Les voitures brûlent rue des Bergers ( photo le DL)
Les traces
Dans la même rue la fresque militante type années 60 censée incarner la révolution Piollesque. Elle a été réalisée en même temps que la fresque anti police de la gare. Les Rouges/Verts Grenoblois sont répétitifs et confondent l’art avec la politique politicienne
Le Street Art n'adoucit pas les moeurs. Alors que le secteur est envahi d'oeuvres répétitives anti-police un habitant de la rue des Bergers nous adresse ces images des voitures en train de brûler dans la nuit du 1er au 2 décembre.
EN PLEIN CENTRE VILLE: le FUTUR " MARAIS"
Attention: nous sommes en plein centre ville de Grenoble. Dans le futur Marais Grenoblois que le Piollisme alors triomphant souhaitait offrir aux Grenoblois encore attardés dans le siècle précédent.
Grâce à Sa lumière et en particulier à tous les signes donnés sur nos murs qui méritent chacun une attention particulière parce qu'ils veulent tous dire quelque chose, Grenoble entre dans le XX I eme siècle.
" CELA PERMET D'AMENER COLLECTIVEMENT du NEUF"
Dans le DL ( 3/12/16) Eric Piolle estimait que ce qui se passe à Grenoble " Ça fait du bruit, mais au moins cela permet d’amener collectivement du neuf. C’est la preuve d’une vitalité."
Sauf que ce n'est pas neuf du tout. C'est même une très brutale marche arrière: le temps des tribus, de l'absence de règle collective, d'interdit et du tout se vaut.
Résultat ? Grenoble brûle de plus en plus souvent partout .
https://grenoble-le-changement.fr/2016/12/03/il-echappe-a-la-guerre-civile-en-angola-mais-craint-les-balles-perdues-a-villeneuve/