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Ça Lui reprend au parc Paul Mistral,
Eric la main verte continue à massacrer à la tronçonneuse,
l’avenue Félix Viallet qu’il vient de raser ne lui a pas suffi. Cet arbre avait-il été «
fortement fragilisé par la tempête de neige de 2012 » comme
ceux de la rue Lesdiguières abattus pour rien ?
Ce qui est sûr, c’est que dans un parc ça n’est pas pour installer
un arrêt de bus à 400 000 euros, désaffecté après avoir à peine servi et coûté la vie à plusieurs des grands arbres du boulevard Gambetta. N’est-ce pas Yann Mongaburu ? Ce n’est pas non plus pour une hypothétique autoroute à vélos, comme à la gare où
le projet a été abandonné mais les cerisiers du Japon massacrés.
HEUREUSEMENT IL RESTE LES TAGS
Certes cet arbre a été liquidé, mais heureusement il reste les tags. Déjà l’année dernière au parc Paul Mistral,
six arbres avaient été abattus mais les tags avaient été sauvés. L’inénarrable Corinne Bernard (Verts/Ades) a disparu (tristement remisée au fond d’un placard ?). Plus besoin cependant de ses connaissances en art, longuement acquises quand elle était chef de gare (un train par jour). Car plus un mur de Grenoble n’échappe au grand mouvement artistique qu’elle a si bien lancé et
le « street art fest » c’est toute l’année.
HEUREUSEMENT IL RESTE LES CADAVRES DE BOUTEILLES
Heureusement, avec les tags il reste aussi les cadavres de bouteilles. Ils contribuent à cette image de
ville accueillante, libre et joyeuse sur laquelle la municipalité mise pour développer l’attractivité de Grenoble. Avec grand succès, il faut le reconnaitre : maintenant même les média nationaux le font savoir.
LE DÉNIGREMENT, NOUVEAU « HASHTAG » DE PIOLLE
Stop, arrêtez tout, oubliez immédiatement les photos de cet article car critiquer Eric Piolle ou sa politique c’est dénigrer Grenoble. Ben voyons. Dénoncer le massacre des arbres ? C’est dénigrer Grenoble. Dire que le laisser faire des tags est insupportable ? Un dénigrement qui fait du mal au territoire. On n’en peut plus des bandes alcoolisées dans les rues ou dans les parcs ? Dénigrement de Grenoble.
Bien sûr les Grenoblois ne sont pas dupes. Ils savent que
le « Grenoble bashing » c’est E. Piolle qui le produit.
Il ne faut plus crier » AUX FOUS »
nous sommes dans un pays , de droits pour les « dingues » …………
que dires ? que faire ? que penser ?
notre société est ainsi ≠≠≠ à chacun sa M … la sortie du tunnel !!!!!!!! ( au secours …… pas de vagues !!!! )
Monsieur,
Je réagis à votre article.
Donc, j’ajouterais au vu de la photo, que je me pose de sérieuses questions
quant aux compétences professionnelles de ces jardiniers élagueurs.
En effet, déjà, il ne peut être tronçonner une telle partie de l’arbre, trop importante.
Ensuite, nous pouvons constater que la coupe n’est ni franche, présence d’arrachements des fibres du tronc, ni inclinée comme cela doit être le cas pour cette opération d’élagage.
Normalement, cela doit permettre l’écoulement des eaux de pluies et empêcher à ces eaux de pénétrer au coeur de l’arbre, sinon la présence de l’eau générera la création de champignons pathogènes, mettant en péril la vie de l’arbre.
Source: https://elagage.ooreka.fr/comprendre/risques-elagage
Si l’élagage contribue à préserver la santé de l’arbre, malheureusement, il est aussi très souvent responsable de l’installation de champignons pathogènes. Principaux risques de l’élagage, les blessures dues aux coupes trop importantes sont une porte d’entrée idéale pour ces champignons.
Pour éviter l’installation de ces champignons pathogènes, il convient avant tout d’éviter d’infliger de grosses coupes à l’arbre :
Le diamètre des branches élaguées ne devra pas dépasser 3 à 5 cm de diamètre en majorité.
Le volume de branches élaguées lors d’une opération ne devra pas dépasser 1/3 du volume initial.
Un arbre qui n’a pas été élagué depuis longtemps va parfois nécessiter une taille au cours de 2 années successives.
Ensuite, la fréquence d’une taille d’entretien courante varie entre 5 et 10 ans.
Pour cela, il convient d’effectuer un suivi régulier afin de supprimer progressivement les branches basses qui pourraient se montrer gênantes à l’avenir et d’anticiper le volume futur de l’arbre.
Il arrive parfois qu’un arbre soit blessé, que ce soit volontaire (taille, greffe) ou involontaire (coup accidentel, tondeuse, morsures de rongeur, chancres, etc.).
Il est alors nécessaire d’intervenir rapidement pour protéger la plaie de l’air et des maladies possibles.
À cet effet, on utilise un mastic pour arbre.
Lors d’une blessure de l’arbre : formant une barrière protectrice étanche, le mastic a pour but de protéger l’arbre des agressions extérieures en empêchant l’air et les maladies de pénétrer dans la plaie.
Voilà, malheureusement,
nous sommes bien loin d’un travail effectué dans les règles de l’art et du respect dû à nos amis les arbres, maisons accueillantes et parfumées pour des myriades
d’oiseaux et d’insectes.
Et: « Qu’on se le dise !!! »