ARBRES de la GARE : La PÉDAGOGIE de la NULLITÉ MUNICIPALE

Afin de bien mesurer la nullité crasse de la gestion de ceux qui prétendent faire " entrer Grenoble dans le XXI eme siècle" il faut suivre la chronologie de l'abattage des superbes cerisiers du japon de la place de la gare. 1/En septembre 2016 ils disparaissent sans raison officielle: ils ne sont ni vieux, ni malades, ni dangereux. En réalité la municipalité Piolle est encore dans sa phase de folie des autoroutes à vélo partout et en veut une place de la gare qui relie l'avenue de Vizille à la rue Casimir Brenier. PENDANT UN AN ET DEMI UN CLOAQUE DEVANT LA GARE 2/Pendant un an et demi (septembre 2016 mars 2018 ) l'emplacement des cerisiers du japon avec ses trous devient un dépotoir boueux par temps de pluie, des cloaques ou sont même déposés régulièrement des encombrants améliorant comme on l'imagine l'image de Grenoble . APRES 18 MOIS UN GOUDRONNAGE INCOMPLET 3/ Après 18 mois de protestations -toujours sans avoir donné d'explications sur l'abattage des arbres- en mars 2018 Eric Piolle fait goudronner les emplacements des cerisiers du japon.  Il oublie simplement le trottoir ou des arbres ont été également supprimés dans la continuité afin de réaliser l'autoroute à vélo qui ne s'est pas faite. Ce déroulé démontre l'inefficacité , la bureaucratie stalinienne derrière laquelle s'abritent les élus qui complexifient autant que faire ce peut les sujets et sont inaptes à les traiter. E.PIOLLE RÉUSSIT à MINÉRALISER UN LIEU QUI COMPORTAIT des ARBRES Ce seul espace de la place de la Gare est un excellent exemple pour faire la pédagogie concrète de la bêtise à front de boeuf qui dirige Grenoble. Pendant son mandat Eric Piolle aura réussi à minéraliser un lieu qui comportait des arbres, il aura réussi à le salir, à abîmer une image de l'arrivée à Grenoble pour des milliers et des milliers d'usagers de la SNCF. UN VERBIAGE PONTIFIANT QUI N'ABUSE QUE LE GOGO  Par incompétence, infirmité à descendre dans le concret, par prétention à donner des leçons au monde plutôt que de commencer par traiter les problèmes simples dont il a la responsabilité. S'y ajoute la vanité qui lui interdit de s'en expliquer.Son verbiage pontifiant qui n'abuse que les gogos ne peut pas couvrit tant d'immaturité dans la gestion quotidienne. DIRIGÉS PAR LES MÊMES HOMMES CHACUN DANS SON COULOIR Ce dossier modeste est emblématique. Il  est une excellente leçon de choses du fonctionnement de Grenoble entre la Métro, le SMTC, la municipalité dirigés par les mêmes hommes mais chacun dans son couloir, cherchant à se faire valoir, à discourir de généralités, à prétendre inventer la poudre et à énoncer des recettes exactes pour un futur  lointain. A.CARIGNON: " CETTE MUNICIPALITÉ EST EMBOURBÉE dans la BUREAUCRATIE"  De plus en plus pathétique et ridicule. Comme l'exprime Alain Carignon devant notre collectif: " cette municipalité est complètement embourbée dans la bureaucratie. Elle est dépassée. Je suis frappé par ce que je vois qui démontre une absence de volonté politique au service des Grenoblois comme si le Maire se contentait de tenter de donner une image et de répéter des poncifs pour son électorat, n'assumant pas sa tâche de gestionnaire responsable d'une grande ville ". LE DIRECTEUR GENERAL LIMOGÉ à SON TOUR...  Bien entendu cette gestion titubante a des conséquences. Ainsi Place Gre'Net a annoncé qu'Eric Piolle se séparait soudainement de son Directeur Général François Langlois qui appartient pourtant de très prés au clan Verts/Ades. Beaucoup indiquent " qu' « il y avait de l’eau dans le gaz entre Langlois et Piolle ». Circule également l’idée que le directeur a été sacrifié sur l’autel de la grogne du personnel "  indique le site d'information. Il cite un employé municipal pour qui : "  Ces managers ne sont pas humains" . ....APRÉS LES DIRECTEURS de CABINET et de la COMMUNICATION Eric Piolle avait déjà limogé sans ménagement son Directeur de cabinet, Gaël Roustan,  son directeur de la Communication Erwan Lecoeur .Maintenant de son Directeur Général. Les piliers qui l'ont aidé à être élu et l'ont accompagné. Ils ont tous eu la tête coupée avant la fin du mandat. Le Grand Timonier s'aime trop pour être à l'écoute, il est trop péremptoire pour analyser ses propres manquements. L'AUTORITARISME des FAUX DURS S'EN PREND AUX SUBALTERNES La simple analyse chronologique de ce qui s'est passé place de la gare et se répète partout sur tous les dossiers de la ville lui permettrait de comprendre qu'il manque un chef: l'autoritarisme qui s'en prend aux subalternes est celui des faux durs, signe d'impuissance. Ne demeure plus que Lui. Il ne lui vient pas à l'idée de se sanctionner lui-même. Les Grenoblois vont donc s'en occuper.

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