« VILLES en TRANSITION »: PLACE GRE’NET A RÉVÉLÉ L’IMPOSTURE

Peu de grenoblois, des partenaires financiers tels Eiffage, Area, Vicat ou Poma, des "partenariats" avec un certain nombre d'organes de presse assortis de contrat publicitaire de la part de la ville, une agence Suisse de communication VD Com, qui a aussi comme par hasard des clients tels Eiffage ou Area ... "la biennale des villes en transition" a été disséquée par le journal en ligne Place Gre'Net . LA BIENNALE : UNE COQUILLE VIDE  On comprend un peu plus pourquoi Eric Piolle veut faire taire ce média en l'étranglant financièrement par la suppression de toute publicité de la ville. Et on comprend en parallèle pourquoi tous les médias "partenaires" n'ont posé aucune question  dérangeante sur la biennale, coquille vide. https://grenoble-le-changement.fr/2017/03/03/area-sponsor-de-piolle-vertspg-et-de-la-ville-de-transition/ Grenoble, le Changement avait été le seul a dénoncer l'opération de com' organisée le mois de la mi-mandat afin d'échapper au bilan par la création d'un rideau de fumée aux frais du contribuable. https://grenoble-le-changement.fr/2017/03/10/com-de-e-piolle-le-week-end-de-tous-les-exces/ UNE GESTION de la BIENNALE " PEU TRANSPARENTE"  Après enquête, Place Gre'Net a confirmé l'imposture: "Une gestion de la Biennale bien peu transparente  " relève Patricia Cerinsek   "la transparence, pourtant érigée comme un des piliers du programme de la nouvelle municipalité  se fait attendre." "Quel est le budget de cette manifestation, qui a notamment vu la venue de Nicolas Hulot et de Laurence Tubiana ? Nous avons posé la question, par deux fois, aux services de la Ville. Sans résultats. Nous avons tenté de plonger dans l’open data, censé rendre public tout un tas de données. Rien à faire. La transparence, c’est pourtant l’engagement numéro 12 d’Eric Piolle : « Les habitants auront accès à tous les documents publics auxquels ont accès les élus, notamment sur Internet" ajoute t il . https://grenoble-le-changement.fr/2017/02/20/mi-mandat-la-liste-des-120-tromperies-deric-piolle/
l'un des nombreux engagements qui n'engagent que ceux qui y croient
POUR LA COM' " LA VILLE N'A PAS LÉSINÉ SUR LES MOYENS" La journaliste détaille le procédé mis en place pour tromper les grenoblois :  "la municipalité  a largement communiqué. Newsletters, réseaux sociaux, affichages sur les totems, les panneaux, les abribus, le tram… il était difficile d’y échapper. Et pour s’assurer une bonne couverture médiatique, la Ville de Grenoble n’a pas lésiné sur les moyens : elle a noué un partenariat avec, excusez du peu, quinze médias. En fait, le plus gros contingent de partenaires, devant les institutionnels (onze) et les financiers (sept). Un événement très couvert par les médias… partenaires. Du coup, le programme de la Biennale, parfois assorti d’interviews du maire de Grenoble, s’est décliné à foison dans les médias. Dans la presse locale, logiquement, mais aussi dans Le Point, We Demain, Reporterre, Batiweb, Ecologik, Mediaterre, Terre-TV (la web télé de l’agence de communication chargée de faire la promotion de l’évènement)… " SEULS LES MEDIAS QUI ONT PERÇU LA MANNE PUBLICITAIRE ONT PARLÉ de L'OPÉRATION!  Et la journaliste d'ajouter : "Convaincus ? Peut-être. Partenaires, à coup sûr." Patricia Cerinsek relève la preuve de l'imposture puisque seuls les organes de presse "partenaires" - c'est à dire achetés par la publicité- ont rendu compte de l'opération dans les termes municipaux. Il ajoute: "Pas une ligne par contre dans Libération, Le Monde, L’Express ou Le Nouvel Obs-Rue89… Les grands médias nationaux n’ont pas mordu. Là, aucun partenariat n’avait été noué." https://grenoble-le-changement.fr/2017/03/01/attention-ceci-est-une-publicite-payante-deric-piolle/ Terrible constat qui devient une accusation. Jérôme BEGLE ( le point.fr) A SIGNÉ du PUBLI-REPORTAGE NON ANNONCÉ COMME TEL  Nous avions nous même relevé la lamentable interview du point.fr signée par Jérôme Béglé qui relevait du public-reportage et n'avait aucun rapport avec la réalité grenobloise. De son côté le DL a aussi été trompé qui a malheureusement écrit sur "l'événement " : « Nul doute donc que, pen­dant ces quatre jours à la to­nalité politique bien affichée, tous les regards des médias nationaux et interna­tionaux vont se tourner vers Grenoble. » Non aucun regard non financé par E.Piolle ne s'est tourné vers Grenoble. https://grenoble-le-changement.fr/2017/03/09/ville-en-transition-la-grande-tromperie/ LES GRENOBLOIS ÉTAIENT ABSENTS De plus dans les murs l'absence des grenoblois est évidente. Place Gre'Net le note sobrement:  "Sur place, la manifestation s’est souvent bornée –et on peut le regretter– à une forme d’entre-soi, où se sont surtout retrouvés les militants coutumiers de ce type d’événements". Délicate façon d'expliquer qu'il n'y avait que les amis de la municipalité, familles et alliés. "La véloparade de samedi, qui s’est déroulée sous un soleil radieux, a quant à elle attiré une centaine de personnes" ajoute le journal sans commentaire. C'EST LA GARDE ROUGE RAPPROCHÉE QUI A DÉSIGNÉ LES ÉLUS  Côté élus l'opacité est la même. Pour la biennale officiellement "un groupe de travail « Villes de demain » a été mis sur pied." Mais « Dans ce groupe, les élus n’ont pas été désignés comme d’ordinaire par le groupe majoritaire mais par la garde rapprochée du maire. Pourquoi ? », révèle  Guy Tuscher un membre de la majorité qui l'a quittée pour dénoncer ses pratiques. Enzo Lecourt était encore à la manoeuvre. Sans ménagement.Bref un verrouillage qui démontre bien qu'il s'agissait simplement d'une opération d'enfumage pour échapper à toute demande d'explication des grenoblois à mi-mandat. https://grenoble-le-changement.fr/2017/05/05/liberte-de-la-presse-le-conseiller-special-de-piolle-attaque-place-grenet/ LE NUMÉRO SPÉCIAL de GREEN FINANCÉ PAR LE PARAMUNICIPAL  Personne n'a voulu répondre aux questions de Place Gre'Net. Ni l'agence Suisse VD com, ni les élus et 2 mois après le budget officiel de la "biennale des villes en transition" (!) n'est pas connu. Pour notre part nous avons révélé le financement de la revue Green  par les organismes paramunicipaux. Elle ne figure pas dans le budget de la Biennale . https://grenoble-le-changement.fr/2017/04/24/green-comment-les-verts-pompent-largent-public/ LE BUDGET de la BIENNALE EST CAMOUFLÉ DANS PLUSIEURS LIGNES Le budget est camouflé dans plusieurs lignes du compte administratif de la ville afin que personne ne puisse faire le total. La Métro a également financé. Le contribuable s'est payé une opération qui avait pour but de l'empêcher lui-même de demander des comptes sur les 3 ans de mandatais il ne peut pas savoir ce que ça lui a coûté. Cocu et content. PLACE GRE'NET A MIS les PIEDS DANS LE PLAT  En révélant le dessous des cartes, les "partenariats" noués par Eric Piolle avec de grandes entreprises évidemment très préoccupées par le développement durable et avec 15 médias, les seuls qui ont rendu compte -contraints?- de la biennale en termes conformes à la com' de la ville, Place Gre'Net a fait son travail journalistique. En Piolland c'est intolérable. https://grenoble-le-changement.fr/2017/05/05/place-grenet-eric-piolle-menace-la-liberte-de-la-presse/ LE CYNISME de la MUNICIPALITÉ PIOLLE  L'utilisation de l'argent public dans de telles conditions  démontre le cynisme de la municipalité Piolle si on compare la pratique avec ses engagements. A lire cette enquête on s'explique la fureur de la municipalité Piolle et ses attaques directes contre la liberté de la presse.Elle ne supporte ni le contradictoire, ni les questions qu'elle ne définit pas elle même, ni la vérité. Heureusement que " Grenoble, le Changement" est animé par des citoyens bénévoles : sinon  un vecteur d'information essentiel qui participe au débat contradictoire aurait disparu, car nous serions morts depuis longtemps Source : article Développement durable : à qui profite la Biennale des villes en transition ? | Place Gre'net - Place Gre'net
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