CRISE au CENTRE VILLE : Antoine BACK (Verts/PG) RECUSÉ PAR LES HABITANTS
Posted On 4 mai 2018
Tirant la langue au Conseil Municipal
Hâbleur
il ne reste que les élus caricaturaux sur le devant de la scène
La bulle a éclaté. La crise aussi. Dans un communiqué laconique et sans appel l'Union des Habitants du Centre ville a fait savoir qu'elle ne dialoguerait plus avec Antoine Back l'élu (Verts/PG) chargé de faire le lien entre les citoyens et la ville. Les propos insultants de l'élu à l'égard d'un administrateur de l'Union de Quartier particulièrement dévoué à l'intérêt public ont été la goutte d'eau.
"IMPOSSIBLE DE POURSUIVRE AVEC L'ÉLU ATTRIBUÉ à NOTRE SECTEUR" "Monsieur Antoine Back a, par son comportement lors de notre réunion publique et par des propos tenus ensuite en « off », rompu la confiance et le respect nécessaires à un dialogue sans hypocrisie. En conséquence, nous avons informé M. le Maire qu’il sera dorénavant impossible à l’UHCV de poursuivre avec l’élu attribué à notre secteur" écrit l'Union de Quartier dans un communiqué publié hier.
L.LHEUREUX (Verts/PG): "JE NE VOULAIS PAS VENIR, JE M'EN VAIS"
Cette escalade de la municipalité fait suite aux propos méprisants de Lucille Lheureux Adjointe ( Verts/PG) à " l'espace public" qui avait soudainement quitté l'assemblée générale ne pouvant plus répondre aux questions pressantes des habitants qui ne goûtaient pas ses propos. L'élue allant jusqu'à affirmer que tous les quartiers réclamaient le mobilier urbain installé rue de la République et rue Lafayette !
Mais surtout en partant Lucille Lheureux avait lancé provocante : "je ne voulais pas venir, je m'en vais" (!). Mais ou que l'on se tourne cette situation de crise se retrouve. A Villeneuve les habitants n'en peuvent plus de l'élue affectée à leur secteur : Catherine Rakose (Verts/PG), doit chaque fois qu’elle s'y rend téléphoner aux associations pour demander son chemin. Elle est d’une inefficacité à toute épreuve. Dans tous les secteurs l'élu ne sert à rien.
QUATRE UNIONS DE QUARTIER VEULENT "SE RÉVOLTER"
Récemment, le 12 avril, 4 Unions de Quartiers -Centre ville, Mutualité, Championnnet, Gare- ce sont réunies à l'initiative de Pierre Jacquier le Président de l'Union de Quartier centre-gares : le constat est unanime. Sur les questions de propreté, de sécurité, de stationnement, d'accessibilité c'est la colère qui prédomine. Les représentants des 4 Unions de Quartier affirmant qu’ils ont « la responsabilité de faire entendre leur voix, de « se révolter » comme il a été dit. Ce terme a été employé en réaction notamment aux intimidations subies par les commerçants et faites à leur encontre par des élus ou par ceux que les élus protègent. »
Refusant d’enlever sa caquette au conseil municipal
"UNE DÉMARCHE DE LA MAIRIE POUR FAIRE COULER les UNIONS de QUARTIER"
Pas dupes de la mascarade des "conseils citoyens... indépendants" que la plupart des représentants des Unions de Quartiers ont tenté de rencontrer en vain, ils ont le "sentiment d’une véritable démarche de la mairie pour faire couler les UQ". C'est visiblement raté.
Ce désir d'étouffer toute représentation libre et indépendante et lui substituer des leurres a conduit à une exaspération généralisée des habitants.
« La décision des habitants du centre ville de rompre toute relation avec M.Back, l’élu désigné pour assurer le lien avec la ville, témoigne de la situation de crise que vit la municipalité dans sa relation avec les citoyens « a déclaré hier Alain Carignon dans un communiqué.
A.CARIGNON : "IL EST DU DEVOIR du MAIRE DE PRENDRE EN MAINS CES DOSSIERS"
Pour lui «dans les deux ans qui reste à accomplir elle ne peut pas laisser le centre ville de l’agglomération complétement abandonné, sans élu alors que sa dégradation s’accélère. Il est du devoir du Maire d’assumer ses fonctions ,de prendre en mains ces dossiers de propreté, de sécurité, d’embellissement, d’occupation de l’espace public, d’attractivité et d’accessibilité qui empoisonnent afin d’assurer le minimum pour achever le mandat «LES DÉRAPAGES INTOLÉRABLES des ÉLUS de la MAJORITÉ
Ajoutant : « Il est de son devoir de sanctionner tous les dérapages intolérables des élus de la majorité qui témoignent du climat de forteresse assiégée dans lequel elle évolue en fin de mandat : Madame Lheureux qui a quitté une assemblée de quartier en indiquant qu’elle ne voulait pas y venir, M.Soldeville qui insulte la mémoire des résistants et des déportés en assimilant les lois actuelles à celles de Vichy, M.Back qui tient des propos inadmissibles à l’égard du représentant d’une Union de Quartier…«TOUT LE CHÂTEAU de CARTES S'EFFONDRE
En réalité c'est tout le château de cartes qui s'effondre. Les usines à gaz avaient pour objet d'étouffer toute contestation. Le caractère virtuel et groupusculaire du montage a abouti aux effets inverses. Les labyrinthes mis en place pour semer les grenoblois à exacerbé les tensions et attisé les colères. Les grenoblois sont à bout
«Il est temps également pour Eric Piolle de mettre fin à la fiction d’élus de secteurs sans pouvoir et n’habitant pas les quartiers concernés. Ce système volontairement opaque visant à diluer toutes les responsabilités , créant un climat de défiance généralisé, a totalement échoué comme le démontrent toutes les assemblées de quartiers « juge également Alain Carignon.
S’attaquant à un journaliste de France Culture qui osé reprendre l’information selon laquelle il était demeuré assis pendant la Marseillaise
Antoine Back accusant… l’extrême droite de dégrader Grenoble !
Menaçant » Grenoble, le changement » d’une logorrhée juridique inepte pour une photo publique d’E.Piolle et d’E.Martin
A.BACK : ÉLU PROVOCATEUR, HÂBLEUR, SECTAIRE, IDÉOLOGUE
Antoine Back est bien le prototype de cet échec. Elu provocateur, hâbleur, sectaire, idéologue qui prend les grenoblois pour des imbéciles en les "promenant" dans les quartiers : le coût et l'affichage réalisé pour ses opérations dévorent le temps des services et l'argent du contribuable nécessaires à traiter les problèmes de base jamais résolus.
ASSIS POUR LA MARSEILLAISE, TIRANT LA LANGUE, CONSERVANT SA CASQUETTE...
C'est lui qui avait installé avec force publicité 15 cendriers à 400 € pièce et annoncé que la cendre serait récupérée par ue entreprise "éco-capitaliste" de l'Aveyron. L'idée et l'argent sont partis en fumée . C'est lui qui refuse de retirer sa caquette au conseil municipal malgré les injonctions d'un enseignant qui lui demande comment il peut faire respecter une tenue à ses élèves ? Pour Antoine Back le summum de la révolte consiste à refuser ces "conventions vestimentaires bourgeoises". C'est aussi Antoine Back qui a refusé de se lever au Conseil municipal au moment de la Marseillaise. Il s'en était pris à Frédéric Martel un journaliste de France Culture qui avait osé reprendre l'information.
A.BACK AVAIT TENTÉ de FAIRE CROIRE QUE L'EXTRÊME DROITE DÉGRADAIT GRENOBLE
Encore lui qui se fait photographier tirant la langue pendant les délibérations. Toujours Antoine Back qui, pour expliquer son incapacité à traiter les questions de vie quotidienne, avait tenté de faire croire que ... l'extrême droite dégradait Grenoble. Mais oui. "Grenoble, le Changement" a même reçu des menaces de cet élu parce que nous avions publié une photo d'Eric Piolle et d'Elisa Martin en train de danser dans la rue, photo publiée par le DL.
DÉSIGNER LES COMMERÇANTS QUI AFFICHAIENT LEUR MÉCONTENTEMENT à la VINDICTE POPULAIRE
En décembre 2015 ,il avait pris une part active à l'odieuse campagne de dénonciation organisée par un site anonyme créé de toute pièce par la municipalité (" Grenoble tu l'aimes ou tu la quittes") : les commerçants qui mettaient en vitrine la demande d'attractivité, de propreté et de sécurité étaient accusés par le site: « Ces affiches ressemblent furieusement à des slogans du FN » (!).Une invitation à les boycotter avait été lancée, les "citoyens" devant les désigner ! La liste des commerçants s'allongeait comme au bon vieux temps ou on dénonçait les mauvais Français. Au fur et à mesure que l'émotion montait face à cette odieuse campagne Antoine Back la défendait ( pour en être certainement l'instigateur) et approuvait « des citoyens (qui) prennent le contrepied d’une campagne très politique » .
A.BACK RÉCOMPENSÉ par 1000 €/MOIS
Malgré ce jusqu'auboutisme , l'émotion de grenoblois de plus en plus nombreux lançant " c'est vichy, a quand l'étoile jaune ?" a amené la municipalité Piolle a faire marche arrière. Non sans avoir d'abord essayé d'endiguer en supprimant des commentaires de protestation, bannissant à tour de bras des intervenants.
Mais les excès d'Antoine Back ont été récompensés en interne, révélant une fois de plus quel est le fond de la municipalité Piolle : Martine Jullian l'Adjointe qui a claqué la porte devant le bradage du patrimoine a été contrainte par des méthodes qu'on imagine de se retirer de la Métro ou elle siégeait: en effet son suivant de liste n'est autre qu'Antoine Back qui peut donc percevoir depuis le mois dernier les 1000 € mensuels affectés à chaque élu de l'agglomération. ça lui donne des ailes dont les habitants font, eux, doublement les frais.
NE DEMEURENT QUE LES ÉLUS CARICATURAUX SUR LE DEVANT de la SCÈNE
Les grenoblois sont las de ces provocations et de ces comportements alors qu'ils subissent les conséquences si négatives d'une politique. La plupart des élus de la majorité se sont retirés sur la pointe de pieds au fur et à mesure de la dérive et de la fuite en avant dans lesquelles Eric Piolle entraine Grenoble.
Ne demeurent que les plus caricaturaux sur le devant de la scène et ils ne sont pas de nature à recréer la confiance avec les grenoblois! Avec le communiqué des habitants du centre ville le récusant, les spectateurs viennent d'ailleurs de signifier qu'ils n'en veulent plus.