Une modeste co-propriété de la rue André Rivoire venait de refaire à neuf la façade de son immeuble . A peine achevé les travaux les habitants viennent de découvrir que celle -ci était bêtement taguée par un émule du Street Art puisque la municipalité refuse toujours de distinguer la création artistique des tags . Puisque qu'Eric Piolle (Verts/PG) cautionne l'idée que toute expression sur un mur est un signe qui vaut la peine !
"Un tag, c’est toujours une expression, un point de vue. Et même le truc qui paraît moche porte un message, dans l’acte même, dans le risque que prend son auteur. C’est un marqueur de la société" avait déclaré le businessman Jérôme Catz choisi par Eric Piolle sur ces sujets (DL 4/5/15).
https://grenoble-le-changement.fr/2016/06/21/street-art-fest-festival-off-de-grenoble/
Les 13 garages donnant sur la rue ont été aussi targués et une grenobloise pleurait devant l'immeuble. Elle avait consacré toutes ses économies dans le ravalement de son immeuble.
Cela n'émeut personne. Le seul mouvement de solidarité qui a existé a bénéficié à Eric Piolle qui a sur-joué la victimisation quand son immeuble à lui a été tagué. Rue André Rivoire les co-propriétaires n'ont pas mérité la même compassion.
https://grenoble-le-changement.fr/2016/09/18/tags-dans-son-immeuble-e-piolle-a-tente-la-victimisation/
Seul Alain Carignon s'en est ému et rappelé sa proposition de sévir contre les tags par des amendes et la mise en place dune brigade anti-tags.