INCENDIE de la GENDARMERIE: GRENOBLE BRÛLE T IL ?

"La conjonction d’une extrême gauche encouragée par le discours municipal anti-capitaliste avec une délinquance  mafieuse à laquelle les élus locaux cèdent le pouvoir et le développement d’un communautarisme exacerbé qu’on aide à ghettoïser des quartiers entiers par clientélisme électoral, produit un cocktail explosif qui détruit la ville" a résumé hier Alain Carignon dans un communiqué suite à l'incendie criminel de la gendarmerie située avenue Léon Blum , dans le sud de Grenoble. 11 VEHICULES BRÛLES, 300 000 € de DÉGATS à la SEMITAG ... Revendiqué par l'extrême gauche qui avait déjà fait brûler 11 véhicules d'une société privée, causé pour près de 300 000 € de dégâts à la SEMITAG en détruisant des distributeurs de billets , cet nouvel acte de violence témoigne que la ville est sous l'emprise de bandes organisées. Le cumul de quartiers entiers qui vivent avec la loi imposée par une mafia,de la ghettoïsation inquiétante et de la paupérisation générale de la ville par la perte de la valeur des biens produit en effet ce cocktail détonant. GYMNASE, MAISON de L'ENFANCE, THÉÂTRE, COLLÉGE, LOCAL BOULISTE: TOUT BRÛLE  Ce nouvel acte de violence s’inscrit aussi dans une  longue liste avec les incendies ces dernières années d’un gymnase, d’une maison de l’enfance, du local des boulistes des Eaux Claires, d’un local municipal à Mistral, d’un théâtre, d’un collège , sans compter les voitures brûlées hebdomadairement à un rythme soutenu, les caillassages réguliers de policiers, de pompiers ou même d’ambulances, d’autobus ou de trams. GYMNASE RECONSTRUIT: 6 M€ NON ASSURÉS  Par exemple après 10 ans la reconstruction du gymnase de Villeneuve vient de commencer puisqu'Eric Piolle a posé fièrement la première pierre: d'un coût de 6 M€ il n'est pas assurable. Plus aucune compagnie ne veut assurer Grenoble compte tenu du niveau exceptionnel de la délinquance et de l'absence de vidéo-protection qui est un critère. Outre l'insécurité endémique les grenoblois doivent donc chaque fois mettre la main au portefeuille . Cette situation est un des éléments constitutifs qui fait de Grenoble la première ville de France pour l'impôt sur les ménages. Mais cette violence est aussi quotidienne par les agressions à l’arme blanche qui se multiplient dans des conditions extrêmement dangereuses pour les victimes. " NOS ÉLUS LOCAUX SE RENDENT AVANT D'AVOIR LIVRÉ BATAILLE"  Le Procureur de la République Jean-Yves Coquillat, les magistrats en charge des mineurs, les responsables de la police, tout le monde dénonce une situation exceptionnelle à Grenoble, sans commune mesure avec ce qui se passe dans les villes comparables. L'attaque directe des gendarmes, des militaires, sur le sol grenoblois par une bande organisée est un degré supplémentaire dans cette guerre qui n'est pas livrée. On le sait Eric Piolle regarde ailleurs, fait diversion et lance des " débats" auquel il est seul à participer. " Nos élus locaux se rendent avant d'avoir livré bataille. Sur ce point comme sur tous les autres qui méritent bataille, ce sont des Muni­chois" avait déclaré Alain Carignon au Dauphiné  (26/8/17) UNE CONNIVENCE OBJECTIVE, IDÉOLOGIQUE AVEC CETTE DÉLINQUANCE  En fait ça va plus loin. Il existe une connivence a minima objective et idéologique entre cette délinquance de droit commun et les élus grenoblois. Au fur et à mesure qu'elle progresse la gauche et les Verts/Ades progressent électoralement.  S'agissant de l'extrême gauche la municipalité Rouge/Verts a participé à toutes les manifestations contre la loi El Komri qui ont dégradé nombre d'équipements publics et privés. Eric Piolle avait cautionné ces violences en répondant que " c'est la loi qui est violente". Il  a même campé à " Nuit Debout" avec Elisa Martin et Alan Confesson! E.PIOLLE REFUSE DE SOUMETTRE NOS 10 MESURES à PÉTITION  Ces " Nuits Debout" qui devaient inventer un autre monde en répétant le poncifs des républiques "populaires"  qui ont échoué et sont allé dormir ensuite. Aujourd'hui  "J’appelle à nouveau Eric Piolle à accepter enfin de soumettre aux Grenoblois nos propositions pour changer fondamentalement la donne par un plan global et précis permettant de lutter par tous les bouts contre cette dérive mortelle pour Grenoble" demande encore Alain Carignon. On le sait Eric Piolle a rejeté la demande de pétition soumise  par notre collectif qui propose 10 mesures : la municipalité juge que l'on doit en présenter une seule aux Grenoblois. C'est dire si elle a conscience de l'ampleur du désastre.
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