Environ 250 personnes sont installées sur un terrain municipal en bordure du …
… Stade des Alpes. pour la plupart elles ne relèvent pas du droit d’asile
Environ 250 personnes ( Albanais, Kosovars...) qui ne relèvent pour l'essentiel aucunement du droit d'asile campent en bordure du Stade des Alpes quartier Valmy depuis septembre 2016. Eric Piolle le voyant grossir avait fini par demander l'évacuation qui lui a été refusée par le tribunal administratif. Celui-ci vient de lui infliger un nouveau camouflet : il juge que la destruction du camp mettrait ses habitants "dans une situation de précarité encore plus grande".https://grenoble-le-changement.fr/2017/03/15/camp-valmy-les-occupants-ne-sont-pas-des-refugies/LES M2 de BUREAUX DEVAIENT ÊTRE TRANSFORMÉS EN LOGEMENTS ! ( engagement 74)
Voilà que le champion du coeur en bandoulière et des trémolos dans la voix est piégé par sa démagogie, dans l'impasse. Eric Piolle s'était engagé (engagement N°74!) a "recenser les M2 de bureaux dont nous accompagnerons la transformation en logements". Evidemment certains ont cru cette promesse qui n'engageait que ceux qui la recevait. Comme les 119 autres. Résultat les associations de mal logés protestent légitimement devant la mairie : elles aussi ont été trahies.
https://grenoble-le-changement.fr/2017/04/16/120-engagementsfait-ou-pas-fait-ca-na-pas-de-sens-l-comparat-vertsades/E.PIOLLE AVAIT ANNONCE L'HÉBERGEMENT "INCONDITIONNEL" à GRENOBLE
D'autant plus que dés le deuxième conseil municipal tout à l'euphorie de sa victoire, Eric Piolle avait voulu démontrer qu'il imposerait sa loi au conseil municipal. Il avait monté une opération d'envahissement avec des soutiens pour faire venir quelques malheureux étrangers en situation irrégulière, le conseil prenant l'engagement par la voix d'Alain Denoyelle (Verts/PG) que le logement de tous devenait "inconditionnel" à Grenoble. Si les mots ont un sens : sans condition.
http://www.republicains38.fr/grenoble-hebergement-inconditionnel-pour-les-etrangers-irreguliers/
l’eau des lessives coule dans le jardin bio du quartier Mutualité: les femmes du camp Valmy n’ont pas d’autre endroit pour laver le linge
DES SQUATS AVEC DES DRAMES, LE CAMP ESMONIN ÉVACUÉ...
Il en est résulté un afflux, la multiplication des squats avec des drames, la lamentable affaire du bidonville Esmonin qui a démesurément grossi, qu'Eric Piolle s'était engagé à ne jamais démanteler, puis s'est résolu à faire appel à la justice et à la police.
https://grenoble-le-changement.fr/2016/10/03/squats-rue-des-allies-la-mort-dune-jeune-fille-ne-suffit-pas-a-la-municipalite/
Dans le cas de Valmy la municipalité s'est mise dans l'impasse la plus complète au mépris des ces populations et de tout respect et humanité. En utilisant la misère humaine pour faire des voix, elle a fait croire à des solutions qu'elle ne possède pas.
Eric Piolle est dans l'incapacité de proposer des logements, des emplois, une éducation, une insertion et une assimilation à ces centaines de malheureux qui ne relèvent pas -pour l'essentiel- du droit d'asile.
http://www.republicains38.fr/bidonville-esmonin-personne-pour-sauver-le-soldat-piolle/
Avec les Verts/Ades, Eric Piolle avait organisé une méprisable opération faisant jouer leur rôle à quelques étrangers en situation irrégulière promettant que leur hébergement devenait » inconditionnel » à Grenoble
DES CENTAINES DE PERSONNES DANS des CONDITIONS DÉPLORABLES sur un TERRAIN MUNICIPAL
Prisonnier de sa démagogie, de ses déclarations et de ses promesses, démenti par les tribunaux, il reçoit maintenant sur un terrain municipal des centaines de personnes, des familles, des enfants dans des conditions déplorables et qui n'ont pas vocation à demeurer sur le territoire national.
En la matière la seule politique qui vaille est celle du respect des personnes, de la dignité de l'accueil qui passe par la vérité. Grenoble doit définir le nombre de ceux qu'elle est en capacité d'accueillir dans des conditions minimales de sécurité et auxquelles elle peut garantir les moyens de l'intégration sociale par le travail et le logement. Tout le reste relève de l'incantation, de la mauvaise foi, de la bonne conscience sur le dos de ceux qui fuient la misère. Auxquels cette politique écoeurante impose encore plus de misère et d'humiliation.