénarios pour les Grenoblois.

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