PATRIMOINE BRADÉ

Au lieu de présenter un plan complet qui réorganise le périmètre municipal, valorise le patrimoine pour dégager le maximum de recettes , la municipalité poursuit sa politique à la petite semaine. Ne pouvant même pas rénover la façade d’un immeuble du 76 quai Perrière qui lui appartient – alors que les copropriétés y ont été contraintes – la municipalité l’a bradé 70 000 € lors du dernier conseil municipal ! Même l'adjointe au patrimoine, Martine Jullian a claqué la porte pour protester contre cette politique et a été depuis mise en quarantaine, contrainte de démissionner de la Métro pour laisser sa place à ... Antoine Back. Avec une ville exsangue financièrement Eric Piolle  bouche les trous pour tenir jusqu’en 2020 .Il a vendu à la Métro ses actions de GEG valorisée grâce à la SEM créée par la municipalité Carignon ( et combattue devant les tribunaux depuis 30 ans par les élus Verts/Ades !) et perçu un chèque de 6 M€ de Christophe Ferrari ( PS repenti) dont c’est la seule activité remarquable. A ces faits on mesure la sordide réalité derrière les déclarations fumeuses sur le monde radieux de demain. En les laissant poursuivre les grenoblois -déjà les plus imposés des villes de plus de 100 000 habitants- seraient certains de payer une addition très salée.

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