IMMOBILIER : E.PIOLLE RAYE GRENOBLE du TABLEAU

Avec Piolle Grenoble disparait du tableau des villes ou investir

La marque Grenoble/Alpes ne peut rien contre une politique qui ruine les grenoblois. Le tableau des villes ou investir publié par "Le Figaro" hier montre que Grenoble a disparu sous la gestion Piolle. Ce tableau n'intègre pas encore les effets catastrophiques de son annonce selon laquelle il est impossible au propriétaire d'expulser sans reloger.

E.PIOLLE NE PEUT PLUS CACHER SON BILAN

Toutes les opérations de com' pour tenter de camoufler la triste réalité de son bilan ne sortent pas des murs. Il n'y a que les médias locaux pour parler de "capitale verte" et les réunions à ce sujet ont bien révélé qu'il ne s'agissait que d'une opération pré-électorale d'ailleurs embourbée.

TOULOUSE ARRIVE EN TÊTE

Avec la bétonisation outrancière, moins de 12 M2 d'espaces verts par habitant et des perspectives de densification effrayante, la politique municipale est à l'opposé de cet objectif.

"Après avoir passé au crible cinquante villes françaises à l’aide de nombreux critères : prix, dynamisme économique, démographique, population étudiante, revenus disponibles…" écrit "Le Figaro" (13/6/19) c'est Toulouse qui arrive en tête : "Déjà dans le top 10 en 2018, la Ville rose s’impose cette fois-ci. Forte poussée démographique, afflux des étudiants, dynamisme économique, développement des transports…"

La carte de la valeur des biens : E.Piolle a placé Grenoble dans les villes en déclin

LYON, NANTES, BORDEAUX...

Elle est suivie de Lyon et de Nantes. Bordeaux est victime de son succès: "la flambée des prix (près de 30 % de hausse en trois ans et des valeurs multipliées par deux en 10 ans) doit tempérer «l’appétit» des investisseurs même si la métropole bordelaise poursuit sa mue et dispose de nombreux atouts culturels et d’un cadre de vie régulièrement plébiscité."

GRENOBLE : LA PLUS FORTE BAISSE DE LA VALEUR des BIENS

Pendant ce temps Eric Piolle a ruiné les propriétaires : la plus forte baisse de la valeur des biens et la taxe foncière la plus élevée des grandes villes comme l'a rappelé Alain Carignon sur Telegrenoble en présentant son plan pour "requalifier" Grenoble.

Dans 8 mois, si les Grenoblois le décident, un autre projet sera mis en oeuvre et la spirale sera inversée. Les solutions existent et elles sont présentées en détail par Alain Carignon (accessibilité, sécurité, quartiers..)

GRENOBLE PERD AUSSI DES ÉTUDIANTS

En parallèle "Le Figaro" confirme que Grenoble est une des rares villes à perdre des étudiants. Compte tenu de la qualité de ses universités et de sa recherche, de son environnement naturel exceptionnel, seule l'insécurité endémique est la cause de cette régression. Ce dossier est donc bien le premier auquel il faut s'attaquer car il pollue tous les autres.

Le tableau du "Figaro" sur la perte d'étudiants : E.Piolle a mis Grenoble aux côtés d'aussi riantes cités que St Denis, Clermont Ferrand, Dunkerque...

L'UNIVERSITÉ ET LA RECHERCHE EN MILIEU HOSTILE

Avec ces données la prédiction d'Alain Carignon selon laquelle, à terme, si la politique locale n'est pas totalement inversée "les deux atouts maîtres de Grenoble, l'université et la recherche seront menacés car ils ne pourront plus se développer dans un milieu hostile" risque d'être entendue.

On le sait pour les politiciens locaux, décrire les faits et proposer des solutions à la hauteur c'est décrire "la situation actuelle comme l’apocalypse". Mieux vaut ne rien voir et ne rien proposer.

Le "Parisien" a publié le tableau des villes ou on va embaucher. Avec un taux de chômage de 5 % au dessus de la moyenne départementale Grenoble n'y figure pas

GRENOBLE EN TÊTE POUR L'INSÉCURITÉ ET LES IMPÔTS

Mais au fur et à mesure qu'Eric Piolle fait disparaitre Grenoble des tableaux positifs (villes ou prendre sa retraite, villes qui vont créer des emplois), il place la ville en tête pour l'insécurité et les impôts. Il faudrait s'en accommoder ?

E.PIOLLE TENTE D'ÉCHAPPER AU VERDICT DES GRENOBLOIS

Sa fuite devant les habitants du Village Olympique en colère et sa tentative d'échapper au verdict des Grenoblois en renonçant à se présenter pour briguer la Métro avec l'appui du PS canal Historique relèvent du même affolement : les opérations de com' ne peuvent plus cacher la solitude désespérée d'Eric Piolle. Il court derrière des alliés potentiels qui reculent comme l'horizon.

IL DEVIENT UN OBSTACLE GROSSISSANT

Aujourd'hui Eric Piolle devient un obstacle grossissant. La révélation de son entretien avec Olivier Faure le patron du PS a mis le feu aux poudres. Les chiffres de son bilan qui s'accumulent en font un repoussoir électoral.

SE PASSER D'ÉRIC PIOLLE ?

Des tentatives d'alliance n'importe comment avec n'importe qui devraient lui coûter de plus en plus cher. Même chez les Verts de Yannick Jadot il n'est pas en odeur de Sainteté compte tenu de ses choix de fond avec la gauche extrême : refus de la libre entreprise (sauf pour Lui) du commerce et de l'innovation .

Si on ajoute l'épée de Damoclès des affaires judiciaires à venir, il n'est maintenant plus exclu que les uns et les autres finissent pas se passer d'Eric Piolle aux élections municipales. Dans le cas contraire ce seront les grenoblois qui régleront le problème.

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