TERRASSE ILLÉGALE: LE SOUTIEN de E.PIOLLE N’A PAS de PROBLÉME

Après avoir ouvert une terrasse 2 ans sans autorisation qui a produit - selon ses chiffres- 60 000 € de chiffre d'affaires /mois Pierre Pavy est un heureux homme. La municipalité Piolle, après une brève interruption, lui a délivré une autorisation en bonne et due forme d'occuper le parvis de la salle Olivier Messiaen rue du Vieux Temple. Le gérant du restaurant du Musée, le "5 " - accordé également par la ville - exploite donc aussi une terrasse propriété de la ville pour cet autre restaurant " Ici Grenoble" révèle le Dauphiné ( 16/9/17). Il est passé de "l'accord tacite" du Maire qui lui avait permis de s'installer deux ans à l'arrêté officiel. La municipalité ne révèle pas ce qu'il en est de l'éventuel rattrapage des droits de voirie perdus pendant cette période? E.PIOLLE A PRÉSENTÉ LES CANDIDATS AUX LÉGISLATIVES SUR LA TERRASSE ILLÉGALE... Rappelons que c’est sur ce parvis et cette terrasse  illégale  qu’Eric Piolle présentait les candidats Verts aux dernières élections législatives. Il serait intéressant que le montant et la date de la facture de  » Ici Grenoble » réglée par les Verts pour cette prestation soit rendu public. Pierre Pavy était membre du comité de soutien d'Eric Piolle aux municipales. Chaque année il fait aussi grand bruit sur le déjeuner de fin d'année qu'il offre à des démunis. Ceux qui appartiennent au camp du Bien n'ont évidemment pas de compte à rendre et les passe droits ne sont que justice.  Ce qui permet les arrangements entre amis , des marchés publics aux sociétés des élus Verts/PG qui vendent des vélos électriques aux terrasses juteuses. «  les restaurateurs ont dénoncé deux poids et deux mesures en matière d’autorisation de terrasses à Grenoble, Y a t il deux poids et deux mesures à Grenoble ? avait demandé  à Eric Piolle  le journaliste Lionel Cariou de France Bleu Isère.On aime sa réponse qui éclaire chaque fois son rapport à la vérité, sa capacité à exprimer exactement l'opposé de sa pratique :  " Au contraire. il n’y a pas deux poids et deux mesures. On a beau être proche de moi (…) il y a des règles qui s’appliquent. "