FINANCES : Alain CARIGNON PROPOSE UN DÉBAT à H.SABRI (Verts/Ades)
Posted On 9 novembre 2017
« Malheureusement pour M.Sabri ce n’est pas pour solder ma succession en 1995, mais en 2008, 13 ans après mon départ et après 13 ans de gestion commune des élus PS/PC et Verts/Ades, que les impôts ont été augmentés de 10 % faisant de Grenoble la plus imposée des villes de plus de 100 000 habitants. Depuis lors elle est demeurée sur ce podium et ce sont les grenoblois qui paient chaque année cette gabegie par leurs taxes foncière et d’habitation.
Eric PIOLLE CONTINUE à ENDETTER GRENOBLE
«Elle est aussi la première en dépenses de fonctionnement et dans les trois premières pour la dette par habitant, celle-ci ayant augmenté de 120 M€ entre 1995 et 2014 dont les deux tiers entre 95 et 2008, pendant la gestion M.Destot avec ses amis élus Verts/Ades.
S'agissant de la gestion Piolle Alain Carignon souligne : «Depuis 2014 la municipalité Piolle augmente encore l’endettement, réduit les services par l’application d’un plan comptable le plus bête et le plus injuste de l’histoire municipale, acquiert 8 M€ le siège d’une banque pour loger ses services, augmente tous les tarifs de façon si inique qu’elle a même été condamnée à rembourser 4 600 grenoblois victimes du stationnement résident et maintenant brade le patrimoine dans des conditions de consanguinité qui font craindre le pire».
Hakim SABRI (Verts/Ades) A T IL LE DROIT de DÉBATTRE ?
Le plus raisonnable serait qu'un débat ait lieu effectivement afin que les grenoblois disposent d'éléments contradictoires leur permettant de se faire une opinion. Mais jusque là la municipalité a décidé de ne "débattre" que sur les thèmes agréés par elle , avec des interlocuteurs désignés par elle seulement parmi ses soutiens.
Hakim Sabri a montré en certaines circonstances qu'il pouvait avoir une réaction d' homme libre quand la tutelle Piollesque était trop pesante et a prouvé sa pugnacité dans les échanges. S'il ne joue pas une comédie en tenant ses propos sur les finances de la ville, il doit accepter de les confronter avec ceux qu'il met en cause. Sous peine de rejoindre le peloton des imposteurs de la majorité municipale.