180 VALIDEURS de TRAM sur les LIGNES et 11 VÉHICULES DÉTRUITS rue du VERCORS …

Une minorité exerce sa violence à Grenoble dans lignée des actions contre la loi travail, de Nuit Debout. Chaque fois les exactions avaient été couvertes par la municipalité Piolle, le Maire expliquant même que c'était "la loi qui est violente", campant avec "Nuit Debout". Se saisissant de son engagement démagogique N°25 de gratuité des transports aux 18/25 ans - évidemment non tenu comme les autres - les ultras ont détruit mi-avril 180 valideurs de Tram et 7 distributeurs de tickets afin de réclamer la gratuité totale des transports. Ils ont été mis “hors service” par l’injection d’un produit corrosif. Une série d’attaques « coordonnées et très organi­sées, d’une ampleur inédi­te » avait écrit le DL (14/4/17). Les contrôleurs sont nommés par des tags et donc menacés personnellement. Bonjour la sécurité. Au passage, coût pour le contribuable  et l'usager: 250 000 €. LE REFUS DE PAYER LES TRANSPORTS DE PLUS EN PLUS IMPORTANT Yann Mongaburu (Verts/Ades) et Jean-Paul Trovero (PC) ne publient plus les statistiques de refus de payer dans les transports. On était monté à 12 % l'année dernière. Combien cette année?  Les refus deviennent de plus en plus violents chaque fois.  Ainsi encore ce mardi vers 18 h30 "un homme de 33 ans qui voyageait sans titre de transport a violemment agressé les contrôleurs,  dans une rame de tramway de la ligne E, à la hauteur de la l’arrêt “Condorcet”. Après avoir tenté de porter des coups à un premier agent, il en a frappé un second "( DL du 1/6/17). En effet pourquoi pas la "gratuité"?  Dans la mesure ou personne ne dit qui paie la "gratuité" dans la ville aux impôts les plus élevés de France. "LE SABOTAGE DEVIENT POUR NOUS UNE ÉVIDENCE" Le 30 mai des "militants anti-capitalistes" (!) ont détruit 11 véhicules d'ERDF par incendie criminel, rue du Vercors, revendiquant leur acte par un communiqué: "le sabotage devient pour nous une évidence contre l’un des mille avatars de l’infrastructu­re capitaliste"(!). les trois foyers distincts ont été allumés vers 3 heures sur le parking selon le DL ( 31/3/17). Ajoutant : « Nous ne palabrerons pas sur les insignifiantes distinctions que d’autres aiment à faire entre les modes industriels de production électrique. Nous les condamnons tous ». Ils portent la logique de la décroissance à son terme totalitaire qui est l'essence de cette philosophie politique. HYMNE à L'ACTIVISME ÉCOLOGIQUE Les auteurs menacent également des sociétés telles que Vinci, Suez, Eiffage, ainsi que le CEA (Commissariat à l’éner­gie atomique) qui sont "autant d’ennemis". Ils s'inspirent de  l’auteur du “Gang de la clé à molette” (hymne à l’activisme écologis­te et à la désobéissance civile).  Le plus drôle si onde dire est que la municipalité Piolle a retiré l'éclairage au service public pour le confier à... Vinci. LES VOITURES BRÛLÉES  de PLUS EN PLUS NOMBREUSES Grenoble est victime de ces actes violents à répétitio n: le siège départemental du parti Les Républicains  a été saccagé avec  sauvagerie le 21 mars dernier, 7 véhicules ont été incendiés d'un seul coup  sur un parking du CCAS le 23 mars et sept voitures de la Métropole de Grenoble, rue Jacquard, le 28 mars. S'ajoutant aux incendies de voitures quasi quotidiens dans nombre de quartiers grenoblois.
QUARTIER ST BRUNO : ON TIRE ENCORE à UN ARRÊT de TRAM  La permanence de la candidate (LR/UDI) Elodie Léger installée quartier St Bruno est régulièrement vandalisée afin de lui faire comprendre que le quartier ne supporte pas la diversité. D'ailleurs le 31 mai vers 20h45  on a encore tiré sur le cours Berriat "au niveau de l’arrêt du tramway “Saint­ Bruno”, alors qu’un grand nombre de passants se trou­vait dans la rue" explique le DL (1/6/17). « J’ai entendu deux séries de tirs, peut ­être cinq ou six au total, et j’ai vu des gens s’éloigner en courant », ra­conte un habitant du quar­tier. class="page" title="Page 4">
Après les balles quartier Jouhaux au pied du 5 rue du 140 eme RIA samedi dernier on mesure assez clairement ce qu'il en est de "la ville apaisée" de Piolle. DEUX DÉLINQUANCES S'ÉPAULENT SUR FOND DE CULTURE MUNICIPALE AMBIANTE Deux délinquances se rejoignent et s'épaulent sur fond de culture municipale ambiante. Les groupuscules de délinquance politique  qui "occupent"  des locaux qui appartiennent à la ville. Et à partir des quartiers la délinquance qui vit de  l'économie souterraine. Ils sont alliés. La municipalité ne combat réellement ni l'une ni l'autre et ses candidats aux élections législatives le confirment. En réalité pour les Khmers rouges/verts, toute contre-société est bonne à prendre, même si elle récuse la laïcité, l'égalité hommes/femmes, impose la religion dans l'espace public et pratique la violence.  Elle participe de l'anti-capitalisme. Les Rouge/Verts grenoblois ont semé le vent et récoltent la tempête. Anti-Capitalisme, fin de la croissance, anti-industrie, anti-nucléaire, activisme "écologique", désobéissance civile, communautarisme ... tout est bon. L'ÉCONOMIE GRENOBLOISE EST TRÈS AFFECTÉE  Les bobos-gauchos grenoblois ne mesurent pas l'ampleur de l'évolution et réagissent seulement quand eux-mêmes  ou des proches sont victimes. Mais ce climat local est porteur d'orages dévastateurs. Ceux qui ont des moyens, même assez modestes, se mettent à l'abri. Les plus faibles et les plus démunis sont les plus vulnérables. Au plan global c'est toute l'économie grenobloise qui est affectée. C'est le sauve qui peut du côté des agents économiques. Une fois encore la décroissance qui en est la conséquence rejoint étrangement les objectifs de la municipalité. Ainsi la cohérence est complète entre ces strates politiques et délinquantes  qui se complètent, se connaissent et se font la courte échelle.
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