PATRIMOINE : LE BRADAGE de la MUNICIPALITE ILLÉGAL ?

« C’est potentiellement illégal, car la libre concurrence qui prévaut aussi sur les appels à projets (les vrais, pas ceux de la municipalité) n’aura pas été respectée. Il est bon de rappeler que le secteur à but non lucratif -le secteur associatif-  relève du secteur privé! » écrit le Groupe d’Analyse Métropolitian (GAM) a propos du bradage  du patrimoine Grenoblois. Depuis 22 ans des pans entiers du patrimoine des grenoblois ont été totalement abandonnés : les élus Verts/Ades d’Eric Piolle ont cogéré la ville avec Destot  ou géré directement pendant 16 années sur ces 22 . LA TOUR PERRET SE DÉTACHE PAR MORCEAUX, IL PLEUT dans L'ANCIEN MUSÉE, L'ORANGERIE EST UNE FRICHE  Or la Tour Perret s’écroule par lambeaux, il pleut dans l’ancien Musée de Peinture de la place de Verdun, l’Orangerie est une friche, la halle Sainte Claire a des problèmes de sécurité, la piscine des Iris a été fermée faute d’entretien, l’école des Arts de la rue Lesdiguières est en piteux état … Au lieu d’aborder en face ces problèmes Eric Piolle a choisi de biaiser. Bien entendu ce bradage a été appelé « Gren’ de projet ». Toujours ces antiphrases lourdingues pour tromper le gogo. Mais même l'Adjointe concernée , Martine Jullian (Verts/PG) a rué dans les brancards et refusé de voter la délibération. C'est dire. E.PIOLLE VEUT ATTRIBUER CE PATRIMOINE à SES AMIS POLITIQUES L’idée géniale consiste à confier ces bâtiments à des amis politiques et de les sortir de la comptabilité municipale afin d’améliorer le bilan. Ainsi un membre du comité de soutien du Maire propose de prendre l’Orangerie pour en faire un atelier de réparation des vélos, un autre la piscine des Iris pour qu’elle devienne un Hammam. Comme le dénonce le GAM  « cela est donc laissé au fait du Maire, et donc forcément le clientélisme politique jouera. Car Gren’ de Projet n’est que cela : une énorme opération de clientélisme et d’achat d’une certaine société civile (…)  En permettant à certains de rentrer dans les bâtiments, subventions  à venir, au bon vouloir de la Municipalité «  POUR LE GAM CES PROCÉDURES SONT ILLÉGALES  En réalité il ne s’agit pas du tout d’une « certaine société civile «  mais bien de militants qui ne sont pas achetés mais payés pour leur soutien. Mais selon le GAM ces procédures sont également illégales : «  Soit il s’agit d’une mission de service public à caractère industriel et commercial. Soit il s’agit d’une activité industrielle et commerciale tout court ! Dans le premier cas, un appel d’offre pour une forme de gestion déléguée est impérativeDans le second, il s’agit d’une occupation du domaine public à des fins commerciales, qui signifie loyer au prix du marché « . CÉDER DANS des CONDITIONS de TRANSPARENCE PAR des APPELS D'OFFRES INTERNATIONAUX  Notre collectif de citoyen avec Alain Carignon, tirant la conséquence de l’immobilisme et de l’abandon du patrimoine municipal, tirant la conséquence du fait que la ville n’avait pas les moyens de rattraper les retards accumulés, propose qu’une partie de ce patrimoine soit cédé dans des conditions de transparence absolue par des appels d’offres internationaux. "TIRER GRENOBLE VERS LE HAUT"  D’un mal il s’agirait de créer un bien : attirer des véritables investisseurs, engageant des travaux, créant des emplois et réanimant un patrimoine victime d’une gestion désastreuse de la ville. Apportant au passage de précieuses recettes pour engager l’embellissement de Grenoble. Bref « tirer Grenoble vers le haut «  comme le dit Alain Carignon. Toutes les analyses juridiques concordent. La municipalité Piolle ne peut pas attribuer le patrimoine grenoblois à ses amis politiques dans ces conditions d’une opacité absolue. Tous les recours seront engagés afin d’empêcher ce forfait et de préserver les chances de Grenoble. PATRIMOINE: les GRENOBLOIS SUBISSENT LA TRIPLE PEINE  Il n’est en effet pas possible que les grenoblois subissent la triple peine avec leur patrimoine : ils paient les impôts les plus élevés de France qui n’ont jamais été affectés à celui-ci ; maintenant qu’il est irrémédiablement dégradé, au lieu d’être attribué à des investisseurs susceptibles de le réparer et de le valoriser, il serait privatisé par des amis de la municipalité lesquels pour vivre sur la bête , poursuivraient la dégradation. Ça fait beaucoup.
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