RONDEAU-LIBÉRATION : ODEURS INSUPPORTABLES et MOUCHES ENVAHISSANTES

  Eric Piolle veut bien prendre un risque juridique pour accorder le marché de la journée des Tuiles sans appel d'offres à ses amis Verts. Une information judiciaire est ouverte à ce sujet. Il appelle a être inculpé pour accueillir des étrangers irréguliers. Mais il ne veut prendre aucun risque et refuse depuis 3 mois de prendre un simple arrêté d'insalubrité après l'incendie criminel (probablement un règlement de comptes) de la supérette de produit Turcs “Ugur Market”, 236 cours de la Libération, ainsi que des commerces et garages alentour. UN INNOCENT EST MORT D'ASPHYXIE EN DORMANT  Au passage le gérant du magasin de télévisions, hi-fi “Axiom”, situé juste à côté de l’épicerie en feu âgé de 56 ans, qui dormait dans son arrière-boutique est décédé  asphyxié sans que personne ne s'en soit ému excepté Alain Carignon qui s'est exprimé à son sujet. Depuis lors « tout ce qui a brûlé dans le magasin est encore là, dont de la viande et d’autres aliments, qui pourrissent sur place », explique Maryline Cartal, qui habite juste au-dessus de l’îlot commercial. « Les odeurs sont insoutenables, et nous ne pouvons quasiment plus ouvrir les fenêtres, car la zone est infestée de mouches ».(DL du 1/6/18) LES ENFANTS JOUENT à CÔTÉ DE L'AMIANTE  Devant la lenteur des procédures, Maryline a envoyé une pétition ce lundi au cabinet du maire ainsi qu’au préfet et au service d’hygiène. « En deux jours, j’ai récolté 284 signatures, preuve que les gens en ont marre. Je vois des enfants jouer à côté, et je sais qu’il y a de l’amiante à l’intérieur, ce n’était plus possible de rester à attendre », assure l’habitante de la résidence Lesdiguières. E.PIOLLE REFUSE DE PRENDRE UN ARRÊTÉ EN URGENCE  Comme il s'agit de salubrité publique le Maire peut agir en urgence. Le risque étant que le propriétaire des lieux engage ensuite une procédure contre la ville. Eric Piolle le grand pourfendeur de la légalité ne veut pas le prendre pour les habitants de la Résidence Lesdiguières . "Un risque nul" a expliqué Alain Carignon qui s'est rendu à nouveau sur place vendredi matin pour rencontrer les habitants. HABITANTS ET COMMERÇANTS SONT VICTIMES  Avec la chaleur et le temps lourd les odeurs pestilentielles deviennent insupportables. Non seulement pour les habitants mais pour les commerces autour. On imagine que la terrasse du bar "Le Renouveau" qui jouxte les gravats de l'ex supérette est inutilisable pendant la seule période -celle des beaux jours- ou elle pourrait l'être. Mais peu importe l'économie de la ville et le confort minimal des habitants. Ils ne méritent pas la mobilisation d'Eric Piolle. LA DÉLINQUANCE VIOLENTE NE TROUVE PAS de RÉSISTANCE  Ainsi la progression de la délinquance qui rackette, menace, passe à l’action a des conséquences multiples : mort d'un travailleur innocent dans son commerce, habitants qui supportent une situation intolérable, commerces handicapés. Le même phénomène  s'est produit à Hoche mais aussi rue des Clercs en plein centre ville avec les tirs de Kalachnikov sur une vitrine. Les grenoblois sont victimes de la double peine : la municipalité croise les bras devant la montée de la violence et aussi sur ses conséquences sur la vie quotidienne. Ça fait beaucoup pour les Rouge/Verts Grenoblois.

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