FIN de MANDAT : ILS DÉCOUVRENT L’INSÉCURITÉ
L’histoire se répète. En fin de mandat Michel Destot et Jérôme Safar qui avaient expliqué pendant 6 ans que les grenoblois étaient victimes -non pas d’insécurité- mais du « sentiment » d’insécurité s'étaient réveillés. Tout à coup ils allaient développer les caméras, armer la police à partir de 2014. Les grenoblois les ont renvoyés à leur études.
E.PIOLLE A FAIT MIEUX : IL REVENDIQUE SON ABANDON
Depuis 6 ans Eric Piolle a fait mieux : il a revendiqué haut et fort son refus d’intervenir dans ce secteur. Ses annonces irresponsables sur les caméras ont libéré la délinquance comme jamais. Ses attributions tout aussi irresponsables de logement ont permis la constitution de ghettos de trafics organisés pour rendre leurs territoires infranchissables. Aucune sanction n’a été prononcée contre ces bénéficiaires de l’argent public à travers le logement social.
E.PIOLLE REFUSE D'EXPULSER LES TRAFIQUANTS
Des locataires du privé ont du fuir de leur logement quand il avait la malchance d’être environné de logements acquis par Actis présidée par E.Piolle, lequel refuse refuse toujours l'expulsion des trafiquants.
LES COUPS DE COUTEAUX SE SUCCÈDENT
Dans tous les quartiers les habitants pleurent, réclamant que les voitures brûlées soient au moins évacuées mais la municipalité ne peut pas suivre, sa fourrière étant pleine ! Les coups de couteaux succèdent aux coups de couteaux partout, dans la rue, dans le tram, pour un oui ou un non, un regard, un mot.
INSÉCURITÉ DANS LES TRANSPORTS EN COMMUNS
De nombreux parents interdisent à leur progéniture de prendre les transports en communs. De nombreuses femmes seules y ont renoncé ne désirant plus subir insultes et agressions .
Mais à quelques mois des élections Eric Piolle nous joue le remake de Destot. A la fin de son mandat, Grenoble était devenue « zone de Sécurité Prioritaire » (!). On passe toujours des propos lénifiants pendant le mandat à l'affolement avant l'élection.
SI LES POLICIERS VEULENT BIEN VENIR
En 2019 « Des policiers arrivent ». S’ils veulent bien venir d’abord puisque, on le sait beaucoup refusent une affectation à Grenoble car les familles de policiers sont menacées par les mafias. Ils se logent presque tous loin de Grenoble mais suivis et repérés, leur situation devient intenable.
O.VÉRAN DÉPUTÉ DE JOUHAUX, L'ABBAYE, TEISSEIRE...
Aujourd’hui le malheureux Olivier Véran (PS repenti) qui était avec Destot et Safar en 2014, raconte la nouvelle histoire avec E.Chalas. Ce sont eux et pas Piolle qui ont obtenu des policiers. Un Olivier Véran qui est Député de Jouhaux, de l’Abbaye, de Teisseire depuis 10 ans ou la situation est considérablement dégradée. Il a laissé tomber les familles de Jouhaux qui réclamaient leur relogement d’urgence pour cause d’insécurité et ont du se soumettre aux caïds et se taire.
LES POLICIERS NE CHANGENT RIEN à LA GANGRÉNE
Les quelques policiers supplémentaires ne changeront rien au fond du problème : la gangrène est installée, logée, maintenue par Eric Piolle et Maryvonne Boileau Présidents d’Actis et de Grenoble-Habitat. Ce sont eux qui ont ghettoïsé les quartiers, qui refusent les expulsions, acceptent les loyers en espèces (payés 10 % plus cher !) n'ont pas assermenté les gardiens d'immeubles afin qu'ils puissent dresser procès verbal.
Les actions à mener sont connues. Le collectif de la société civile avec Alain Carignon les propose depuis des années:
PC OPÉRATIONNEL 24 H SUR 24
"caméras de vidéo protection captant les numéros minéralogiques des voitures volées et d’un PC opérationnel 24h/24 et 7 jours/7
ARMEMENT de la POLICE MUNICIPALE
« Renforcement de la police municipale, son armement, avec brigades canines et police montée pour les parcs et jardins, ; mise à disposition par la ville de mini drones en cas de poursuites ;
CRITÈRE DE TRANQUILLITÉ POUR LES ATTRIBUTIONS
"Gratuité des transports collectifs pour les policiers nationaux, municipaux, CRS et militaires ;
« Critère de tranquillité publique dans l’attribution des logements HLM ;
AMENDES ET EXPULSIONS
« Convocation des parents, amendes et procédures d’expulsion pour toute personne condamnée pour trafic et logée par les bailleurs sociaux ;
« Sur la base du volontariat habilitation de tous les cadres et gardiens des bailleurs afin qu’ils puissent dresser procès-verbal ;
SIGNALEMENTS AUX SERVICES FISCAUX
"Ouverture obligatoire des appartements lors des opérations de l’OPHLM pour la propreté et la salubrité et signalement aux services fiscaux de toute anomalie dans les trains de vie (présence de grosses cylindrées)
SUPPRESSION DES AVANTAGES FACULTATIFS
« Suppression de tous les avantages tarifaires facultatifs dans les secteurs culturels, de transports, sportifs à tout grenoblois convaincu d’agression d’agents de la force publique, de sapeurs-pompiers, d’ambulance ou de dégradation volontaire de biens publics ou privés comme l’a mis en application le Maire de Voiron ;
ARRÊT DE LA BÉTONISATION DE LA VILLE
« Sanction sans lesquelles il n’y a pas d’intégration des familles hébergées par la ville (chalets du Rondeau) dans le cas d’actes de délinquance
« Arrêt de la bétonisation de la ville premier foyer d’accroissement de la délinquance ;
REQUALIFICATION DES QUARTIERS
"La requalification des quartiers par la règle des 3 tiers : un tiers HLM, un tiers propriétaires, un tiers activités en commençant par y installer le Maire, les services municipaux et para-municipaux ;
"Objectif quantifié de sortie de la pauvreté par l’intégration et le travail plutôt que poursuite de la ghettoïsation et de la communautarisation de la ville ..."
" NOUS DÉLIBÉRERONS IMMÉDIATEMENT SUR UN PLAN DE LUTTE CONTRE LA DÉLINQUANCE"
Il faut attendre encore 6 mois et l'alternance pour que ce plan soit adopté. Dans on livre de questions réponses Alain Carignon précise que dès l'élection "nous délibérerons immédiatement sur un plan d’action de lutte contre la délinquance qui comporte tous ces volets".
Les grenoblois connaissent donc le moyen d'inverser la tendance : le bulletin de vote !
Nous sommes 4 fois victimes :
1) par lnos impôts donnés aux voyoux et autres fumistes, sans aucune moralité :
2) par le montant excessif des impoôts locaux :
3) par l’insécurité que nous subissons (voitures brûlées, violences,..) ;
4) la mauvaise réputation de la ville.
Non Mr Piolle, ce n’est pas ça une ville d’avenir !!!