7000 ACTES de DÉLINQUANCE DE PLUS QUE LA MOYENNE, Á QUI LA FAUTE ?

En 2015 Grenoble subissait déjà 7000 actes  par an de délinquance supplémentaire par rapport aux villes comparables selon le Ministre de l'Intérieur . Depuis juin 2016 Yann Mongaburu Président (Verts/Ades) du SMTC et Jean-Paul Trovero le Président (PCF) de la Semitag et calamité de Fontaine ne publient plus les statistiques des délits dans les transports en communs. Mais la page "faits divers" du "Dauphiné" qui ne peut pas tout savoir en apprend tout de même beaucoup chaque jour. Pas besoin d'être expert pour interpréter la réalité grenobloise : au sommet une mafia tentaculaire qui régente une économie souterraine de moins en moins souterraine et  brasse des millions d'€. En dessous une pyramide d'innombrables qui nourrit  caïds, surveillants, grands frères, nourrices ... UN FAR WEST GRENOBLOIS TOLÉRÉ, ENCOURAGÉ, DES VICTIMES ABANDONNÉES  La traduction sur le terrain est visible : ces quartiers ou l'on ne peut pas entrer sans montrer patte blanche ou les intervenants techniques (réparateurs en tous genres) se donnent rendez-vous à 6 h ou 7 h du matin quand ils acceptent de s'y rendre ; Les grosses cylindrées qui circulent au milieu des HLM d'Eric Piolle Président d'Actis et de Maryvonne Boileau  Présidente de Grenoble-Habitat (Verts/Ades) ; Les voitures et scooters volés qui mènent leur danse, arrachent les colliers, les sacs, renversent les enfants dans les parcs ou les mères de famille devant les supermarchés ; Les policiers attaqués parfois les médecins qui interviennent la nuit, les bus, les pompiers, les ambulances caillassés , les voitures brûlées par dizaines chaque mois ; Les équipements publics qui partent en fumée pour un oui ou un non, le gymnase de la Piste (Villeneuve) la maison de l'enfance la Cordée (Villeneuve) le collège (Villeneuve) la salle municipale (Mistral) le Théâtre Prémol (Village Olympique) le local des Boulistes (Eaux Claires) le siège du Foot (Villeneuve) ; Les fusillades dans l'espace public devant l'école Jean Racine (Teisseire), place Saint Bruno (Chorrier Berriat) marché de St Pierre du Rondeau (Libération) bijouterie de la place Notre Dame , salon de coiffure à l'Aigle ; Caches d'armes découvertes par hasard dans les quartiers (parc de Villeneuve, Abbaye -Jouhaux ..)  , l'Isère étant aussi en 2014 le premier département pour les délits d'armes à feux> UNE CONNIVENCE AVEC l'ÉCONOMIE SOUTERRAINE"Grenoble ce n'est pas le Far West" avait elle déclaré. Il y a des Marie-Antoinette surtout parmi les élus de gauche et Verts/Ades qui regardent ailleurs comme l'épouse de Louis XVI ne comprenait pas que le peuple ne mange pas de brioches quand il n'a plus de pain. Il existe une Nomenklatura locale qui s'accommode de la situation. Pour deux raisons : d'abord parce qu'elle ne la vit pas. Et parce qu'on ne peut plus être élu sans une connivence a minima objective avec l'économie souterraine. Le message a été parfaitement reçu depuis une vingtaine d'années : au fur et à mesure que des quartiers se paupérisent selon les données publiques et que la délinquance y progresse les candidats de  gauche et Verts/Ades/PG y obtiennent des scores soviétiques. La dégradation assure leur prospérité électorale. A JOUHAUX CE SONT LES HONNÊTES FAMILLES  QUI DOIVENT DÉMÉNAGER  A Jouhaux aux 3 et 5 rue du 140 eme RIA, Eric Piolle, Président d'Actis donne raison à ceux qui ont pris le pouvoir contre les habitants qui vivent une enfer. Les 30 familles qui demandent depuis janvier leur relogement d'urgence (!) pour cause d'insécurité ne reçoivent pas de réponse. Au lieu de mettre les moyens pour que les délinquants soient délogés plutôt que les familles, la municipalité laisse faire. Le message est toujours le même. href="https://grenoble-le-changement.fr/2017/08/22/rue-raoul-blanchard-la-pisse-les-crachats-les-insultes/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Rue Raoul Blanchard c'est la même chose. Ceux qui imposent leur pouvoir, leurs valeurs qui terrorisent sont confortés. Les autres doivent partir en étant spoliés. Le service de "Médiation" place sur le même plan les voyous et les victimes. CENTRE VILLE : "LA VENTE DE STUPÉFIANTS JUSQUE DANS LES ENTRÉES D'IMMEUBLE" Dans la plupart des autres cas c'est l'Omerta, la loi du silence. On entend plus rien au Lys Rouge, à Mistral, à Teisseire, à l'Abbaye et au centre ville.  Certains partent sur la pointe des pieds comme nous l'écrit ce cadre qui a demandé sa mutation : "Après 5 mutations et découverte d’autant de villes nouvelles, nous étions ravis de découvrir Grenoble et ses montagnes (...) Comme lors de chacune de nos mutations nous avons naturellement choisi d’habiter dans l’hyper-centre et grand mal nous en a pris." "Que dire sur l’insécurité et la vente de stupéfiants jusque dans les entrées d’immeuble, " Ce Grenoblois d'adoption quitte la ville en septembre comme cette commerçante de Berriat baisse le rideau et fuit la ville. Combien sont ils ?  Par qui sont ils remplacés ? Et tous ceux qui pleurent de ne pouvoir partir?  LE NOUVEAU POUVOIR GRENOBLOIS NE SERA JAMAIS RASSASIÉ Sauf que le nouveau pouvoir ne sera jamais rassasié.  La destruction d'un collège ,symbole aussi évident et fort de l'égalité et de la promotion par la connaissance et l'effort a été une véritable bombe vite dissimulée . Incendié le jour d'une élection -autre symbole- un étage de la pyramide du nouveau pouvoir a adressé lui aussi un message. Il s'agit d'une contre-société qui récuse la notre et ses valeurs.« Une femme de 72 ans et son petit-fils, un adolescent de 15 ans, ont été agressés lundi 21 août vers 17 h 30 sur l’avenue Léon-Blum, à Grenoble, par deux « jeunes «. L’un d’entre eux reprochait à l’adolescent d’avoir mis en ligne une photo où il figurait en compagnie d’une jeune fille qu’il pensait être sa sœur. Bousculée, la septuagénaire n’a pas été blessée. Son petit-fils a reçu des coups » a  raconté le « Dauphiné"(23/8/17). A Villeneuve un homme qui travaille le matin, descendu un dimanche soir pour faire cesser le bruit des délinquants qui vivent la nuit a terminé à l'hôpital. LE COMPORTEMENT TRIBAL DEVIENT LA NORME  Par petites touches le nouveau pouvoir s'installe et le comportement tribal devient la nouvelle norme. A force d'avoir récusé les frontières, les interdits, placé à égalité le savoir et l'ignorance comme s'il n'y avait rien à transmettre, Grenoble a fabriqué des générations de déboussolés. Comme la nature humaine à horreur du vide et un besoin consubstantiel d'appartenance,  celle-ci a été  recréée sur des bases claniques et violentes.La production de 20 ans d'urbanisme fou, d'assistanat sans sanctions, de clientélisme électoral criminel aboutissent à un formidable recul de civilisation. LA FUITE DES ÉLÉVES du SUD de la VILLE VERS LE NORD  Grenoble le mesure par cette fuite des quartiers sud sur un critère qui ne trompe pas : 1/3 des effectifs scolaires du nord de la ville provient du sud. Signe indubitable qu'une partie de ceux qui sont conscients de cette terrible évolution cherchent à en faire échapper leurs enfants. Mais  le nord de la ville bétonné massivement à son tour, ou les mafias se développent en tache d'huile, alors que le centre ville  lui-même est devenu une zone de non droit, est en train de devenir le sud sous nos yeux. Quand le Procureur de la République lance qu'il " n'a jamais connu de ville plus gangrenée et pourrie que Grenoble" il constate un état de faits. A.CARIGNON : "NOS ÉLUS LOCAUX SONT DES MUNICHOIS"  En réponse la classe politique biaise. Eric Piolle et Elisa Martin ouvrent le "débat" sur la dépénalisation du cannabis. Ça ne mange pas de pain et ne fait pas peur à la mafia. M.Chamussy et S.Gemmani peuvent s'engouffrer derrière. Comme le répond  Alain Carignon  "la suppression d’une source de revenus ne l’éteindrait pas. Elle serait immédiatement remplacée. C'est déjà le cas puisque des alternatives sont mises sur le marché afin de créer des accoutumances. Tout le monde le sait, Eric Piolle le premier. C’est trop tard. De plus du point de vue de la santé publique la dépénalisation entraînerait surement une aggravation par la diffusion massives d’autres psychotropes plus dangereux encore. Il ne s’agit pas d’un marché qui peut disparaître sans une lutte frontale. Mais nos élus locaux se rendent avant de l’avoir livrée. Sur ce point comme sur tous les autres qui méritent bataille, ce sont des Munichois." La nouvelle "peur sur la ville" qui saisit Grenoble paralyse l'action. Sans un plan cohérent et fort qui s'attaque à tous les aspects du sujet et met en action tous les acteurs au premier chef la municipalité qui est la première responsable, il y a fort à craindre pour Grenoble et les Grenoblois.
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