LES POLICIERS de PLUS EN PLUS ATTAQUÉS PAR LES DÉLINQUANTS

La culture laxiste répandue par la municipalité Piolle (Verts/PG) produit des effets de plus en plus pesants sur la police mais également sur tout ce qui représente notre organisation collective: les bus et les trams sont de plus en plus souvent caillassés lorsqu'ils traversent  "certains" quartiers qu'il ne faut pas stigmatiser. Un collège entier a brûlé à Villeneuve le jour des élections comme si une frange de plus en plus importante de la ville envoyait le message violent qu'elle récuse à la fois notre système éducatif qui a pour objet de favoriser l'émancipation de l'individu comme citoyen, homme ou femme à égalité et la République avec ses valeurs dont la force résulte du vote. UN SENTIMENT D'IMPUNITÉ : NE PLUS ACCEPTER LES FORCES de L'ORDRE Le rythme de voitures brûlées ne se ralentit pas. Dans la seule nuit de mercredi à jeudi, pour prendre un exemple, ce sont encore 5 voitures qui ont été incendiées : à Villeneuve, à Echirolles et à l'Ile Verte. ( source DL du 5/8/17) Le plus troublant est la progression du sentiment d'impunité qui pousse à ne plus accepter l'intervention des forces de l'ordre. La délinquance s'affiche, prend le pouvoir vacant selon le principe que la nature à horreur du vide. Elle peut tenter 7 attaques du même commerce cours Berriat dans le même mois sans être inquiétée : c'est la commerçante qui ferme et quitte la ville. CE SONT LES VICTIMES QUI SONT DÉLOGÉES PAR LES DÉLINQUANTS  A Jouhaux une trentaine de locataires demandent un relogement d'urgence car ils ne peuvent plus supporter la délinquance : ce n'est pas cette dernière qui doit partir mais eux qui sont délogés. A Hoche, à Villeneuve, à Mistral, à l'Alma, au Lys Rouge partout  les habitants baissent les yeux et filent doux. Les conséquences peuvent être dramatiques si on se rebelle. Dans le centre ville, rue Raoul Blanchard cette grenobloise qui a acquis un appartement à la sueur de son front vit à l'hôtel: depuis 18 mois celui qui le lui a vendu alerte Eric Piolle, Président des HLM et Maire sur le refus de vivre en collectivité de ceux qu'il loge. Rien. Ici aussi c'est la délinquance qui s'installe et commande. Les autres habitants sont deviennent la marge. De plus en plus et partout. L'ANNONCE de l'ABSENCE de CAMÉRAS : LA DÉLINQUANCE A QUARTIER LIBRE L'annonce de l'absence de caméras de vidéo-protection aura été la faute majeure initiale de la municipalité Piolle : il n'y a pas eu de second degré dans la lecture qu'en ont fait  les voyous ; Ils ont bien compris qu'ils avaient quartier libre. La municipalité Destot /Safar (PS) ne faisait rien mais ne l'annonçait pas par haut parleur. Elle aussi a nié longtemps le problème pour protéger sa politique de bétonisation intensive et sa fausse "mixité sociale". Rappelons la tentative  Destot/Safar de faire croire que tout allait bien jusqu'en 2012 (conférence de presse du 26/10/2012 ) sous le titre "délinquance en baisse à Grenoble..." Elle n'a pas pu tenir jusqu'en mars 2014 et avait "découvert" juste avant les élections municipales qu'il fallait développer les caméras, la police et l'armer. Dans le DL un mois avant les élections (DL du 6/2/14) Jérôme Safar découvrait " la réalité très forte de l'économie parallèle"  Il était Adjoint à la Sécurité. M.DESTOT (PS) : LES DÉLINQUANTS AVAIENT TRAVAILLÉ AU MARTEAU PIQUEUR, PERSONNE N'A RIEN ENTENDU  Car la ville "gangrénée et pourrie" selon la formule du Procureur de la République - un homme que Elisa Martin (PG) juge sur Place Gre'Net  "très fort, très indépendant et libre"  ayant "beaucoup d'estime pour lui (...)une belle représentation de la justice" - n'est pas née avec Eric Piolle. L'évolution a été lente mais prégnante sous la municipalité Destot. On se souvient de ce fait paroxysmique : les délinquants avaient pu travailler au marteau piqueur dans les caves de Mistral pour installer des bureaux avec écrans plats, réfrigérateurs, canapés de luxe, caméras de surveillance dans la rue sans que, officiellement, aucun cadre des HLM, sans qu'aucun élu, sans qu'aucun intervenant municipal ne le sache ! Pendant ce temps le Conseil Municipal ratiocinait de savoir si il installerait ou non des caméras compte tenu du risque pour les libertés publiques, multipliant les commissions pour avis... J.SAFAR (PS) SE DEMANDE S'IL "NE SERAIT PAS POSSIBLE d'EXPÉRIMENTER QUELQUE CHOSE"(!) A lire Jérôme Safar l'ancien Premier Adjoint à la sécurité (PS) dans "Place Gre'Net",  il ne semble pas avoir tiré les leçons de ses fautes. "vu l’ampleur du phénomène et l’échec des politiques publiques, nous devons regarder s’il ne serait pas possible d’expérimenter quelque chose" déclare t il au site d'info en ligne ! Il serait temps d'atterrir. ça fait penser à l'inimitable Christophe Ferrari le Président (PS) de la Métro qui ne s'interdisait pas de réfléchir aux questions d'insécurité. C'était en septembre 2016. Les habitants ne connaissent pas encore le résultat de ses cogitations. Il est vrai qu'il n'est qu'a mi-mandat. A.CARIGNON : UN PLAN D'AMPLEUR et 10 MESURES IMMÉDIATES Alain Carignon et les collectifs qui ont travaillé avec lui proposent des mesures concrètes dans un cadre global qui dérangent bien des intérêts en particulier le clientélisme électoral de la gauche et des Verts/Ades. C'est pourquoi Jérôme Safar et ses amis en sont encore à tenter d'endormir les grenoblois trouvant des convergences avec Elisa Martin... Rappelons toujours qu'en 2015- dernier chiffre publié- Grenoble comptait 7000 actes de délinquance de plus que les villes comparables, soit 63 % de délinquance supplémentaire. Il y a donc un échec "spécifique des politiques publiques" à... Grenoble. LES DÉCISIONS de E.PIOLLE (Verts/PG) PRODUISENT de la DÉLINQUANCE SUPPLÉMENTAIRE Mais depuis 3 ans l'accélération est forte car elle s'effectue sur des bases "pourries" largement répandues qui constituent un humus favorable. Le cumul des annonces et des mesures par la municipalité Piolle aura produit des bidonvilles type Esmonin avec sa kyrielle de cambriolages  supplémentaires, les agressions sur les étudiants à partir du camp de Rom du Rondeau, les faux mineurs étrangers venus se protéger par ce statut pour faire profession de délinquance, les étrangers en situation irrégulière appelés et ayant cru à l'Eldorado abandonnés à leur sort... Il suffit de marcher dans le centre ville comme le relatent tant de visiteurs pour comprendre que la ville est devenue une autre ville à cause de ces politiques. LE CONDUCTEUR SE REBELLE CONTRE LES POLICIERS En plein mois d'août, en période calme, les policiers ont eu à subir des agressions incroyables qui témoignent de cette ambiance Grenobloise : Jeudi  dernier des policiers ont poursuivi un véhicule dont le conducteur venait de refuser de se soumettre à un contrôle après de nombreuses infrac­tions routières. Bloqué dans la circulation, le conducteur a fini par aban­donner son véhicule,s’est enfui en courant pour aller se cacher dans un hall d’immeuble. Rat­trapé, cet homme de 23 ans s’est violemment rebellé lors de son interpellation, contrai­gnant les gardiens de la paix à employer la force pour le maî­triser.  Sa voiture  faisait l’objet d’une mesure d’immobilisation....  TEISSEIRE : IL FRAPPE 2 POLICIERS AUX JAMBES et AMEUTE les JEUNES du QUARTIER
Le même après-­midi, dans le quartier Teisseire, un jeune homme de 19 ans circulant à scooter a été arrêté par une patrouille après avoir tenté d’échapper au contrôle. L’homme a frappé deux poli­ciers aux jambes et a tenté d’ameuter les jeunes du quar­tier qui se sont attroupés et se sont enfuis avec le scooter. JEANNE D'ARC : INTERDIT DU TERRITOIRE, L'ALGÉRIEN SE REBELLE CONTRE LES POLICIERS Jeudi toujours, vers 17 h 30, avenue Jeanne­ d’Arc, une autre patrouille a été témoin d’une scène étonnante : une voiture est passée devant eux, le passager tenant à bout de bras un vélo dépassant de la fenêtre...Contrôlé, l’automobiliste, âgé de 28 ans, était en état d’ivresse, n’était pas titulaire du permis de conduire et était porteur d’un couteau. Il s’est lui aussi violemment rebellé et a dû être maîtrisé par les gar­diens de la paix. Par ailleurs, le vélo venait d’être volé. En outre, cet homme avait été expulsé en Algérie en 2007 avec interdiction de re­venir sur le territoire français. ... HOCHE : 7 POLICIERS PORTENT PLAINTE CONTRE UN "JEUNE" de 23 ANS 
Le lendemain vendredi  peu après 6 heures, un automobiliste de 23 ans a été arrêté allée du Jardin Ho­che à l’issue d’une course­ poursuite avec la police. Dé­crit comme très violent par les gardiens de la paix, il s’est re­bellé, a tenté de les frapper et a refusé de se soumettre au contrôle d’alcoolémie. Il s’est avéré qu’il conduisait en dépit d’une annulation de son per­mis de conduire. Sept policiers ont porté plainte contre lui. (source pour ces faits : le DL du 5/8/17.
Il est évident que ça ne pourra pas durer. Ou alors comme le dit cette habitante de la rue Raoul Blanchard qui doit vivre à l'hôtel parce qu'Eric Piolle  refuse de faire appliquer la loi dans son immeuble "il n'y aura plus de place à Grenoble pour ceux qui vivent de leur travail". 
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