Les SQUATS des LOCAUX MUNICIPAUX SE MULTIPLIENT
Posted On 29 juin 2017
De plus en plus de locaux municipaux sont occupés sans droit ni titre dans des conditions d'insécurité pour les occupants. Visiblement la municipalité Piolle (Verts/PG) chasse certains et tolère d'autres.
La lecture est incompréhensible à priori sauf si on imagine que certaines "occupations" camouflées derrière des appartenances politiques d'extrême gauche qui développent des thèses proches des idéologies municipales sont tolérées. Encouragées ?
DES OCCUPATIONS BRUYANTES, AFFICHÉES, REVENDIQUÉES
Rue des Alliés ou parc de la Savane les locaux municipaux font l'objet d'une occupation bruyante, affichée, revendiquée. Cela n'émeut pas la municipalité compte tenu des thèses affichées. Mais les quartiers concernés n'en sont pas valorisés pour autant.
D'autant que rue des Alliés une adolescente d'une famille Rom
est morte électrocutée lors d'une précédente occupation. Cela n'a pas incité la municipalité à donner plus rapidement une destination à ces locaux.
16 RUE ARGOUGES LA VILLA ACQUISE IL Y A 2 ANS EST TOUJOURS VIDE
Au 72 avenue Léon Blum
la villa acquise est l'objet d'une occupation soft depuis un an et demi visiblement avec l'accord de la municipalité: Vincent Fristot et Christine Garnier (Verts/Ades) ont logé des amis gratuitement. Aucune transparence d'aucune sorte n'a eu lieu pour cette attribution.
En parallèle la villa acquise depuis près de 2 ans (!) au 16 rue Argouges est toujours murée et vide. Entre les discours sur la solidarité, "l'urgence" du logement et la gestion réelle de ces dossiers c'est plus qu'un gouffre. C'est vraiment une "gestion" du temps des copains et des coquins.
LA BÉTONISATION DE LA VILLE N'A RIEN à VOIR AVEC LE LOGEMENT
A constater ces incohérences on mesure que l'accélération de
la bétonisation de la ville n'a rien à voir avec une réponse à la question du logement. D'ailleurs la municipalité Destot (PS) avait construit 6000 logements dans le dernier mandat sans faire
varier le faux chiffre de 14 000 demandeurs.
Il s'agit toujours de constituer une clientèle électorale par un entassement maximum au détriment du vivre ensemble.
Je crains que dire de squats politisés qu’ils sont proches politiquement de la mairie ne soit du même niveau de lecture politique que, toutes proportions gardées, de confondre les marins de Kronstadt avec les bolchéviques (vous ne me tiendrez pas rigueur de l’outrance de la comparaison : tout le monde sait très que celle-ci vous est plus que familière).
Nous nous garderions bien de confondre les révolutionnaires d’octobre 17 et les révolutionnaires d’octobre 17 mécontents du tour qu’a pris la révolution. Vous savez ce que nous en pensons des révolutions… Il nous paraît qu’il vaut mieux, pour le peuple, les éviter car il est toujours victime de sa conséquence: l’inévitable terreur.
ça nous ramène à Grenoble. On arrive à comprendre qu’une frange soit déçus de nos sans cravates locaux, révolutionnaires d’opérette, gorgés de capitalisme au discours moralisateur pour les autres, totalement incohérents dans leur choix politique ( Piolle anti paradis fiscaux mais actionnaire à Singapour, contre le libéralisme mais soutenant Hulot au gouvernement…) mais de l’endroit ou nous parlons, rien ne justifie que la collectivité de ceux qui travaillent finance en les logeant nos marins de Kronstadt locaux (!) qui ne se lèvent pas le matin, crachent sur tout, salissent tout avec l’argent des autres. ça vous paraitra d’un niveau de lecture très basique, mais c’est notre avis.
Et que dire du squat au 38 rue d’Alembert dans des locaux de la mairie ET des locaux privés (ancienne école Faugier depuis 3 ans!!
Un FAUX centre social. Qui paie l’eau? Qui paie l’électricité?
La mairie a refusé l’expulsion (de quel droit?) car ce sont des ami(e)s de Monsieur le Maire (des altermondialistes/ZADISTES et bobo de Saint Bruno) qui ont élus domicile là (croyez-vous vraiment qu’ils dorment là?!?!)
Ils viennent faire la fête, cultiver on ne sait quoi dans leurs jardinières, perturber le voisinage, narguer la police.
Grenoble Habitat devait construire des logements, mais depuis 3 ans le projet est bloqué à cause de cette occupation illégale.EUH… c’est qui le président des bailleurs sociaux déjà??
De plus, pour faire bien, les zadistes hébergent une famille de Roms, propose une cantine, un cinéma, une laverie, des activités ludiques mais ce ne sont que des prétextes pour faire de ce lieu un repère (réunions zadiste, anticapitaliste, concerts illégaux etc…)
Un FAUX centre social.Ils ont internet, l’électricité, l’eau mais : Qui paie l’eau? Qui paie l’électricité?les impôts locaux?
En plus, ils privatisent le stationnement devant leur squat! La totale!
Y en a marre de l’impunité quand nous, nous payons nos impôts locaux, des loyers hors de prix, des factures ET le stationnement tandis que d’autre, protégés par nos élus se la coule douce…
FAITES QUELQUE CHOSE!!!!!!
Je pense que votre ignorance et à la hauteur de votre imbécilité, dans un premiers temps je ne pense pas que c’est vous qui pouvais determiner ce qui est centre sociale ou pas.. De plus je vous laisse le soin de vous renseigner sur l association qui gère le lieu, pour plus d info,l electricité et l eau sont entierement payé par l associations à travers les différentes activitées proposé à prix libre, aucune aide de l états ne sont mise en plce pour financer ce lieu.