SQUAT de la RUE D’ALEMBERT, Parc HENRI TARZE… LA MUNICIPALITÉ à la DÉRIVE

A Grenoble les squats se suivent et se ressemblent. Sauf qu'au 101 de la rue des Alliés l'occupation s'est achevée tragiquement pour une adolescente électrocutée en se lavant. Au 38 rue d'Alembert les riverains sont face à un "projet de société" porté par des anarco-libertaires. C'est à dire sur le dos des autres. Des habitants qui subissent les camions en tout genre (bravo l'écologie) garés dans les rues, les tags sur les murs, la dégradation générale. LES HLM VOISINS ONT DU MAL à TROUVER DES LOCATAIRES Les immeubles attenant au squat craignent un incendie et les commerçants subissent la baisse d'attractivité du quartier. De plus en plus de logements sont fuis dans le secteur et le nombre de locations et de ventes est en chute libre. Beaucoup parlent de déménager et certains l'ont fait. Rue Debelle les bailleurs sociaux ont du mal à trouver des locataires et ceux qui acceptent demandent une mutation rapidement. BIen entendu les nuisances sonores et visuelles sont supportées par les voisins. C'est la conception de la liberté de l'extrême gauche: elle ne s'arrête que lorsqu'elle a écrasé celle des autres. "JE VIS UN ENFER AU QUOTIDIEN" Une habitante raconte au Préfet : " je vis un enfer au quotidien. Les zadistes organisent des soirées cinéma, des concerts, des rassemblements de soutien par exemple aux ZAD de Roybon, concerts organisés dans une salle qui n'est pas faite pour cela, non conforme où ils vendent de l'alcool, consomment des produits stupéfiants. Vous imagines les débordements nocturnes. Il se rassemblent dans la cour intérieure ou la résonance rend les bruits intolérables. Ils organisent tous les mardis un atelier de réparations de vélos et une cantine sur la place Saint Bruno ou dans leur squat, sous mes fenêtres. Ils proposent une laverie gratuite, qui paye l'eau et l'électricité ? "CERTAINS SOIRS JE VAIS DORMIR AILLEURS" "Certains soirs je vais dormir ailleurs, mais j'ai peur pour mon appartement car ils organisent des barbecues géants, parfois contre les murs de mon immeuble, j'ai peur qu'ils mettent le feu au rez de chaussée. Je ne suis jamais tranquille la nuit et même certaines journées quand ils "réparent" leurs véhicules et font des travaux "L'échelle de la violence est montée d'un cran il y a 15 jours, un voisin certainement excédé a lancé une bouteille en verre sur eux. Ils étaient plus de 50 personnes rassemblées pour "fêter leur rentrée". La police municipale a peur et ne vient quasiment plus. "LA MAIRIE A RACHETÉ CE LIEU" "J'ai appris que la mairie de Grenoble a racheté ce lieu qui pourtant était sous le coup d'une expulsion et quand je lis le courrier de M.PIolle à mon agence je pleure et je suis dépitée. Il couvre ce lieu politisé (...) il les couvre et leur offre un lieu totalement gratuit qui nuit à ses propres citoyens. Un projet de construction de 20 logements sociaux devait voir le jour, mais qui est le président des bailleurs sociaux ? Quel cynisme..."  Allusion au fait que E.Piolle préside aussi Actis, l'office HLM de Grenoble. "LEUR TOUTE PUISSANCE M’INQUIÈTE" "Je ne sais plus quoi faire. Je travaille, je paie mon loyer, mes impôts, je n'ai pas trop les moyens de déménager et j'aime mon appartement et mon quartier. Et pourquoi serait-ce à moi de partir ? "Leur toute puissance m’inquiète, les travaux qu'ils ont commencé à faire au RDC de l'immeuble cet été sans  autorisation et sans contrôle m’inquiètent au plus haut point. Ils ont des masques, y aurait il de l'amiante ? Que cassent-ils, des murs porteurs ? "C'EST UNE ZAD EN PLEIN GRENOBLE, UNE AMBIANCE de TERREUR DANS LE QUARTIER" "Un à un mes voisins du quartier déménagent, il est difficile de mobiliser les personnes car elles partent, ou ont peur peur du père de famille qui est menaçant et peur des zadistes qui n'hésitent pas à monter dans les immeubles pour menacer les locataires par des cris sur eux. "C'est une Zad en plein Grenoble qui met une ambiance de terreur dans le quartier. "Je vous demande de prendre en compte ma souffrance de citoyenne dépassée par ce phénomène. Je vous demande de bien vouloir protéger mon quotidien, agir pour ma sécurité et ma tranquillité. J'ai peur qu'il arrive quelque chose de grave. "Je souhaiterai que vous puissiez garantir mon anonymat (sachant que ces personnes sont infiltrées dans toutes les couches de l'autorité municipale...)" A UNE HABITANTE DONT LE CHIEN N’ÉTAIT PAS EN LAISSE : " LA LOI EST LA MÊME POUR TOUS" (E.PIOLLE) Il faut rappeler ici avec quelle superbe et quelle autorité Eric Piolle a tancé une habitante âgée lors de l'assemblée des habitants de Foch/Aigle/Libération. Elle  se plaignait d'avoir été verbalisée fortement dans un parc par 3 policiers parce que son chien de petite taille était auprès d'elle, mais sans laisse ! "La loi est la même pour tous madame" a lancé courroucé Eric Piolle montrant qu'il ne laissait pas impressionner par les délinquants, s'assurant pour lui-même l'une de ses belles contenances dont il semble raffoler. Mais pour le 38 d'Alembert il s'appelle "Eric"...
A JEAN MACÉ LE CAMP SE DÉVELOPPE Du côté de Jean Macé ce n'est pas mieux. Le campement du parc Henri Tarze poursuit son développement dans l'indifférence municipale. Au lieu d'aménager cet espace en parc dans un quartier qui en manque beaucoup la municipalité veut urbaniser cet espace vert. En attendant des migrants de l'Est ont élu domicile sur place. « On habitait galerie de l’Arlequin mais cela ne s’était pas bien passé. On est alors repartis en Ser­bie » avait  expliqué à la journaliste Saléria Benarbia  (DL du 17/9/18) un jeune de 19 ans installé là. LES ROMS à L'ARLEQUIN : "CA NE S'EST PAS BIEN PASSÉ..." Il campe avec sa famille de huit personnes. Il  a donc été logé avec elle en 2010 à l’Arlequin par la municipalité Destot. On le sait, devant le nombre de HLM ne trouvant pas preneurs la municipalité y avait affecté des Roms. Une politique qui se poursuit actuellement avec la municipalité Piolle en particulier place des Géants. Source de conflits à venir. UNE FAMILLE SERBE FAIT DU NOMADISME AVEC GRENOBLE Mais pourquoi donc « cela ne s’était pas bien passé « à l’Arlequin obligeant cette famille a retourner en Serbie?  La journaliste n’en dira ou n’en saura pas plus. Le plus probable est évidemment un affrontement de type communautaire.  On le sait aussi à Mistral le camp de Roms a brûlé après une cohabitation qui a tourné à l’affrontement. Mais il est également incroyable que cette famille Serbe fasse du nomadisme en rentrant dans son pays, puis revenant, afin d’obtenir un nouvel hébergement. UN RÉSULTAT DÉSASTREUX Grenoble serait donc devenue une auberge Espagnole dans laquelle on peut être hébergé sans devoir ? Sans accuser personne le fait que 4 garçons âgés de 15 et 17 ans aient été interpellés par les policiers rue Ernest-Hareux  dimanche à proximité du camp est évidemment troublant. Ils sont suspectés de s'être introduits sans effraction dans les locaux de l’ancien groupe scolaire Jean Macé, situé rue Henri-Tarze et d'y avoir commis des dégradations avant de s'enfuir en emportant un bidon de détergent et un extincteur. Ils sont également soupçonnés d'avoir, peu après, jeté des pierres contre un bus de la Semitag à la hauteur de l’arrêt Jean-Macé (DL du 22/10/18). Ça rappelle les agressions dont ont été victimes successivement 6 étudiants. par des Roms logés par la municipalité au Rondeau. Sans sanction pour les familles. Comme si les droits ne comportaient aucun devoir. AUCUN BILAN DE PERSONNES SOCIALISÉES OU SORTIES de la PAUVRETÉ Evidemment ces situations humainement difficiles accroissent les difficultés de la ville. On connait le résultat de ce cumul politique. La municipalité a réussi à faire de Grenoble la ville N°1 pour l'insécurité, la baisse de la valeur des biens et avec 7 et 5 points de plus que la moyenne départementale en matière de pauvreté et de chômage, réussi à la paupériser sans sortir personne de la pauvreté, sans établir un bilan sur le nombre de personnes socialisées.  Quel résultat.
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