à 10 mètres de l’affiche le » diagnostic en marchant » de la com’ municipale
Partout dans la ville les services municipaux sont mobilisés par Eric Piolle pour placer les affichettes annonçant la venue des élus dans le quartier. Aucun poteau n'échappe à cette propagande en particulier dans le centre ville. Antoine Back ( Verts/PG) est préposé à cet endormissement qui permet de parler de tout et de rien pendant que les problèmes non résolus s'accumulent.
Ainsi lors de toutes ces promenades Antoine Back a soigneusement caché que la municipalité avait décidé de sacrifier les piétons sur l'autel de la fluidité et de supprimer les feux piétons dans toutes les rues ou la circulation se reporte: Rue Lesdiguières, cours Berriat, rue Ampère. Les grenoblois l'ont découvert une fois le forfait accompli.
Antoine Back ouvre le débat sur ... l'emplacement des bacs à fleurs qui est totalement négociable. Mais pas la fermeture de la ville. Ils prennent les grenoblois pour des attardés mentaux.
A quelques mètres de l’affiche de la com’ municipale, les ordures au quotidien rue André Réal. Plutôt que cette com’ sur « le diagnostic en marchant « ( !) si la municipalité remplissait ses devoirs?
Cours Berriat, vers l'estacade de la gare, traine encore l'une de ces nombreuses affiches sur "le diagnostic en marchant" : à côté d'un repoussant dépôt d'ordures dans les jardinières de fleurs de l'estacade, tout à coté de celles qui s'amoncellent pas loin rue André Réal.
Plutôt que chargés d'apposer des affiches que la municipalité oublie même d'enlever, les services municipaux ne devraient ils pas être mobilisés sur les tâches de base de la ville ? Y a t il vraiment besoin d'un " diagnostic en marchant" pour constater que la ville est sale? Quand l'action remplacera t elle la com' ?
A 10 mètres de l'affiche d'Antoine Back les ordures s'accumulent. La com' municipale tourne au ridicule.
Ca pue,
ça brûle,
ça tue…
Voila le Grenoble du XXIe siècle.