SQUAT de le RUE des ALLIÉS : L’INCONSÉQUENCE MUNICIPALE PRODUIT UN AFFRONTEMENT

Le mystérieux Vincent Fristot Président (Verts/Ades) de GEG a tenté de faire couper l'eau et l'électricité discrètement pendant le pont du 1er novembre au squat de la rue des Alliés comme il l'a fait rue Jay. Il s'agit de conduire ces opérations avant la période hivernale qui les interdira le 1 er novembre. On ne sait pas ce que la majorité municipale pense -les Elisa Martin et autres- de cette méthode ? L'extrême gauche, la France insoumise (!)  et les partisans de "Nuit Debout" sur tous les fronts pour soutenir les personnes qui ne paient pas leur eau ou leur électricité ont l'air intelligents. JETS de PROJECTILES, ASPERGES D'EAU et D'URINE... Mais au petit matin les travaux de terrassements destinés à permettre l'accès des réseaux avant compteur ont été brutalement interrompus par les occupants du squat :  avec les jets de divers  projectiles ils ont également aspergé  d'eau et d'urine  les intervenants qui ont appelé la police. Des échauffourées ont eu lieu comme le montre la vidéo du Dauphiné Libéré et 18 personnes ont été interpellées. Comme l'explique un militant  «C’est la nouvelle méthode de la mai­rie pour forcer les gens à par­tir» en fai­sant référence au squat de la rue Jay, privé d’électricité de­puis un mois. (Dl du 31/10/17) E.PIOLLE COUPE L'EAU et L'ÉLECTRICITÉ MAIS N'EXPULSE PAS !  Mais si Eric Piolle coupe l'eau et l'électricité, il n'engage pas de procédure d'expulsion ! Ce squat est en effet une cellule d'extrême gauche très active qui souille la ville d'affiches sans être jamais mise en cause par la municipalité. Mais outre ces incohérences politiques, ce qui frappe est la gestion calamiteuse du patrimoine municipal : la villa de la rue des Alliés est une propriété municipale vide depuis deux décennies ! Dans une ville qui est au bord de la mise sous tutelle. Au lieu de vendre ces biens ils sont intégrés à des projets noyés sous la bureaucratie et la municipalité est incapable de les gérer. LA MUNICIPALITÉ A FAIT ÉVACUER la VILLA du 72 AV L.BLUM  D'ailleurs quelques jours auparavant (DL du 26/10/17), le 25 octobre, la municipalité a fait évacuer discrètement le squat du 72 avenue Léon Blum : cette villa acquise depuis plus d'un an par Christine Garnier, responsable (Verts/Ades) du logement,  étant vide était occupée par des usagers du vélo, avec, semble t il au départ, une tolérance municipale. Pourquoi les Rouge/Verts y ont ils mis fin ? Personne ne le saura dans le cadre de l'opacité complète qui règne sur ces décisions. LE LOGEMENT,  CHASSE GARDÉE du CLAN des ÉLUS VERTS/ADES  Le logement est une chasse gardée du clan Avrillier depuis une vingtaine d'années : Raymond Avrillier (Verts/Ades) a été Adjoint au logement de Destot, Maryvonne Boileau (Verts/Ades) Présidente de l'OHLM sous le même est désormais Présidente de Grenoble-Habitat, Pierre Kermen (Verts/Ades) a été l'Adjoint à l'Urbanisme et aujourd'hui c'est Vincent Fristot (Verts/Ades). Eric Piolle préside personnellement Actis, l'OPHLM.  C'est dire l'emprise redoublée maintenant avec leur domination de la majorité municipale.  Il en résulte une gabegie dans la gestion, dans les attributions de logements, mais aussi dans le patrimoine. Outre la rue des Alliés et la rue Jay qui sont des bâtiments vides, outre la villa de l'avenue Léon Blum, une villa acquise depuis bientôt 2 ans, 16 rue André Argouges est vide aussi ! PERTES de RECETTES, PERTES D'EMPLOIS, FAMILLES à la RUE... Pertes de recettes, d'emplois pour les travaux à effectuer, familles à la rue ou en attente de logement, quel que soit l'angle sous lequel on l'aborde cette politique est caractéristique de l'impéritie de la municipalité Piolle. Laquelle n'est elle-même que dans les discours grandiloquents, les postures sur l'avenir pour faire taire le gogo. Ses  pantalonnades sur les squats ne répondent aucunement à l'ampleur des problèmes qu'ils posent. Rappelons tout de même qu'une adolescente est décédée accidentellement dans le squat de la rue des Alliés et que ça n'a pas fait varier la municipalité. LA MUNICIPALITÉ DEVRAIT RENONCER à SES APPELS d'AIR à L'IMMIGRATION ... On l'avait déjà vu avec le bidonville de l'avenue Esmonin qu'Eric Piolle refusait de faire évacuer avant de s'y résoudre quand le niveau de délinquance a dépassé les bornes. Il en est de même avec les squats. La municipalité devrait renoncer à ses appels d'air à l'immigration clandestine, à ses déclarations selon lesquelles l'hébergement des étrangers en situation irrégulière est "inconditionnel" à Grenoble. Elle devrait mettre le paquet pour intégrer, former, transmettre nos valeurs, diriger vers l'autonomie et l'emploi ceux qu'elle est en capacité d'accueillir. ... ET RENOUER AVEC UNE ÉTHIQUE de RESPONSABILITÉ Ce qui signifie en effet que Grenoble ne peut pas recevoir dignement toute la misère du monde, mais seulement sa part. Un éthique de responsabilité qui figure dans la longue liste de celles que la municipalité se refuse à assumer. Au détriment des malheureux et dont les Grenoblois sont aussi les victimes.
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