Le jardin de ville en 2015 : Face à la propagande de Piolle, un rectificatif en photos s'impose. Le voici.
Pour ses voeux, Piolle n'a pas lésiné sur la marchandise du rêve : bonbons (fabriqués en Chine), manèges, chocolat chaud, guimauve, le tout bien sûr aux frais des grenoblois. On s'y attendait, sa stratégie du rêve avait été annoncée dès le premier janvier sur ses deux pages facebook, celle à son nom et celle au nom de la Ville de Grenoble, par une photo du jardin de ville. Une photo de rêve.
Un rêve dont en 2015 les grenoblois n'ont rien vu. Car c'est à la triste réalité d'un jardin de ville dégradé, squatté, privatisé qu'ils ont été confrontés.
Grenoble le changement souhaite aux grenoblois de ne plus voir ça en 2016 mais aux dernières nouvelles ça n'en prend pas le chemin.
Le 1er janvier 2016 sur les pages facebook de Piolle et de la Ville de Grenoble :
Le jardin de ville tel que nous l’aimons mais que jamais en 2015 il n’a été, hormis le temps d’une photo de rêve récupérée par la propagande municipale.
Ces jours ci et cet automne, le vrai visage du kiosque.
Tous les jours ou presque en 2015, alcool et drogue sous le kiosque, même pas besoin de s’en cacher.
Cet été, le vrai visage du kiosque.
En tous temps c'est la même chose, le squat est permanent.
Ce printemps, apologie de l’alcoolisme au jardin de ville sur le chemin de l’école primaire.
La ville apaisée de Piolle, dans la réalité du jardin de ville en 2015.
Dégradations et bouteilles, le vrai visage du jardin de ville pendant tout 2015.
Dégradations, même le patrimoine historique, le vrai visage du jardin de ville en 2015.
Canettes de bière en prime.
Dégradations, même les platanes centenaires, le vrai visage du jardin ville en 2015.
Totems hideux, le vrai visage du jardin de ville en 2015.
Tags en prime.
Le pitoyable état du lieu le plus passant de Grenoble : le passage du jardin de ville.
En passant, mieux vaut fermer les yeux.
Une des nombreuses privatisations du jardin de ville pour la propagande de Piolle, ici par et pour EELV en décembre aux élections régionales.
Pour faire du vélo, les enfants attendront chez eux.